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Tout aussi speed et inventorié, je discute de la mollesse irrépressible qui me prend quand je nettoie ma crasse du bout des ongles, maladie qui presse en haut des sommets, vite à la cime des arbres! Pour couper court au silence, le vent sifflote ses airs d’ambassadeur de la folie des abus, ou celles des errances, des paresses calamiteuses et insecticides. L’humus me rendra ma moustache piquante, un peu odorante elle sentira comme la terre, ou comme toi, ma chatte adorée.
Lave toi de tout soupçon et redescends.
hello je m’appelle mike joe, je suis un troll, mais aussi un tennisman, ce qui rend la vie plus facile.
Pour accrocher quelqu’un, il y avait bien ces inscriptions rayées au diamant des villes, mémoire frénétique des êtres qui se croisent sans destins communs, aussi poétique que deux mails qui se croisent parmi mille millions, espèce en mutation, énervé du bout des membres, désagréable impression..
descente descente descente descente descente descente descente descente
concrète
descente
concrète
descente
concrète
descente
concrète
descente
accent d’époque
accent d’époque
accent d’époque
accent d’époque a un accent
accent d’époque a un accent
accent d’époque a un accent
accent d’époque a un accent
accent d’époque a un accent
accent d’époque a un accent
C’est un espace d’improvisation -l’intérêt étant de partir de zéro-. Il conviendrait d’assumer cet exhibitionnisme de la création. L’intime derrière un pseudo, les mots ne mentant pas, eux.
buildings
contrebuildings images inversées
réseau théorie du signal
nulle impertinence mais belle insolence
tout s’emplit de signification
plan de l’urbs électrique
permeated with the truth
buildings
contrebuildings
réseau théorie du signal
nulle impertinence mais belle insolence
tout s’emplit de signification
toute signification emplit
tout sème façonne
plan de l’urbs cognitif du terrain de jeu électrique
suffused with love
suffused with spiritual filth
images ubiques
ruines post modernes
mystical derviches
comme un compas
comme l’équilibre
sur l’asphalte
d’une jambe en jupe
de l’ombre d’un collant
beneath the remains of collapsing buildings
La déposition de Pontormo est aussi une mise au tombeau.
pourvu qu’un jour de grosse lune
qui sonne comme une nuit de chaude larme
fasse danser l’ombre de l’orme
et courir le bruit gracile
que fait la lumière
quand elle baisse la garde
soleil! qu’irradient nos vies
biiip !
pas l’air sonar ! !; panneaux solaires !
Huu ! Bornes de crunes !
Limite à cran, cornes de lune et, clairci le lin!
toi qui brûle, régénère
dès à présent tu rougis
la terre,
laisse passer ton reflet blanc (cinéma de nos nuits)
**
pourvu qu’un jour de grosse lune
qui sonne comme une nuit de chaude larme
fasse courir le bruit gracile
que fait la lumière
quand elle bruisse ses cils
quand elle baisse la garde
La voilà, la voix! Cristalline! Comme du verre chaud qui a emprisonnée en lui la brume,
électron unique rejeté vers le ciel. Cri déchirant! Fêlure, morsure, fière et fragile.
Soleil! irradie nos vies !
brûle, régénère
dès à présent tu rougis
terre, laisse passer ton reflet blanc
lune
(cinéma de nos nuits)
j’écoute Chet Baker (Tenderly) en te lisant , Auddie… devant moi la fenêtre est grande ouverte au soleil et sur un lac avec ds canards, des mouettes, des cygnes et quelques tanches qui viennent se chauffer les écailles à la surface de l’eau… j’ai bien sûr la clope au bec et je savoure … c’est étrange et touchant à la fois de recevoir comme un doux boomerang les mots que mes propres mots et ma voix ont pu faire résonner en l’autre… et à mon tour je te reçois comme un cadeau…. ça aussi c’est une belle récompense pour un auteur!
« Pourvu qu’un jour de grosse lune
qui sonne comme une nuit de chaude larme
fasse danser l’ombre de l’orme
et courir le bruit gracile
que fait la lumière
quand elle baisse la garde »
C’est très beau. Merci.
en loucedé entre goussainville
(peut-être même sarcelles)
et la gare de la borne-blanche
dans le corail paris-maubeuge
je me suis délesté
dans une minibauge
prévue à cette effet
cloisons étanches mais comme un oiseau sur la branche
je manquai m’envoler à chaque secousse
j’ai finalement conclu l’affaire
mais pas d’eau à la pédale d’évacuation! chasse gardée!
bonne chance aux suivants, que vos narines ne flanchent,
que vos estomacs soient solides
tandis que je descends à compiègne
vorinané nonératé éliogoblé détablé
samita dératéta
iojéra
saphosaffute
lenfermaispasça
animauxdecompagnie
topazemrauderubissaphir
turquoisepastelchaudesfroides
C’est du dindon qu’un russe à traduit le maya.
C’est du lait d’une louve que Rome est naît.
Et le cosmos est d’algèbre spirituel.
caoutchouc à cuisse
sanglant à lèvres
larmes à cils
soutien canyons
obstrues menstrues
bagues poison proof
coiffée brasié
souples d’oreilles
du trou de serrure elle est prête
Le Conquistador dit mollement sans dents parce-qu-atteint-du-scorbut :
“Dans l’océan sans fin, toujours doucement ronds d’horizons vierges, j’ai observé l’envers de chaque nénuphar.”
REVOLUTION.
Voir que :
une baleine coincée à Gibraltar
et
une orque coincée à Béring
sont les deux extrémités d’un même compas
Des gonzes
des bonzes
des monts
et des vaux
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUUUUDDDDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUUUUDDDDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUUUUDDDDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUUUUDDDDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUUUUDDDDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUUUUDDDDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUUUUDDDDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUU…………..DDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUU…………..DDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUU…………..DDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUU…………..DDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUUUUDDDDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUUUUDDDDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUUUUDDDDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUUUUDDDDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUUUUDDDDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUUUUDDDDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUUUUDDDDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAUUUUUUUUUUUUDDDDDDDD DDDDDDDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEE
j’mettrai bien quatre accents aigus à « déséspérément »
>surprise<
Hypnose
…
dis-moi, pauvre Hypnose,
dis-moi, lueur dans ma baraque,
dis-moi, estomac qui s’affûte
et qui joue le sommeil des poules
quand la fumée n’est pas propre
mais l’héritage illusoire du juste,
pauvre Hypnose, que ferons-nous ?
Est-ce encore pour toi le souvenir ?
Je vais te dire,
***
et quel Ciel ? les yeux fermés
par le rouge ou le bleu
ouverts si obscurité
mais jamais je n’ai
la même vision, dis-moi,
pauvre Hypnose, pourquoi ?
…
mais parce que je suis là, et tu va te réveiller
musique, si c’est toi que je coupe
en l’état, au milieu de nos pas
parce-que je m’essouffle
je voudrai te faire taire
au milieu du chemin?
au faîte du matin?
J’ai crié toute la nuit,
j’ai craché ma misère.
super. j’ai changé mon destin
pris ces grands airs beaux fats, et combien d’autres routes?
Et si j’avais dû vivre
un plus vilain dessein?
J’aurai combien de feuilles
mortes sur mon siège
devant un parterre de fantômes
tape des mains
dans le silence,
sans ardeur
et sans fièvre
que serait-il d’autre
cet enfant qui s’éteint
Une autre chose sans doute.
Moi, je n’ai pas demain
remis les choses en route
pour arrêter d’écrire
ou penser à défaire
une lourde armure qui coûte
des secondes, des années
Les choses simples,
mais combien sont-elles?
je ne les ai pas compté.
Elles sont là pour toujours
je n’ai qu’à continuer.
Musiques, musique, oh, je te tiens sans doute
Je te mens, je vous perd, si je vous tenais toutes
Que m’a tu donné, juste ta façon de faire?
Oh je crois qu’on s’endort
sur un paquet de fêtes
et quand on redécolle
dans une parenthèse
c’est nos mots durs
demain
c’est un feu qu’on attise
la passion et la tise
m’ont tout emprisonné
à l’air libre mes actes
je te vois, dissoute
musique,
sans doute on apprécie, le jour
que ma voix s’est défaite
vieillie par tant de cris
accablée de chimie
d’inconscience et d’ascèse
et combien d’heures du mal
au compteur de ma chaise?
Peut-on parler d’éveil?
j’ai trouvé qu’on est sans
hivers à corps perdus
quand la grande et -mystère-
lune du pendu
s’invite à mon retour.
je suis passé par là,
je t’ai pris dans mes bras,
musique
porté jusqu’à la casse
que je suis entêté
…
fleur sèche du livre
que la pluie a mouillée
l’éveil du hasard noir
le rire d’hiver
dormir sans dormir
écouter
au fond du manoir
le soupir de la salamandre
le bruit de pneu
hier tu faisais pas, Cassandre,
plus de prière au coeur.
…
du sens…
…
Querida María :
no puedo decir que sí
haya traducido todos esos poemas
los has oído
los he leído
traducir de viva voz
del tirón, es oración,
porque nací
con mala estrella
y necesito leer
por no saber rezar
y escribir por no saber
leer, entonces se dilata
el destino, con sonido
pasa el tiempo de otro modo,
la escritura no es lo mío.
…
…
ce chat est un chien
c’est surprenant
maintenant
les chats sont des chiens
…
…
triste plaisanterie
la fausse répétition
et l’unique
de la vie
…
l’unique ….
tunique
zunic
prix de l’indépendance
ce tournoi de mes sens
que je ne maitrise pas
j’ai le mollet qui clignote….
l’année prochaine je me promène sur une trottinette en chocolat
le ciel est rouge
la mer jaune comme une sauce béarnaise se marre devant une bavette
le capitaine a une belle casquette . je la pique avec ma fourchette
le mousse dit:
– Rierre qui poule n’amasse pas rousse
Puis cherche une crotte dans son nez et pars
et le capitaine danse une gigue en chantant tonton et tontaine
au loin des nuages jouent au tarot
maintenant c’est ma cheville qui grelotte
heureusement Papy m’a prêté sa chaussette
pour la peine je lui offre un baiser sur le nez
il dit
– encore!
je lui file une baffe et m’en vais changer la roue de ma trottinette
Sur un frigo,
sur un post-it, inscrire :
« Ne pas oublier Tina Aumont. »
Les rêves que l’on fait dans des espaces clos sont contagieux.
…
On ne veut plus de moi
j’écris dans les toilettes, mon mac sous le linge
qui sèche à la douche, je dérange
encore le temps qui reste
avant que ça finisse, on attend,
mais on ne supporte pas l’écrit
et l’on veut que tous dorment,
faut pas se souvenir demain, faut pas lire.
Moi ? Black-listé ? Moi si bien considéré ?
Mais avez vous vu mon CV ?
Vous semblez vous être trompé, pour m’avoir fait subir
la brûlure de la rue, comme ces roms
qui ont été incinérés dans leur petit refuge
près de ce lieu de culture, la place (le palace) Gambetta
ouais, peut-être ils se sont sauvés
peut-être on les brûlait juste pour ça
aucun rapport avec le Pôle Emploi
faut pas entendre des voix, pas de martiens
autres que les cervelles macérées dans de la vodka
qui mutent et se congèlent dans l’expérience
la merveilleuse expérience collective de la France.
…
…
Par un tunnel arrivent
à la porte de mon sexe
les souffles d’une jeunesse gitane
le trou de l’évier fait sortir tout mon génie
chez ceux qui rêvent et celles
qui viennent s’accoupler à moi
sont les filles de Salomon et les roses
qui pourrissent mon système
hydraulique, mon poème en érection
comme un échafaud, comme la pierre
de Babylone écrite en cunéiforme et les filles
qui viennent ne sont même pas des travailleuses
du sexe, mais des démons dont les prénoms
feraient éclater les plus statistiques des luxures
et puis il y a l’injure et la faucille
et le feu du sport qu’on accorde au chrétien énervé
puisqu’il faut céder quelque activité au lepenisme
dans le jeu de plâtre ou la blessure fait chiffre
quand on est aveugle pour les lettres
et la Bible est semblable à une crotte de nez
qu’on savoure maudissant le nombril des étrangers.
…
…
Ils ont raison de m’éviter
je peux phagocyter
mes viscères veulent de quoi
dans un émoi
péter
…
Il n’y a plus d’homme
plus de femme non plus
il y a cellule
qui cherche à manger
qui veut circuler et faire éclater
de sa touche rouge la neige
d’une somme, tout comme,
la pustule est le pus qui jamais ne bouge,
parce qu’elle se doit de cacheter
et sceller ses cellules.
…
…
amour et malheur
les cernes
les rides, s’effacer
c’est rien et c’est le plus qu’on peut sortir
d’elle
sinon je voudrais quelqu’un à ma place
pour rendre heureuse une femme
et je garderai le malheur
et laisserai l’amour tranquille
foutre de Dieu, merde
tu sais de qui je parle, rip
sinon, on est bien au salon d’Alex
sex-appeal du bonbon
ça pose pas de problème
quand le bonbon amer du pavot
est dans l’intelligence dont on s’en fout, en apparence
sonidos negros
des sonorités sombres, le dark d’Alex
c’est que vous vous sentez supérieurs à la pisseuse
et moi je préfère monter bien fort
tout pantin à patinage pointé
et bien
parmi le caca, le vomi
je trouve ce diamant difficile qui suggère l’oubli
je suis dans mon bureau, mes affaires sur une table en vieux bois,
j’ai tout ce qu’il faut, aujourd’hui
et je pense combien imbécile est celui-ci ou l’autre
et je laisse que la prose bascule
dans le vide total de la poésie
Alex, je me permets la totale
je pense qu’il fallait, non ?
Bien-sûr du n’importe quoi
sans valeur, mais vaut mieux du toc
que le silence du goulag,
qui ne rime, le pire des gags qu’on peut
introduire dans l’hilarité en transe de ces fameux
imbéciles, merde, merde, foutre de Dieu
…
tyran sexuel
qui garde les limites du jardin
je veux une femme cameraman
pour le matin où tu feras ta pose en démi-nu
et l’on fera un film sur nous
le peintre et sa modèle
et la révolution, bien sûr
…
mercure est le sujet
qui glisse entre moi et mon père
ça tourne, Saturne est la lenteur du cinéma
qui ne peut dans la barbe mouvante
du miroir rester vivant, fugace et ferme, père et fils
et puis ce qu’on fait des filles
des ravages floraux propres au satyre
qui sait si la mère cure ?
qui sait si ça tire ?
monopole est mon opale du verbiage de roi déchu
héritage du pôle d’un chou
qu’on veut changer, travestir en univers
l’on a tellement aimé devant le miroir
l’on a tellement souffert et volé le mot lumière
l’on sait que le charbon et la cendre
est derrière, et que tout cela ne sert
que si l’on plonge dans le métal androgyne
le vif argent qui spécule et endommage la pudeur
qui fait dans le vermillon du cinabre l’éclat de couleur
qui empoisonne, espionne, marchande, termine,
(le mime du pur est macabre et sourd :
mes remords de beauté sénile et précoce
les braises du sabre de l’ange sont tes yeux
et les miens et mercure, le symbole des deux),
et qui était fétiche et peur avant d’être négoce
et ruse et mystère
…
tu nous entends ?
[16:33:48] dbc a dit : les gars je no lo comprendo alleman
[16:34:02] dbc a dit : jai pas de son sur ce terminal
[16:34:19] dbc a dit : dc peux pas vous entendre ms peux ecrire
[16:34:53] dbc a dit : man c pas la peine de mappeller
[16:35:08] dbc a dit : jai pas de son sur cet ordo
[16:35:25] flecktokyo a dit : et apres tu veux me vendre des adresses mail ?
[16:35:30] flecktokyo a dit : sans son ?
[16:35:37] flecktokyo a dit : trop fort toi
[16:35:51] dbc a dit : yes
chui plus ds lecriture moi
[16:36:00] flecktokyo a dit : he
[16:36:37] flecktokyo a dit : on se fait une bonne teuf des familles en europe l’anne prochaine ou quoi ?
[16:36:53] flecktokyo a dit : t 1 poete en fait
[16:37:18] dbc a dit : jaimerais bien a ll a euroland ms c pas si je v pouvoir
[16:37:31] dbc a dit : normalement c t le plan
[16:37:35] flecktokyo a dit : apres lAmerique latine !!!
[16:37:53] dbc a dit : ms jai pas ete select a dmc cet annee dc je recomm
[16:38:27] flecktokyo a dit : encore ?
[16:38:44] dbc a dit : la je tears a blok ms je pense keu vous vous en battez les couillazz
[16:38:50] flecktokyo a dit : dmc, ils prennent que des jap
[16:39:05] dbc a dit : chui obstinazz comm garsse
[16:39:18] flecktokyo a dit : m’en fous pas
[16:39:19] dbc a dit : et puis ya la online
[16:39:31] dbc a dit : dc v tous tentation
[16:39:32] flecktokyo a dit : alors online merde
[16:40:11] flecktokyo a dit : t1 le taf a la base des gi marines man, graaaaaave
[16:40:19] dbc a dit : la online (kest intl) la jap (kest keu pour les jap) et la french (ou meme si chui select pourrais pas allee car pas de kayass)
[16:40:40] dbc a dit : maaaan c tro kewl jespere kils vont pass me virazz
[16:41:08] brieuc a dit : höi !
[16:41:09] flecktokyo a dit : c ou pas de caillasses ?
[16:41:19] flecktokyo a dit : jusqou ?
[16:41:24] brieuc a dit : ouaismais t' »as du gazon
[16:41:25] dbc a dit : franssoland
[16:41:38] flecktokyo a dit : dmc en francoland maintenant ?
[16:41:59] dbc a dit : vu leu tu balance ta vid via utub
[16:42:07] dbc a dit : jpeux au moins apply
[16:42:18] dbc a dit : et voar le result
[16:42:25] flecktokyo a dit : la meme que l’otre fois envois le lien a Brieuc
[16:42:31] dbc a dit : man kan tes dj ya lair davoir keu ssa
[16:42:44] flecktokyo a dit : queue sa
[16:42:49] dbc a dit : meme si c relou les scratcheurs
[16:43:09] flecktokyo a dit : gratte man….
[16:43:33] dbc a dit : en plus je me suis rendu compte dun truc trop pas conventionnel
[16:43:39] flecktokyo a dit : ?
[16:43:44] dbc a dit : chui gooofy en fait
[16:43:55] flecktokyo a dit : ah c ca ?
[16:44:13] dbc a dit : je pense keu vous vous en battez les kouilless ms c effrayant comme truc
[16:44:44] flecktokyo a dit : mais pas du tt, tu sais meme pas comment et quand perso j’m’en tape ou pas les kouillass
[16:45:02] dbc a dit : si tu veux ta main gauche (kan t droitier normall) elle est moins precise keu ta main droite
[16:45:14] dbc a dit : et dc la je dilemne a blok
[16:45:16] flecktokyo a dit : clair
[16:45:32] flecktokyo a dit : c comme la kouillass
[16:45:34] dbc a dit : s keu je devrais tout reprendre main droite?
[16:45:45] flecktokyo a dit : oui
[16:45:51] dbc a dit : S keu je devrais me tapper les couilles avec main gauche?
[16:45:56] flecktokyo a dit : ouui
[16:45:59] dbc a dit : to be or not to bitt
[16:46:03] dbc a dit : keu faire
[16:46:16] flecktokyo a dit : man t’es en forme !!!! whisky de lawson ?
[16:46:32] dbc a dit : si tu veux komme chui un peu barge je contineu main gauche pour le moment
[16:46:47] dbc a dit : jme dis keu je vivrais au moins plus longtemps
[16:46:52] flecktokyo a dit : emisphere …
[16:47:08] dbc a dit : man chui pas komme toi jachette pas du sky a 2 balles ds les kombimni
[16:47:27] dbc a dit : j HARPERIZZZZ messieursss
[16:47:48] flecktokyo a dit : ok ok no offence ! ;)
[16:48:00] flecktokyo a dit : veux du md
[16:48:06] dbc a dit : et je kiseruzz ausssi au passage
[16:48:46] flecktokyo a dit : nice ! plus de papier
[16:48:54] dbc a dit : le md c lautt paysss du from, si jy v pas , c pas gagner
no honey no md
[16:49:21] dbc a dit : ouais ms en fait le gout strange ds la boussh il change ms reste present
[16:49:55] dbc a dit : dc on peut pas parler d un success totall
[16:50:10] dbc a dit : maaan les gi
[16:50:16] dbc a dit : et son pote joe
[16:50:24] dbc a dit : yen a pas un de normal
[16:50:31] dbc a dit : il font toussss plus de 120 kill
[16:50:38] dbc a dit : meme les gozzz
[16:50:49] dbc a dit : incroyaliebale
[16:51:06] dbc a dit : ya pas une meuffff bonnn
[16:51:10] dbc a dit : pas une
[16:51:29] dbc a dit : je mens pas la vie des chats de ma meuf
[16:51:36] dbc a dit : hehehe
[16:52:28] flecktokyo a dit : vas a Berlin ou au blow job bar a Shibuya man !
[16:53:20] dbc a dit : tes comme gareth man
[16:53:48] dbc a dit : anyway le briosss il est pas trop parlatif n jan nai?
[16:54:07] dbc a dit : man c komment berlinosss?
[16:54:25] dbc a dit : les teufs les sous les gros club la kam?????
fréquence du style
fête en ce moment
fragrance distance
haleine secrète
doute poli
baisser les yeux
tirer chandelle
baisser la garde
doute poli
faveur de l’ombre
mais pour l’instant
c’est danse de l’ombre
faits capricieux
la terre a un champ magnétique
ses personnages
désarticulés
c’est la vitesse
« crampons-mâchoire pleins de boue-pertes-en-partance-pour-galaxie-de-la-ronce-marron ».
Mais elle est soudainement distrait. Devant, sur la table de nuit, dans une coupe Murano chose, il y a une opulente grappe de raisin.
Irrésistible comme fausse…
Si pulpeuse…
si grasse, brillante…
Comme l’Oeuf, le Vrai !
Elle prend un grain et le fait rouler dans sa bouche en prenant soin de ne pas le percer. Mais quelque chose ne va pas : sa langue se perd, s’analphabètise.
Quoi ?
Elle ne sait plus ce qu’elle s’est foutu entre les lèvres ni ne reconnaît les contours traditionnels du fruit. L’index, le pouce s’en empare dans un bruit de sussions convexe. Sous la peau translucide du grain, dans le muscle sucré, elle découvre délicatement sculpté une belle scène pastorale moderne : un couple pique nique sous un arbre, du tronc de l’arbre à un autre, il y a un fil tendu sur lequel quelques linges dansent. Elle voit très nettement les bouteilles de vins (blanc sec et demi sec) la baguette, la nappe, les nuages (rendu superbement), le parcours lumineux du soleil dans la scène, la perspective parfaite…
Ses jarretelles en dentelles la gratte.
Le tissus est électrique.
Le sucre aussi.
Le lacet coincé.
Dans le raisin la femme qui pique-nique observe un raisin.
Mais un autre attire aussitôt son intention. Celui-ci est clignote doucement, s’allume de fluorescences. Il parade, la drague comme un paon ; plus complexe, plus abouti que les autres, sa pulpe plus dentelle.
Le décor, semble t-il, est celui d’une avant première hollywoodienne : une multitude de personnages apparaissent amassé autour du tapis rouge réglementaire ; ce sont les flashs de leurs appareils photos qui font crépiter le raisin. De leurs limousines aux portes du cinéma de stars passent sur le tapis. Certaines épaisses dans leurs fourrures où bien rutilantes comme des bagnoles, d’autres encore décolletés, des lambeaux de surfaces de linges équatoriales pour en faire plus que ne pas en faire du tout.
Tina remarque à cet instant la subtilité du rendu de la peau (plus particulièrement celle d’une grande noire qu’elle trouve très belle).
Elle embarque tout à fait, mais quelque chose la perturbe : elle distingue au loin du glamour (de l’autre côté de la route plus précisément), près d’un parking, une agitation inquiétante. Elle retourne le grain pour mieux voir : une foule hystérique déchire au nue un homme. Un mouvement tragique : ses gesticulations, alors qu’il disparaît avalé puis remonte ensuite toujours plus ensanglanté, sont d’épouvantes, son regard incendié surtout imprime douloureusement Tina comme quelque inventions de Raymond Roussel.
« des lambeaux de surfaces de linges équatoriales pour en faire plus que ne pas en faire du tout. »
imbriqués _-_-_-_
La voilà, la cascadeuse. Inscrite direct dans le rayon le plus lumineux de la journée. Tapis d’or au sol. Reflets pastel-en-ciel. Aveuglante mais pas douloureuse.
Tina à l’ombre. Soleil noir, magie noire. Elle la sait… ensorcelante… maudite, courroux nuptial… rend dément… tout ça, tout ça… et surtout, facette fond, contour forme : séduction vénéneuse. Tâches de panthères, trous noirs. Tous absorbés – elle, Impériale.
L’autre, la cascadeuse – et c’est le même visage, la silhouette peut-être moins molle – c’est l’articulaton naturelle, athlétique, saine. Le sourire au zénith, la fraise et non pas le sang ; le miel et non pas les larmes.
Sous toutes les coutures c’est celles là même que Tina cherche, dans le miroir, dans un reflet de flaque où à la bougie nocturne son corps en ombres chinoises; dans l’image d’un visage enfin lacté, sur une voie solaire.
Il me reste des piles de cette soirée. C’est la rétribution de l’état et de la culture à quinze ans de scène, quelque-chose qu’il me faut emprunter à l’ingénieur du son et que je ne rend pas, quatre piles AA 1,5 volts. La salle est neuve, c’est noir, pratique, comme le tribunal, beige, blanc, comme le skate parc, l’hôpital, la mairie, l’avenue principale et les allées routières, la vue sur la vieille ville, le port, les maisons sauvages, puis la campagne. Nantes, la diseuse de sentiment prise dans les bulles et la mousse, le rendu flou et baveux comme une frêle poussée sur le coeur, un peucollant, une pression, un nuage peut-être, qui vous impose le temps, et quand on simule d’autres sillons pour le cours des choses, elle vous rattrape, elle vous pagaille toujours dans le temps démon, république sucrière, cause de bien des ennemis, la morte saison y est cartonnière, et quand on s’emballe, oh une claque, menton bien mis sous sa carapace, vareuse tirée à 5 pièces, cinq poches dont le tour est vite fait:
Vite fait oui, vite fait comme une maison sous la lune mais situé au dessus de la ville, sorte de repère d’écrivain basé bien au delà des mers, mais dont le fronton des armures un souterrain, une occase, un fief. Entre les persienne je regarde, comme à clameur j’invite, mon corps en suspension, chaussettes rabaissés, terroir bancale, voyons voir, quelle vitesse, comme un patellaire, j’ai estimé ces italiens. Alors ce soir ce sera une expo et une boum. Très bien. tranquille je serai, et pourrai boire une bière, et remonter dans ma bulle, couloirs sans cesse éprouvés, ma tactique sans veine, lamentin je glisse, avatar sans complice mais, je ne veux pas vous faire comprendre l’ensemble de la scène. Il n’y a rien à voir, ni à concentrer d’actif, rien de moins, rien de plus que l’orme et le saint père, sur la boîte de camembert, ou du St Sylvie. Non en fait il n’y a rien sur cette cour idiote. Je peux appuyer sur la touche play.
escamoteur / craqueleur / sauvage / tellement / qu’il envisage/ les fesses de sa nièce / famille imaginaire / J’y vais en pédalo / oseadidas / tu tus bien foutus / desdoses à sans vue / des ondes assez basses / oiseaux de longue vue / et l’attirance de l’ombre, descend / dans « hôtes et salons » / hypothèque terrestre / et tous ces passants / pense le plus equestre / ne pense plus au pardon / foule au sang mirage / de tous ces métiers / tu ira sans vie / et tout de mémoire / frein au son qui lâche / donnat de la voix / donnant pour tout le monde / ce qu’ils ne veulent pas / (arnaque)( montrouvé ) / basket de plume / osez adidas / et quand tu passes / toi / tu es particulier (e)
Des poètes militaires
guerriers des songes d’alors
rencontre au bleu du ciel
windows ensorcelé
j’ai lu en toi la source
le geste – jamais content
pour toi un morceau d’aile
à tes pieds cependant
obscur ostinément.
j’ai bien fait de t’appeller
Ces songes, en tout, pour tout
méritent mieux qu’un réseau
qu’un écran mou sur soi
qu’une horloge muette
flamèche parmi les autres
grattée au fond de soi, à-
-lumette dans la poitrine
un souterrain glacé
un empire sous la veste
du démon terrassé.
non, toi, section d’acier trempé
il te faut calibrer
un atome univers
dans l’anneau sous la terre
laborantins crotales
mord la queue le venin
coule comme un sérum
c’est notre vérité.
Sérum-moi alors.
M’ensonge à l’aurore
et endêve les esses sibyllines
d’un quotidien si taquin.
Grand prince des demains
tu dis hier en gammes
et je poursuis ton saint axe
l’épée future en serrure sûre et ouverte
Oui, toi, médium de prismes algésiques
te voici cascadant la grande mère
une genèse au coeur
qui claque son blason à l’unisson
Cette semence de multivers à déverser
sous ton souffle sauvage, si sauf et si sage
Fonde jusqu’à la frondaison vertueuse
la fonte de la cage intime.
J’ai marché sans savoir, sur les bords à tout sens
frondaison jungle ignare, traversée d’aigles haineux
cherchant une pitance et moi levant les bras
vas-y attaque-moi !
L’un d’eux tournait prudent
peut-être m’aimait t-il?
à droite, le gouffre, ole flottement d’ivresse, la cascade foisonnait, dangereuse, atomique,
son fracas recouvrait tout
je le voulais glisser dans l’anonyme, laisser des cœurs tressés, vagues intestines, à jamais regrettés, dans toutes les vitrines?
Ainsi, je t’ai trouvé? ensemble, yeux séchés, s’enfonçant dans la nature conduite…
L’avancée décohérante humidifie les écorces à la diction chancelante haletante baisant cent fois le jeu spirituel des gouttes à gouttes aussi va-et-vient las des stalactites tracées au laser là parade des pulpes amatives en message vers après l’attente titubante d’un sparring ombragé l’ami pyrrhique au fourreau lentement lave l’âme.
Chuchote cette chasse.
La vitre fière de buée révèle sa richesse.
Les iris sentinelles cachés à souhait.
Droit à ses lignes exotiques, la caresse vénale alimentée par l’océan des jetées encore reprises par fièvre systémique. Tu veux ? Attrape le feu. Capture la claudication royale. Décharge en ton milieu. L’éclair au viscère. La lave magnétique. Au fond du trou qui dit tout.
Derrière, oui toujours par derrière, acculé par cette stupeur aux vertèbres, une entité guette certaine.
Primale à perdre tête, l’hémisphère en l’air bien tendu, en offrande au solstice d’hivers virtuel, cible le reflet.
Tu quêtes écartelé, bel astre, grand prince.
1. Sol à toutes les directions, ce bloc qui tire.
2. Croire au miroir par jalousie infinie.
3. Le principe du tiers avec ce chat aussi sur un trépied.
4. Croisé au plexus des devoirs.
5. La merveilleuse maîtresse sans merci.
6. Taquine le dark méticuleusement.
7. Cette sente rassurante, désespérée et têtue.
8. L’équilibre au cocon de la rose, de la tour des vents.
9. Voilà encore la mort qui se germine à l’or.
10. secta bis en bonbon jusque-là
11. on nous a on nous a
12. degrés fuite jamais marqués sur la bouteille
13. accents aigus sur la nouvelle ère, impossible à inscrire
14. comme un félin en torsion sympathique, pas encore encré de son tour du soir
15. âmes sur la colline, en contre-lune, extérieur nuit
16. on dort trop et sur le fil du silence on voit midi à sa porte
17. ou dix huîtres mais une seule a la perle
18. à la corde, à la vie, à la mort, à la carte, au compas
19. j’ai comme un rire au bout du fil
20. tu me dis quand t’as installé cubase que je t’envoie des plug-in.
Retour du belliciste afin de protéger la société de soi-même, en un honneur forgé
aux vices d’une bruillère de bambous tabous- A l’hypogée de l’horreur roucoule la
véracité vorace- Cela ruisselle, chatte, non colombe, mais tourbillonne les
textes roulés, croulés, malaxés par toutes les taxes du Saint 555-
Alors l’ignition de seconde extermine l’incarcération d’une fuite, en cette place précise que corne la mesure qui perturbe l’illusion du système au goulot- tout comme la bombe, la nouvelle Ève-
Des canines néorticales calquées par la corolle de l’ignorance encrée- Expulser l’âme
du chasseur des ténèbres- Dévotion au coma- Tout est prêt- les aiguilles sifflent la trachée des zéniths au portail comateux- Des liens en perdition perlée varient l’attaque du début des aphases, toutes fois, à jamais, en mutation, avec des systèmes
solaires informatiques enspiralés autour de nos corps, sans déroute possible, à la
trousse, celle qui pousse par le centre, d’une mousse méthodologique en cartographie encordée à l’architecte acéré- Génome quand tu nous tiens !- Aucune de ces tueuses en crise de fou rire n’ont fait leur rapport de transcriptase inverse au nom du fil engorgé- La tribu humaine vient de n’être, de naître, c’est ça son mode de vie : la mort- Et pourtant ces faces à faces dévoilent la glace d’un futur néolithique avec la promesse de l’éclair sur l’écran- Incarnation des électrocutés non sécables- A mon triste regret de bissectrice- Alors oui, à cette place engrossée par la masse temporelle, la garde de cuir cherche des mains salvatrices et exécutrices- Et l’anti-je continue de taper des mots en toute fulgurance sur le cataclysme synaptique d’un scénario sans suite car sans début-
Ainsi le crime divin est une coutume du centralisateur, ce système qui par sa
caducité parfaite ne vit que de mise à mort-
Baiser l’abysse-
Avoir le courage de tuer en haine extatique afin que le putto se révèle et oui: le putto est bien plus menaçant en raison de son unidualité amiboïde-
Pertes blanches-
tsunami laiteux-
En attente du téléchargement de ta librairie sonore.
Tu villégiatures le vol- Tu brigandages virtuelle- Tu mottes l’instant des bosquets- Tu matronymes le quidam au néant- Tu vous tout jouir- Tu pénombres- Tu humides à sourire- Tu kyrielles, claire, ces culbutes aqueuses- Tu merles l’âme- Tu de justesse treilles une conscience tangible par reflets- Tu aubépines d’opale- Tu humus les sens- Tu sérénites mon magma- Tu hydromêles l’artère pôlaire- Tu cavernes l’avenir à braiser avec un narcisse tatoué sous les paupières-Tu jus l’usufruit en extase- Tu paysages voluptueuse- Tu muses- Tu adeptes des peaux- Tu démones- Tu chiennes céleste- Tu harpes la marche orageuse- Tu pandémises nos cernes déconcentrées à l’illimité- Tu verdures polissonne- Tu talentes tout- Tu vagues et creuses jouissive- Tu cardinales suave sans carte- Tu ons légendaire- Tu définitives ainsi quelques egos- Tu ne m’as pas mangée parce que tu es ma mère-
Dérisse dégrisé épris dégonce décoince des mises,
des taux pleins des cavalles des saufs et des laisses
attachés à mon cou
et comment les tenir?
mon père n’était pas un sage
mais il a su pourtant
revoir ses souvenirs
donc tigresse; chienne céleste, décor aventureux, un plan dans la bataille, désoeuvré, malade, de sentir en moi, la joie profonde
tu es là et je te dis
qu’en belles pièces absolu ouvrage, qu’à chaque mot, si des cartes en moi mal distribuées je faille
à chaque mot, longue asension, combien d’hommes et de femmes jamais cinq heure, jamais cette nuit ne finira
enfin, tu me troubles, prisonnier des glaces, poussée de lave sanguine, blocs compacts fendus jusqu’au large
Sabrina Colette claire, Yvonne, Lizette, anaïs, Lucette, sainte pétoire, que je me le feu!
tire donc après vous
blonde, dure à la coupe
écorce véritable
sève sculpturale
acétone pour le fer
au sabre! ecetera
comme tant je dose
des coussins calibre, et des seins d’opale
ordre d’arrivée, je maintiens
tu es une assistance empirique, un frais chant du soupir, et combien je note, que tu es fidèle, en tout et doux prénoms, on la sentira, la levée des notes
dièzes en sol mineur
happe la marche orageuse
assouvis le ton du soir
la tardesse orageuse
mais quoi?
la traverse de plomb
accrochons et défonçons cette cave
colère et tremblements
merci tu m’apaises
tu lies une A-pirate
chaulère et sauvageons
attention nous avançons masqués
n’échappe pas à quelques vulgarités que je nous inflige
les corrige
seul, trop seul pour ne pas glisser sur la 27 ème marche
enrocher …………. les piles …………….d’un pont …………. au dessus ……………de soi
terrestre…………2monsourire…………..à l’autre ……………des autres……………de satin
contre ……………sont vides…………….je remplis…………….s’arme………………de coton
lune………………….tu es …………………encore……………..la solitude……………des cieux
gigantesque………ma prise……………..le fleuve…………… du démon …………… d’ether
signe ……………mon parfum………….. de larmes
d’une
plus
grande
portée
Soleil,……………………….veux-tu…………………..m’épouser……………………à minuit
écrire………………………continuer…………………..accélère……………………..tes vies
ajuste……………………les similitudes……………des journées…………………oubliées
les énergies………………poétiques…………………jumelles…………………….surgissent
mais
mon
encre
ne
vient
pas
de
toi
– Défoncer le lecteur d’un disque dur turgide.
– Sauvegarde jusqu’au registre saturé.
– Transfert des données en va et vient compulsif.
– Cliquetis cunni que coince le curseur quêteur.
– Par copie didactique déboguer des gorges.
– Amorce sur l’éditique kawaii d’un cookie auditionné.
– S’insérer des partitions multiples au plus profond du domaine.
– Le protocole des bandes passantes pendant la grande tournante.
– Faire défiler ces invitations coïtales sur la cavalcade du serveur.
– Positions des sections branchées de force.
– Paginer avant d’un virus à éréthisme chercheur.
– Une pièce jointe entre les orbites.
– Encore formater l’esclave au système initial.
– Transe traitée par activation de flux séminal.
– Éteindre le stock sous syntonie f.4.
– pattern 02, garder H et I, faire le lien avec pattern 03 sur un break noisé
– acheter table de mixage
– écrire pattern acid à 130 sur les bases de digital fence, fermer les filtres à l’ouverture, bosser en 64 mesures
– Breaks toujours sur D et E, attaques de beat repeat en I et J, retrouver U can acid. passer la wave de l’Oberheim en mono
– Compresser en sidechain les bassline sur le kick sec BD 123, régler les niveaux du micro modular en ouverture
– réparer novation, boutons de filtre.
– réparer SH 101/ tuner. fixer boutons de la KENTON avant le live du tresor le 27
– retrouver sample de reaktor pour ghost suite, faire le lien avec la fin de bergamotte, ne garder que le kick sec NI
– trouver parole pour digital fence. genre u got me, if u try me, but you stone fon’t catch the brain, etc etc »
– répéter digital fence avec preset choas pad en léger doubleur + verb
– buffer 1 et 2 en ré-écriture, avancer pattern RR et faire le lien avec ‘you are from the future »
– programmer « hey doctor » en midi, faire le lien avec les parties acid
– passe-bas à – 60 sur toutes les basses en stereo 2 avant réglage des niveaux
– trouver un moyen de faire rentrer aux 2 dans la RS en augmentant le signal
– triolets à revoir sur indus intro, refaire preset nova sur suite
– resampler TR 808 en plus fat
– explorer les parties en shuffle
– résoudre le problème des cymbales de 909 sur les parties techno, repasser par delay + comp + bit red
– trouver un moyen de passer de 120 à 130 sans qu’ils ne comprennent rien
– trouver intro
– trouver fin
Il chante * Parade ici * Parade claire * Trouve le vent démissionnaire * Il chante l’air * Hécate monte * Et berne ronde * Il chante un dé * Quart de nasse * Casse glace* Faces démises à la frise de l’abysse * Reste rien * Reste rien * Reste viens * Roule la longe-sœur * A ces liens plus que sanguins * Débine l’horreur * Le doudou de demain suspendu * Il chante * Monstre ternaire * Monde terminé * Signe le toxique au souvenir vertigineux * Il chante * Je crois * Par là * Après *
Je veux la voir se réveiller avec un double sourire.
Attrapée par les poils du crâne,
je la traîne, à terre, vers la salle d’eau.
Ses ongles sur mes métacarpes confirmant sa présence sanglotante.
Elle semble s’asphyxier avec ses mucosités nasales.
Je frôle sa nuque sa nuque sa nuque en la hissant sur l’éperon.
Ses paupières disparaissent pendant le rasoir.
L’émanation me prend.
A cran, écarlate, métallique.
Je contient de mes mains les saccades corporelles.
Les gémissements amusants me donnent de l’élan.
L’exanguination se déroule impeccablement.
Belle blanche à présent.
Des deux index, j’étire ses lèvres ses lèvres ses lèvres:
maintenant, Mme Mannequin est une personne alitée gracieuse.
Je veux le voir s’endormir avec un double sourire
Conjugé au présent par les cils
je le soulève, délicatement, prend du temps pour respirer
Son souffle, irréel, mais combien sont-ils là-dedans?
Il semble combattre des êtres à la duplicité redoutable
Tape à gauche, à droite, sa tête. Je simule une paire de giffle
mais le caresse, doucement, en accompagant le geste extra-terrestre.
Puis redescend, lentement, sur son torse humide, il transpire des sentiments.
Ses poils devenus roux laissent compter un voyage, là où tout brûle. De la paume encore je descend.
Je te connais je crois, dis-je en chuchottant. Il s’arrète de bouger.
Je descend.
Jusqu’à lui, son bas ventre, le prend, le caressee, le prend, le branle, il se soulève
Je contient de mes mains les saccades corporelles.
Les gémissements amusants me donnent de l’élan.
L’exanguination se déroule impeccablement.
Il jouit sur mon poignet ces mots qu’un mannequin égoiste n’a jamais compris
tête en plastique tournée vers le placard.
Il se réveille. Sourit…
C’est ce que je me disais en descendant la rambla vers l’alcazabar:
La durée de vie d’un homme est égale à un battement de cils.
Aujourd’hui le patio patiente de poussières fardant le jasmin à exiler ma psyché autochtone que décline le levante altier et incarné comme cette bande chiens dévorant l’ânesse entravée de stupeur. La molaire montagnarde matant mon envie troglodyte, j’irai, quand même, au crépuscule mixer mes humeurs caméléonnes au jam des bergers fichés le long des falaises où se vanne l’alpha des casbas. Mais là, je dois flâner absolument.
Après l’insolente plaine et la route poudrée, cette mer sentinelle solitaire. Dis-moi, la randonnée border-line ne t’essouffle pas trop au moins ? L’ombre des chèvres au zénith ne me touche pas, je rode déjà sur son flux. Elle me cède parfois le pas, l’ombre. Bien plus au large du troupeau, le sable lascif récite ses litanies obsessionnelles sous stance hélas solaire, vite accompagnées de cadences ondines en un sparring sonique qui jugule ma milice vagabonde. Voyons donc! Si je pénètre la gangue aquatique de cet univers, serais-je transmuté en triton ? Dans ce cas précis, j’élancerai ma nageoire caudale vers toutes les œillades andalouses qui me seront alors offertes, en thésaurisant ma connerie cardiaque prête à de perpétuelles enchères. Enfin, plus tard, plus loin, plus loin sûrement que le battement de cils.
1. Symbole debout gravé au cuir du scaphandre.
2. Aigles bicéphales qui volent le bruit mort des cités. Enjeu: dénouer la joute mentale au duelliste électrique.
3. Sont les énormes meules serpentines broyant l’intime. Au triangle tombal, s’élance le germe auditif. Et les oreilles moissonnent des bouches.
4. Parties tangibles à la croisée de l’équateur onirique. Puis, suivant la ligne cardinale, le vent numérique tique au cortex. Car au carré totalisateur, l’harmonie n’est que métrique. Cette tendre cravache croisée au masque!
5. A l’abattoir nuptial, les sens du bipède sont coincés dans une fenêtre clinique. Elle est un murex au sein du système. Elle compte sur ses lèvres de monde. Elle dévore des actes à peine éclos. Une fois de moins, la vive enveloppe évolue vers le virtuose.
6. Souvent se fond une renaissance avec le chaos. Si cicatrise le hurlement de l’étoile. Signe ainsi la ciste ascenssionnaire. Cités, les nomades cristallisent leurs âmes. Et le sénaire urine aux quatre ronds. Voilà le globe en train de glander sur un fil.
7. Toits célestes qui font foi de toi. Par le pouvoir de la course calme, l’heure nuit et surtaxe la distance. S’y branche doucement une connectivité hasardeuse. On y prête une tension sentencieuse en oubli wi-fi. La monstrueuse parade, là, dore le déjà bien blasé. Et c’est toujours suivre qui s’essuie sur le paillasson de demain. Ricane rocailleuse, la sente certaine.
8. Il faut le coucher tout de suite! La roue ne tourne plus droit à sa spirale familière. Des sages octogonaux cherchent un site à contempler. Cette île qui se sème au plexus cosmique… L’interlude verbal à raturer. Médiatiser par l’onde échevelée. Stable culte au central algésique. Amaterasu mixage.
9. Devient aussi gravide à la danse néante. Que naissent les nasses inavouées! Mal à la muse addict. Dire le don de soi fécond. Pas tout à fait acculé au fond. Gifler des gestations en plein ciel, innocemment. In the shell for ever. Déverser des ventres incarcérés. Un lys entre les synapses.
debout gravé au cuir
meules serpentines
broyant l’intime au triangle tombal
elles,
moissonnent des bouches.
parties singulières, trapèze trappiste
tangibles à la croisée de l’équateur/ suivant la ligne cardiaque
cardinale, vent numérique
abattoir nuptial
fenêtre clinique.
hurlement de l’étoile.
souvent cités, les nomades cristallisent leurs âmes
sentencieuses en oubli wi-fi.
onde échevelée.
Amaterasu mixage.
dire de la muse addict.
innocemment.
direct
déverser les ormes
machines
carré
café serré
tête plimoute
glou tendon
gli gomette
pli azur
kilomètres
temps fécond
distend-boules
machamanak
c’est de la réchauli
Féca archer
Dofus pandawa
Loose là.
Lou vlalin
Poung gloss
Echo reply
Paterne séculaire
Abdomen-miel
Bodbeni
Le mot ment wakfu
codes intacts
point de visée
valeur refuge
allez! allons
entre la lucarne, le corps tressé, comment le satisfaire ?
nous aurons bien d’autres affirmations, des sentiments.
dans le café, quelques paradoxes, qu’Edouart Levé a si bien dit
quand rude à la tâche, nous faisons tourner le manège avec les bras
vite, si vite, qu’un joint saute, qu’une pièce cède, qu’une plage de fiction
un page, ecetera; pourvu que le vent tienne ! chimie jolie nattes, coupé menton
l’assiete de fromage, nature morte, la table remplie de vituailles, d’argent, de tabac
la pièce où parfois l’on dort, mais depuis combien d’années ne sommes nous pas rentré chez nous?
quel voyage, quel retour sans fin? se migrer dans les ronces, les placards savants, coupe les fréquences
combien de filtres au quotidien, de coups de semmonce qui ont tout fait trembler
la barque, au secours !
enclume je te fume
sculpte ton tablier
ton support de bois
tronc, syllabe, tréteaux pourquoi pas
qu’on maintienne
pas trop droit
et tape
et klang
Sortie d’une lune, l’esse stressée, quand la dérouler ?
Nous viendrons en toute confirmation, des caryotypes.
Le long de la lagune, beaucoup d’osmoses, que Magalona murmura
aussi murène qu’impératrice, aux moulins éphémères et fantômes.
En big-bang de propagandes se délite l’atome irisé d’illusions.
Un ruban à bannir, une bande virtuelle, puisse le ciel amerrir!
La coupe stérile, berceau bitumé, la rue des prostitutions sacrées,
l’hôtel portable, comment y déposer notre unique feu futur ?
Trip à balles perdues. Des fils barbelés en bandoulière, des casernes doctes, bissecte les sections.
Dans quelle mesure les écrans continuels, les tirs de proximité, aveuglent ce frisson catastrophique ?
Radeau, ne sois pas radin!
Plume je t’engrosse de plomb
Onde ta robe seconde
Ta plate-forme d’éther
Tes accès désaxés, toile, domaine dément, ici las
Que soit électrocutés
Les zombies songeant en zig-zag
au pim
pam
boum
du canon scié
midi transplant
mic/insdanslaprise
acid ascète ascii
ordonné
bi-sectarisé
comme ce jouet,
ce camion aux virages
programmables
avançait toutes couleurs
trois unités virage droite deux unités, virage droite quatre unités
les zombies…………songent………………………en zigzag…….
de la bande…………les heures……………………en gizeh……..
dessinée…………….morbides…………………….en rizla +
révèlent ……………..non peu de trace…………….en Pepe
un monde de ……….des ragots……………………en toge
dévots ………………..ventre à terre………………..en sarreau
(cachette numéro xx, refaire peinture, changer moquette)
halte au xénomorphe……………………ken…………………………….de brio…………
à la conscience………………………….visée………………………….d’édifice………
l’épidémie…………………………………jouant………………………..translucide…..
salvatrice…………………………………par délice…………………….cousu………….
d’une mutation…………………………..la comète……………………sous l’orée…..
diaphane………………………………….dévastée…………………….cruciale………
Fuck the soft fever!
C’est ici, assis, assigné ainsi
incantation téléchargée
toute proche, toute tiède à toi
au sein du son cyclique
le zoo zélé incivilisé
foutant l’infini
nano-seconde explosive
immédiatisme du script
l’extra-terrestre familier confirmé
à la volte sanguine
au flash sulfure
malice majoritaire vociférée
Quoi, tu m’aurais dérobé ma salive ?
Et l’Élixir ne tète-t-il pas nos songes ?
Zen
les langes enragées
d’où se gangue le mérite
par sphères alchimiques
ce qte, so cute, aux bulbes des boss
joker hier
ah, oui, toujours, oui, c’est mâle bain
bénies sois ces lignes savonneuses!
File moi ton âme, s’il-te-plait
je dois shooter des chutes chatoyantes
en rang derrière l’ordonnance électrique
………………………………………………………………sacrieur
………………………………………………………………rieur
………………………………………………………………heure
………………………………………………………………sacre
………………………………………………………………brilleur
………………………………………………………………qu’on heurte à l’aorte des passions panées
[…]
alors ce qui me surprend surtout, c’est quand je remplis la cave d’eau, j’y met une étiquette, une sublime, d’estime, c’est le son doompf, ce tac, cette aspiration de l’ampli, est comme la brise sur le son séché, et comme la bise dans le canal chronos, cette thèque, couloir nostalgique, la muraille éventrée, la ruine, les portes du secret, mirroirnumérique, ce tac, et tonne au commerce de ces bassins offerts, mmm je m’y plairai
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photocopains et photocopines
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séquenfrères et séquenceurs
Ok
Ok, système je t’étends.
Une bombe sur pattes à quatre.
C’est du bloom, bébé!
Les gueules de loups sont à cueillir au chenil.
E.mosson de la discipline polluée.
Tiger à la tangente du ronron vorace.
Enlace séquence.
Aussi, saute ces cernes suivant l’espace angoissé, ductile au photon.
Once vicieuse.
Mais abuser le long des jouets machinaux marchant visqueux excitant violets à sucer clair l’éphémère miroité encore cloitré au risque encore la peine et oui hisse l’azur que décline des nuées soupirantes encore ce ternaire écarlate à souhait éclate minet dandy pro-fête profond des saisons aqueuses pure crevaison sonde obstinée au sucre monumental les papilles corticales toutes mouillés
et run les garrigues kamikases vite vite vite jusqu’à l’amnésie fondatrice glad game open. Je te suis.
papillescorticalesj’écoute
Taurine*Lactescence*Pacte ce lac*A pic de cris*Long mot mou*Synesthésiquement pensant omnidirectionnellement*A donc donne*Pâme l’acte*Nappe en quinconce*Tact*Charlatan*Banc*Kyste en bure*Pansement élastique*Durant la tension décisionnaire*Vue sentie*Au raz du crâne*Retordre le retour*Réifier*Immanquablement*Le microscopique esclave*Anse*Triche*Avec forte friche préprogrammée*Égare*Chemtrail pour solfège*Ciel tueur*Acide posture*Sûre*Pure mamelle*Pour missive*Serin sur des ondes*
Florence lac des signes lac des ombres éculons mal adresse mors de tendre
en calèche à tâton
à Cabours, maître de son portable,
sot gaiement, protégé, tunneldefemme,protéiforme
luttons*De notre canapé* zero degré*Feu* Indiscutable*et même qu’il lange*à califourchonne*
A l’âtre du portable, le nez à la terre, il bulle°°°°°muet,
fermant fluide
ses conduites instantannées.
Il télécharge, planiste nonchalent, Electra et son historique à l’inclusion résinneuse.
Virus stellaire
ses rires combustibles
comique tatouant, il visse la sylphes pro~êtres>>>>par curseur hystèrique,
viande brûlante
sang sucré
toucher cavernicole
au nom de la soubrette
Son eau hierogamique
la partance claire jusqu’au vit édité au point que le point ne signifie plus rien………………………….
……………………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………../……………………………………….
…………………………………………………………………/.. ……………………………………….
………………………………………………………………./… apnée du sommeil………………….
……………………………………………………………../…. ……………………………………….
……………………………………………………………/….. ………………………………………..
…………………………………………………………./…… ……………………………………….
…………………………………………………………____………………………………………..
………………………………………………………………../…… …………………………………
……..pléonasme…………………………………………./….. …………………………………….
……………………………………………………………./… ………………………………………..
…………………………………………………………../… ………………………………………….
…………………………………………………………/.. ……………………………………………..
……………………………………………………….
……………………………………………………..
…………………………………………………..
…………………………………………………
………………………………………………
……………………………………………
………………………………………….
……………………………………….. double visage
fermant fluide
conduite instantannée
rire entêtant
comique tatoué,
viande brûlante, combustible
cons du soir
au curseur hystèrique.
ton sang est sucré
toucher cavernicole
eau hierogamique
partance claire
jusqu’aux avidités
j’aime les contes ironiques
lisses en couteau, état uni
gamineries techno
verbes salis
lame salée, lame salée
de tant de coups de langue
vaste monde
à baldaquin
couchercesmotsde force
en boîte tremblante
c’est léger
l’Alicantuveux je glisse
sous-terrain, aérien
mais pas sur le tarmac
pensée horizontale
mais pas sur l’escalier
pensée en ciseaux
mais bien l’impression
tout ce qu’il y a dedans
le masque musique serielle même à distance coupe, bruit, existe
car il y a un crack dans tout
c’est ainsi que lumière s’invite
Tilt sorcier
parti syllaber des spots
ameliber
baise lance
en salve discale
ameliber
torque tessiture
câblage de joues
ameliber
contrail vu
violence à buée
ameliber
nul connecte
coque clique clair
ameliber
clamp Pan
bacchantes tact
ameliber
basse ban
tactique stand
ameliber
croque clou
gore gaule
ameliber
glam glane
gang gloss
ameliber
lie alliée
allongée louve
ameliber
mêle mise
lace lame
ameliber
amollie berce tain
la meule bien braque
ameliberathon
Contes iroquois niquent
gamines techniques
Alicante versatile
lisse écoute universelle
l’âme selle, l’âme selle
et fouette linguale
le frère sonique
au dents telles des temples
valse monde
à brodequin
couchercesmotsdeforce
boite secousse
lévitée
l’alicantuveux glisse
glisse!
Tunnel céleste
tarmac a dit non
adage alite
alite!
L’escalier a dit non
adage à lame
émotionnant la périphérie interne
le masque existe
muse des hic
auditifs comme tout
des hic où s’insère la lumière
je suis à la fois accusé et absous
Combien de protecteurs ?
Cimer en compagnie de monsieur nerveux
marteau rouge
plantation aérienne
courant charnel
Episode un instant
facile urgence
Au tempo dilué de la crypte
et avec cette vue infinie
fissure solaire
dépose lait-cristal
fontaine du terme
le cheval salue de testostérone un vent signataire fou alors révélateur chromatique piaffant des parfums glacés durant la ronde cet a-verset d’en face cabale à présent certains micro-flocons par souvenance javeline qu’il aurait fallu laisser ouvertes durant la ronde où joutent trop de juxtapositions perplexes pour avenir terre et ciel et dedans immanent nobostant zone perdue à l’air durant la ronde pas de manque connecteur juste un coucou polaire nimbé d’espoirs crépusculaires qui acteraient bien une fin au galop de la concorde mais plus tard le cheval
l’évidence moqueuse d’une seule langue
avec humilité
cassé mais très heureux. brisé mais content. ouvert et s’ouvre encore plus. jonglé, posé, repris, manié, bousculé, surprises! et sous-pesées. assoifé de vendange, puis, évidemment, ivre de colle. presque la tête dans le seau, la coupe en brosse. hein? mais je t’affiche oui. et je veux. sur les murs? rassis-toi je te montre. poussez-vous les bagnoles. je prend mon élan. je me fais une petite douleur au départ. quadriceps pointé du gauche, du rouge dans le noir. traverse en accélérant. oh et puis merde. non. pas de blague. pas de mur. pas de porte. pas de voyage. pas d’autres. et pas de trottoir non plus. non pas celui d’en face. je me propulse sur une voiture et roule boule sur le capot arrière en arrachant l’antenne radio. enfin ça se coince dans ma ceinture. j’ai l’air d’un con. je sais pas. je récupère la friture. l’écume des jours. je regarde ma pote sur la terrasse d’en face. consternée. enfin non, curieuse. non plus: inquiète. oui c’est ça, inquiète. bon bah je me casse. enfin je paye. je paye tout. j’aimerai acheter le bar. ou que cette terrasse. ou la chaise en rotin
extrèmement positif.
je sais pas moi. des histoires de cheval. comme un nom de groupe. ça ne pense pas un nom de groupe. d’ailleurs un cheval pas trop non plus.. un cheval ça court, ça bouffe de l’herbe, pis des fois ça se souvient de toi. mais pas plus. ça va piaffer un coup. bon et puis après ça trottine
extrèmement positifs ça les chevals, avec tous leurs cheveux,
je ne sais pas ce que veulent dire les chiffres. mais je connais la loi des séries. je sais qu’après un certain temps, on comprend.
– Lamentations des machines.
– Exécuter ces signaux à l’ordinant.
– Militarisation des repris consécutivement.
– Apparoir de mauvaise gauche au carrousel des tic-tacs †
– Computation parmi les codes itinérants.
– Transir son activation.
– Captation maniaque décliquée par sinus cardinal.
– Onduler de soliste à soliste jusqu’à réversion.
– Automatisation des chemins hypocoristiques.
– Égaliser les résultats.
– Modération exacte complétée.
– Traiter certains critères capitaux.
– Induction aux cistrons sur-voltés.
– Rectifier à la mise à jour.
– Attention: les poupées ne pleurent pas.
– Promenade dans les bois de Lübars
– Apprendre aux oiseaux comme à soi où nous sommes
– confondre présent, passé, avenir, cris, chants, soupirs
– incompréhension devant la fin du programme
– non assistance à personne en danger
– câbles sous les eaux chaudes et salées
– vie liquide
– incrémentation du doute
– Bottes en porcelaine
– Je ne marche plus
– Voudrai lui donner des ailes, apex pointu, s’élever de sa charge
– Ne sait plus si elle rit, ou réagit, ou se moque, ou peste, ou carracole
– Power off. la limite est franchie
– Piste cyclable et fantôme de route
– Pluie, soleil, Lübars. écoutes
– 5 mars, et autant de quètes
– En toi d’inestimables
– impardonnés salpêtres
– couche de vent ou de verni
– gratte à l’épaule, au bas, horny
– bague au bras, aux tôles, hors net
– sont sans menottes, tes yeux vert nés
– …
– …
– et si longtemps, sur une pause
– je n’ai jamais menti
– umziehen, rien qu’un grand lit
– une atmosphère, à contenir
– mais tout lire aussi le temps
– jamais d’accord, ok, jamais perdants
– je voudrai que tu grandisses
– comme une rivière, galant délice
– où ruiselle la solution
– Attention ocytocine- Chaque mouvement- Chaloupe- Loup- Marche en dedans- Cap- Peur- Tiédeur- suspendre l’appellation non-contrôlée- Brise- Moi- Les spectres du vent entre les incisives- Double-trouble- Réverbération décousue au dehors dermique- Et tension- Aussitôt film- Syntone tout de suite- Mise à l’heure- Comme mise- A- Mordre durant la mode- Détrousse l’air interstitiel- Même fourrure qui rassure- L’assure falaise- La boucle clinquante calquant ce moteur- Silice sûre- Pas mieux- Ah si poney kawaii-
Les sifflements provocateurs mièvres partis en exil sur le scintillement des amants à échos carnés chantent un nouvel agencement limpide de codes aquatiques certains d’envoler la joie originelle que tu chuchotes au sein des ténèbres illuminées par onyx pensant quelques pudeurs plaignantes manufacturées sur des concrétions alors chaotiques qui déplient les cervelles au réveil ainsi mielant quelques génitoires gentiment glanes d’amativité.
Les tam-tam en ressac, ouvrent des portails saccadés certes sérails extravertis où hurlent obstinément la source aurorale jamais mourante si ce n’est de l’ultime agon persévérant ses performances jusque boutistes, là où jaillir est un mode de vie.
Descente astrale apposée.
Hématome mondial.
Pistil palpitation injectée.
Et cela dégouline le long des significations propulsées par son énergie pathologiquement explosive à briguer la semence stellaire maniaque de myrrhe, de genet, d’écorce poudrée sur l’air odorifère soufflé d’une compulsion évidemment cristalline car fléchée vers l’avenir poussant entre le milieu de façon omnidirectionnelle qu’embrase la rhétorique de l’adn véritable moulin à paroles d’une diction devenant bâtisseuse démente quoique cohérente dans sa chute infinie.
Ne pas glisser sur le sang du rossignol, il ne s’y perpétue pas assez de vent fécondateur d’horreurs salvatrices tant que se souple la vibration encore cavernicole presque argileuse à ses signes comme au temple sonore d’un temps clonant ses multiples sur le xylophone taquin des piqures de rappel alitées avec l’extase fraîche d’un parc de coquillages prêts à se faire concasser.
Semonce cinglante si sibylline.
Calme cas de l’ère.
Calvaire au scaphandre déchiré.
D’abord tu a délité les louanges, les insultes des saints, caressant des glaires à peine écloses sur la nacre obscène tellement illuminatrice, plus loin que la grotte des sept dormeurs où se flûter ces alphabets mémoriels au germe des kit à penser castrateurs et putréfiant l’innocence celle qui bredouille des bulles brillantes, puis tu a signé ta présence au sein des trous de verre.
C’est oublié dans nos cellules cimentées que susurre la seconde remplissant l’évidence tant de fois obscurcie au nom de ces salives photoniques dictatrices avec orgueil profanateur, avec cages à gages, mirage d’un age sécuritaire concentrique à la fange toujours royale, tazée, intimement électrique sur les soupirs des aboutissements foudroyés dès leur seuil.
Linceul social exotique.
Unique démultiplication.
Touffeur produite au désert du sens.
Adore éroda le tacle de l’éclat
Entier, solwos,
entier, seul et sauf.
Solwos.
La chaise tournante, pourtant toujours si fidèle.
Sucre sectateur certain.
Contre les mandibules de l’ampoule,
trou d’homme papillonne.
Standing convertible, juste, nonchalant,
à fondre ses mains presque coussins.
Un barreau cherché qui perche.
Sofa touriste bukake.
Mousse la fumée sur le plaid.
Et,
étrange moiteur de la table hirsute.
Nous les savons; les supplices de l’hélice matricielle lui sont aussi favoris en tant que support qu’en tant que joueur.
L’alors sombre sublime cet enjoué gisant, s’y incruste le Lhotse central.
A son ombre, nous pataugeons parmi maints polymères en prières circulaires à ce moment là, aquatiques.
Chaudes, elles giclent des joies sur les vulves bombées à l’altitude.
Chaudes, elles pissent l’émission de codes extatiques purement éblouis et irresponsables.
D’un battement, voici venu du sommet le jeune tumulte.
Sa réalité jaillissante expose l’étendue infinie d’un toboggan violine et laqué d’où glissent déjà cent suppôts amusés, terriblement.
Ils arrivent ivres au vrai havre.
Nos cirques s’entremêlent d’hydres aussi tôt spectatrices, tendres hormones complices.
Nappent ces liesses prêtes au bon sang en bain spéculatif.
Tu dois poser tes appuis. N’oublie pas le trépied.
Il virtualise la leçon à la limite des rayons.
Les silhouettes y sont sincères, ténébreusement parlant l’autre.
oui, prends le comme ça.
L’enfant se fait une montagne d’esprits à son horizon.
La raison capturée d’une génération à l’ode de l’adieu.
Bleu adorable au catch brise vitesse glacée.
Des fois, je dois blesser ainsi.
Se brouille le zèle luisant, trop limpide à pouvoir perdurer,
comme,
signé par la lubie du bien qui dégénère à chaque matin.
Gland blanc
derrière le crâne
Croire qu’il coulisse de micron à micron
Sans pli
Viande nébuleuse ronde
3 grains après le lobe
Hantise samplée à l’haleine
Ainsi hantise aussi laiteuse verticale
Plus haut
Le gland blanc
juste racinant des semblants hématiques
Réflexe blême
Hématomes crochus
traverses en ouragans blancs
panoramiques nord . sud
racines infra-logiques
découpes sémantiques
constructions libres à soi
ready unmade
si loin, si proches
vaste habitacle
théâtre de
colères multiformes
pour ne pas tout lécher
sur mes sols en sous-pente
attack decay sustain release
la tête à l’envers
comment te dire?
cadeaux de ceux
qui ne comptent plus les jours
en respirant tout de même
l’air pressé codant
je crie en html
la planète toute entière
et combien de lieux
ne nous verront jamais?
jamais de phrases en l’air
Nous ne nous tairons jamais
d’ailleurs,
je ne me tais pas.
je ne me tais pas
d’ailleurs,
Nous ne nous tairons jamais
jamais de phrases en l’air
ne nous verrons jamais?
et combien de lieux
la planéte toute entiere
je crie en html
l’air pressé codant
en respirant tout de meme
qui ne compte plus les jourscadeau de ceux
comment te dire?
la tete a l’envers
attack decay sustain release
sur mes sols en sous-pente
pour ne pas tout lecher
coleres multiformes
theatre de
vaste habitacle
si loin, si proche
ready unmade
constructions libres a soi
découpes semantiquesracines infra-logiques
panoramique nord sud
traverses en ouragans blancs
Hématomes crochus
Alors taire s’accueille…………Déjà…………..Ouragan partisan……..Rare à l’aurore……..Est errance…….
Domaine infra-baissé………..ductile………..le théâtre e.vertue…….en rushs……………….in-assouvir…….
Orne l’intervalle…………………..limitrophe…..des ires sucées………polymorphes………..en flash…………
Rieur planétaire………………….à la bise……..chiffrant l’autre…………dédire las……………..open……………..
Endêve toujours ici…………….du levant…….qui crie caché…………..rassurant……………..la tanière………
1. Mur, ni à l’ouest, ni à l’est, ni en haut, ni en bas; à croire qu’il est électrique.
2. Faces de la langue comme lames de l’interface.
3. Après nous, c’est le rire en temple sonique.
4. Machines tissant les lignes du monde, jeunes parques.
5. Clés digitales et une seule est opposable.
6. Celui-là effleure la surface toujours prêt à bondir.
7. Qui surfe sur le plasma tribal du napalm ?
8. Balance l’infini fissionnaire.
9. Matrice insérée au rythme des codes.
Je suis ce fait fabuleux indélébile.
Je suis l’éclat de la douleur qui n’a pas d’heure.
Je suis avec mon frère l’air, matière des émois.
Je suis aussi rapide que l’âme démêlée.
Je suis une longueur d’onde bien choisie.
Je suis suis la voix aveuglante et callipyge.
Je suis toujours enjambée à une partie de l’année.
Je suis avec toi au crépitant crépusculaire.
Je suis la couleur insaisissable des ténèbres.
Qui si ce n’est moi, peux te voir au frémissement de la confiance ?
Déambule pluie
et ronce ces hirondelles
synapses pianotées
sirop vertigineux
la pointe bien programmée
chute cajoleuse
cris à l’affut
écho écho écho
croire photophore
par cette rémanence obsessionnelle
souhait aqueux
brume sulfure
car câlins, les monstres rêvent
nomination vorace
chiffre ermite
écho écho écho
bien plus loin que la cachette coronaire
les 7 dormeurs tètent des têtes
perles pliantes
tanière en roue libre
flaque cosmique
sous tige comique
concentriques courbatures
Ne pas sortir Nihil Und Ereignis/ Sombrage/ Mâles nuages à liberty city/ Sombrage/ Plein trois/ Sombrage/ L’appendice pertinent au vent/ Sombrage/ Qu’importe la mesure/ Sombrage/ cloche le signe à la personne fluide/ Sombrage/ Vraiment vain/ Sombrage/ La louange obscène et chirurgicale/ Sombrage/ Ou les légions impériales en frisson giflé/ Sombrage/Viande là/ Sombrage/ Souci secoué/ Sombrage/ Soluce au recrutement du clan élite/ Sombrage/ Taux de drop assuré/ Sombrage/ Pas un n’exécute sa physique/ Sombrage/ ça dégouline/ Sombrage/ Chimio magique/ Sombrage/ Borde ciel assassin/ Sombrage/ Emballe la fantaisie finale/ Sombrage/ Ne vote pas au diktat/
Il paraît qu’on a deux cerveaux. J’aimerai bien savoir où il est, l’autre…
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Auddie Live Un peu comme si votre graine de café en avait une deuxième
il y a environ une minute · J’aime
C’est quelque chose que vous connaissez
mais que vous ne pouvez pas nommer.
C’est une notion très familière.
C’est une pensée très rapide.
Cela détale lorsque vous approchez.
Vous le possédez pourtant et
vous ne pouvez pas le donner.
Enfin, quand on vous le montre
vous n’êtes pas vraiment sûr de le reconnaître.
Petite précision: Vous le savez déjà.
AINSI soit—il pour les mourant pas de jeux , la libre envergure pour tous, nauséabonde, je tu toie un ange, démesuré et je bois à l’eau de sa langue un nectar frucitifié en pénétrant la jungle de ses cheveux. L’ongle est dans le nerf d’une souffrance impalpable, ainsi, il me plait de geindre et pourquoi ne pas dire combien nous nous aimons, ainsi soit-il, je veux allelulia, so les esses grincent à la reberb.
OK, bye!Bye!
baille extaxe…..
Engrisé par un glacon d’artois je fricasse à disjoindre la plus grande fabrique de sucettes calmantes de l’histoire de toute la région. C’est plus grand que nord, ça à tous les coups. Dans son giron se calavacadent des dizaines et des dizaines de forcénés du beat mais façon malingre, avec déjà la corde au coup, mais quelques regards pointus conditionnés par autant d’agacement devant les petits cris des cinémas à deux pates, cinémas parlants, tous ces cons en débraquemart, je regarde d’abord, et puis non, je compte les scandales, les grimpes à rien, la vaiselle de nos gorges serrées par la politesse, le petit truc vacance. Il finit son thé à la menthe et file sans poser le dernier carton. Un as, probablement, ou un sept de trèfle.
Une foulure de tourmentine, quoi.
C’est ce que diront les hommes du futur.
Durant une année d’un jour, en allant par le chemin aquilin, des pixies pertinents plein les membres,
il sème son vieux sacerdoce.
Son vieux sacerdoce sale à l’arrache, à la scatach, à la hache, wesh, sale son vieux sacerdoce, son ascèse affûtée, son exit stance têtue, scande encore encore encore le passage des deux fois nés.
Le passage des deux fois nés ne sent jamais le sapin, ne débogue pas les gargarismes, ne nourrit surtout pas, au grand jamais, ne pas nourrir les homoncules au passage des deux fois nés sauf si le chêne sort de ses gongs.
Si le chêne sort de ses gongs, un claquement de doigts aura passion de la trop grande vibration, de la leçon de l’abandon, de la chanson du moribond, en danse adorée à l’adieu, aussi en bleu adorable, assis par terre comme un enfant les hommes du futur l’appelleront grand prince après avoir foulé la tourmentine.
Mektoub, coiffe-toi tu me fais peur!
…
FPS- Je ne peux pas tester le pillage du pirate au chapeau de paille.
SPS- Tu transgresses l’appel du devoir dans les dos sages.
TPS- Il s’aventure au sein des zones délitées.
4PS- Nous sommes solitaires sur les navires ivres.
5PS- Vous tuez en chœur ces démos de vertiges génésiaques.
SPS- Ils explorent, ils sont légions.
IPS- Dérobe d’une traque furtive la manie mentale.
Tu boises dans les rires- Tu faunes au sombre hystérique- Tu animuses des matrices- Tu familles toujours sauvé des ages toutes créatures- Tu sarabandes n’importe où- Tu glandes dynamique- Tu auras autour d’elle- Tu rafales ces faits fluides- Tu véneries de violence jouissive- Tu phalluses à chaque tige l’intact imminent- Tu averses de tes cernes célestes l’induction fertile- Tu torques digital- Tu testostérones par flèches magnétiques des parcelles de parsec explosés- Tu ramures la liberté- Tu cornes clair- Tu kératines au passage- Tu polissonnes symphonique- Tu verves gentiment- Tu instinctes bacchanal nos tumultes- Tu sybarites en paix- Tu chances sans cesse- Tu cœures coquin à l’infini- Tu mâles l’âme-
Merle le feu fera.
Embêtant bêta test à culbute.
Où système mental n’est qu’acéphale.
Douce célérité.
Souvenir vagal.
Médusant l’énergie de l’impacte.
Pas de contraction à la réception.
Fluide hilare.
Once influence.
Certes la foi aura.
Aria alpha essai par avalanche.
Décime le rachis des villes.
Gente lourde.
Ratée pastorale.
Allant sur missives maniaques.
Super scénario de cursifs sèmes.
Perle le nœud sera.
Les grands pins frémissent de joie
Car chatouillés par les nuages
Seul, le vent sait pourquoi.
Loin du fond
de son souffle phanérogame
les tourbillons
tinte ce fouet incolore
à l’ignition par randon
les cimes
estime arrachée
yaourt gallois
en haut la houle enfin
hypoxie de la joie
l’escalier est relacé
héler
et Elle
Dans ce bar, je fermais mon traitement de texte en pensant : « je crois que j’ai fini mon roman ».
Je ne me sentais ni léger, ni spécialement heureux. Excité oui. Renforcé.
Alors je regardais au fond de la salle cette fille qui me faisait des moues discrètes,
Et soudain, je vis son visage.
Pas mal.
J’avais perdu ma myopie.
Désolée d’avoir oublié la clé sur le portillon.
J’écoute, oui, toujours j’écoute:
Il n’avait pas pleuré depuis 1967 et c’est beau.
Soit disant.
Grâce à guiroud, l’incendie à la place de l’oeuf.
Non, je n’ai pas vu, j’écoute.
Des kilomètres de tulle autour de la mariée.
L’unique technicien qui casse le groove au shopping des midinettes ménagères entre midi et deux.
Ma coréenne se hissant afin de saisir l’élixir jaune pendant que la boulangerie brûle déjà.
J’entends alors: c’est pour mieux vous sortir.
Vous êtes trop bonne.
– Piétiner, même pas payse, les cercles sempiternels.
– Des étoiles fracassées aux talons.
– Grand manque de claudication.
– Plaintes et paroles à la chaine d’ambre des experts.
– Tentation des tentatives.
– Exulter entre l’interstice des syllabes caduques.
– L’incommensurable silence commence sans cesse.
– Espace affable si.
– Humus sociable si.
– Si la petite fève loge au tympan.
– Emmasquer les monnayeurs, le pouce à la bouche.
– Ouïr du sable aux polymères, la tierce foudre.
– Et avec la bénédiction des bâtisses, balayer le balbutiement des aubaines.
– C’est pour que je m’en souvienne.
Graine foreuse * Brigande * Au brio oublié * Est malsain le verbe virulent * Esse once again * Intrigante graminée * Effusion * Le bel outil * Efficace effaceur * Pastel * Sèche fibres tutrices * Easy usage * Tout se visse à l’inverse du solstice * Esprits chasseurs * Semence silencieuse * Livre le levier * Galerie * Eoran * Rendre la laisse * Bredouille brume brillante * Herne clair * Avec l’espoir d’un nom amnésique * Perce museau * Éclore alors *
Dedans moi il y a une grosse glace
à la vanille qui fond dans la nuit
sur les trottoirs de Miami Beach
où rugissent les confus crocodiles de
ma vacuité
ma vacuite s’aspire comme autant l’ubiquité dans un sac d’aspirateur, monde étouffant
et tournant les glaces
cherchant derrière le mur
Désormais, dans le musée ubique il y a foule.
Foule toute écarquillée autour de la Salomé qui s’est extraite de son verni.
Les chimères qu’inspirent les personnages dessinés par les contours de l’imagination magique trempent dans l’authenticité rubi du sang déjà gluant de l’assassinée. Leurs reflets flottent sur la surface du plateau d’argent.
Devant un long bracelet de pairs d’yeux, la vamp primitive prophétise :
– Car c’est depuis l’aube, dans un berceau ignoré qui n’est pas un sépulcre et que seul convoite la lumière du soleil, que le feu de la passion pour les femmes attise sans commune mesure et préserve le temps et l’espace des ténèbres de la géométrie.
Tu crocodiles des vacuités- Tu ribambelles aurifère- Tu cassates- Tu orchidées ces esses lestes- Tu nuites nourricière- Tu déliquescences- Tu macadames l’Ève immédiate- Tu dedanses nobostant tant de trilles en transe ces réseaux- Tu muses- Tu encores fluide et aspiratoire certains soirs- Tu confuses par rugissements sidérés- Tu touffeures- Tu chimères savonneuse- Tu sylphes sirupeuse tes trépassés- Tu lunes- Tu diadèmes oculaire à l’oracle décapité- Tu aurores l’horreur du code spatio-temporel- Tu nitescences-
Tous piétinent, sautent. La ferveur s’emballe. La pseudo-danse tapage si bien que du sol secoué émergent les os des défunts trop retournés dans leur tombes. Un par un, comme en une floraison miraculeuse, joyeusement ils apparaissent à demi. Autour de chaque moignon, rognons cartilagineux certains danseurs se précipitent attacher les fils de dizaines de cerfs volants. Il plane alors, tout au dessus de nous, selon le trajet hypnotiques des charognards les plus miséreux, des ivoires au ciel, les âmes des ancêtres de la ville.
Ailleurs!
Ailleurs, grondent les cicatrices à peine esquissées.
Et les spectres de l’hiver chérissent l’honneur des demi-teintes vitales patientant parmi leurs ossuaires où, justes, les louves pourlèchent ces stalagmites mythiques au soupir du calcaire artériel.
Les voilà, déjà alités à la couche de l’horizon. Les spectres.
Ils ricanent avec les charnières sur le maintenant à bout de souffle puis érodent cinq fois à l’aide d’une petite cuillère à trois têtes la patine rituelle qui étouffe les écailles des échos.
Plus loin, ailleurs, dans l’attente et en remerciant par avance toute réincarnation automatique, ces spectres nichent aux cimes des grues musquées-métalliques censées compter les frontières argentées de l’éther. A croire que les avatars cherchent une coutume.
La trêve d’un enfer d’une cadence innommable, cramoisie de lueurs dans le coin d’une pièce qui vous destine à la perdition rouge des cafés de Van Gogh aux ciels étoilés
Et d’ici je dois certainement ressembler à une vieille étoile, à un vieux soleil perdu dans une lointaine constellation pour qui regarderait en l’air depuis un autre monde, alors le rouge envahi tout, mais ce n’est pas du sang qui coule mais comme un air de carmin qui chante sur les cloisons du regard.
Des trombes de flotte me réveillent : Les nuages essuient un chagrin monumental.
On est sous l’eau ; on sous-marine.
A chaque fois que le vent surgit c’est l’ivresse de la nostalgie maritime qui progresse comme une marée du jugement dernier.
Des vagues vertes pleine de larges feuilles de canopée déferlent langoureusement. La forêt balance ses hanches de salope.
Tout frise jusqu’aux oreilles ; comme on chuchotte un assassinat. Les oiseaux blancs voltigent en écume mousseuse. Tout se renverse et s’agite aspiré dans même mouvement.
La pluie bave Niagara. Les pirates de la route, en bout de proue défient les brisants. Les branches ? Leurs jambes en bois.
Au loin, je le sais, c’est l’horizon sempiternel de l’océan que je vois. Ma mer verte écorce. Où les oiseaux chantent les cliquetis des poulies et manilles et où les cimes dessinent les voiles et les mâts d’une marina. Je suis sur une eau sans huile, le vin des amants en délire. C’est la calenture inversée, celle de la permanence verte à jamais.
Il s’est trouvé par un petit chemin lagunaire, le temple.
Se cacher pour y prier plus de distance au non des attentes vulnéraires.
Les femmes ont mitraillés leurs charmes, me magnétisant.
J’ai choisi ce fruit juste moyennant l’appétit du large, puis escortée des sand’s dogs calculateurs me suis allongée entre deux billes de bois.
Le sable en mémoire.
L’eau en mesure.
Des vagues, les têtes montent et descendent comme autant de facettes stroboscopiques à cette météo poly-maniaque. Ma houle hume l’écume des mâles. Multitude d’une humanitude poisseuse et prête à moult passages sous sentences huileuses sûrement ayurvédiques.
Des pas aux oreilles des chiens et je crois leurs crocs, à jamais.
Accroupi, le vieil homme me chante les idiomes des crinières, leurs légendes vétilleuses engrossées de fumées saphir, leurs manies qui hantent maintenant les bars de la plage.
La lune au plexus, je quête avec lui, hier.
Quelques câlins canins ne suffiront pas à rendre jaloux cet océan et sa morgue assouplissant d’un ricanement le fouet solaire qui sombre sous mes reins.
Le temps d’un flou, il est parti au surf de ses rides.
Alors, étoffer la marée par de doux adieux, masser le mignon refrain des visages puis essayer d’épeler ce bleu adorable perdu entre deux perspectives fières de futur.
Dans le film de mes songes projetés sur l’écran de mes paupières, Anouck chérie, je ne me vois pas ; ça m’est intensément frustrant de ne pas connaître mon visage. Malgré l’absence de miroir, j’ai tout de même pu consulter, au cœur de mes architectures merveilleuses, le reflet de l’onde. Ça ne m’a guère interloqué de constater que je suis, et sous chaque profil, comme l’âne d’or d’Apulée. J’hi-hane plus qu’autre chose. Je partage avec lui le désir baroque l’élan vers la peine nonchalante. Maintenant, tout autour de moi, ici, chez les locaux les plus ancestraux, à chacun de mes pas, je suscite l’indignation publique. Comme un profanateur de tombes précolombiennes je soulève de stridentes rumeurs et abandonne à ceux qui demeurent en mon sillage une délicatesse angoissée. Des avalanches de pairs d’yeux, trop ouverts, et de gestes tapissant de décence des visages consternés composent mon environnement. Alors que moi, comme tu le sais et comme je me le répète, je suis seulement un peu voyeur et avide d’étonnements.
Lorsque je considère le présage dégringolant de la morte en beauté, que je sais sa tête encore noyée dans ma cornée et son corps unique oublié de tous, poursuivie par mes chimères, je me dis – je crois – que ça aurait de l’allure de raconter tout ça à un feu de camps. Non ? Je pourrais tout récidiver depuis le début et peut-être mieux faire. Tout recommencer en pénétrant des flammes qui réchauffent plus qu’elles ne brûlent…, ça envahirait correctement les ténèbres d’athlétiques étincelles.
En dépit de la distance, plus qu’ailleurs, j’imagine déjà les pigments de braises patauger sur les dermes et briller sur les lèvres ; je devine aisément l’obscurité enlacer ma voix de sa plume funeste ; je respire sans difficultés le parfum du limon calciné qui fuit, effrayé par quelques dunes désertes. Je me dis que le cœur et l’haleine suspendue des animaux morts seraient les éléments d’une audience fidèle aux ondes que j’abandonnerais aux tourments d’Echo. On écouterait, ensemble Anouck, dans les gorges, la tragique rumeur répétée sans cesse. Elle laisserait, comme ça, cachée en marge, derrière la silhouette d’un arbre, danser une oreille bienveillante. Là ou la candeur juvénile irrite le cauchemar et agace le prisme hanté des noires et robustes forêts occidentales, tous m’écouteraient. Je pourrais alors, pieusement, dévoiler les promesses que parfois l’art soumet aux âmes désarmées ; et parce qu’il faut la voir, je situerais l’invocation, là, en bas, à gauche des Massacres de Scio de Delacroix. Puisque c’est dans ce coin, un détail sans noblesse, les membres négligés, amputés par le cadre, qu’une jeune fille instruit au spectateur attentif l’authentique compassion. Avec celle, inséparable, qu’elle étreint – il faut, en effet, les appréhender comme une entité unique – elles représentent à elles deux, très certainement – en tous cas, à ce moment là, pour moi, aucun doute ne souffle – l’un des plus rayonnant couple peint. Il faut voir comme elles fleurissent dans le cloaque de la sauvage débâcle. Cette apparition, presque obscène par l’exhibition de sa différence mutualisée, s’éveille comme une oasis de charité inespérée. Le reste est un amas de renoncement aux regards lugubres et ou l’extinction de la pitié entame la marche de son règne. L’âme des victimes dans ce charnier n’est plus capable d’atteindre la province de la détermination. Les corps affalés égorgent le génie de la sensualité. La substance de leur vitalité s’échappant, chacune de leurs intentions semblent s’évanouirent au loin – comme si il s’agissait de celles d’un cheval blessé prêt à l’achèvement – vers le lieu interdit ou l’illusion trucide l’espérance. Toutefois, lorsque l’on s’attarde un instant sur la jeune fille qui étreint de toute sa compassion et de tout son courage le chagrin inconsolable de son amie c’est si fort, si chavirant tout s’évanouit, se fige comme l’horizon. L’allégorie de la consolation même – la seule – à le doigt sur l’interrupteur du démiurge. Le corps nu de celle qui refuse, magnifiquement couvert du miel crasseux de la dévastation, les cheveux échevelés gras cheval, s’étire, vers celle qui accepte, dans un élan sauvage propre à la conviction d’une liane. Son visage, ses cils mêmes insultent l’horreur. Son attitude ne cristallise qu’une seule émotion, qu’une seule dévotion. Sa représentation est inoubliable. Je sais, quand cette image s’impose à mon esprit et illumine ma conscience, que ces instants, ces mythes que l’ont transfigure ne peuvent appartenir qu’aux femmes. Seules elles puisent ce tendre ensorcellement, cette somptueuse vérité et cette parfaite insolence aux terres les plus sombrement maudites par l’ubique violence. Il faut voir comment, malgré le chaos, la compassion serre et embrasse la joue de la détresse, la plus étouffante, la plus carnassière. Par son baiser elle essuie et engouffre nos peines. Cette brune héroïne, virago fauve, appartient, à n’en pas douter, à la catégorie des astres sacrés du zénith lacté. De ceux qui sollicitent toutes les révérences. Quand les temples s’écroulent et que le sang sinue dans le sable il émerge des visages que l’esprit fige dans le marbre des panthéons les plus inestimables.
Dans le sillage mal léché pour parler sûrement de la vérité sushi sans ride, l’Érodium révèle l’exil de sa perfection, sa beauté complétement inutile, sa branche maudite irrévocablement désherbée nonobstant l’infini asservi par les peuples.
Elle s’apparente, loin du mortier, au crible critique éprouvante sur ce Simon plus que défait de froment toute fois vanné en enfer venu écouler ses grains lors de la certaine cérémonie d’un shintô famélique.
Elle sera la sainte aiguille de Magalona vers le sud aux yeux de paons, après cessation d’activités suivant ce septième sire solaire se souvenant certainement si ce sabbat sanctifie son essence sous sentences scandées sans standards spéciaux.
Elle est chez nous autres, voyez le bec de grue musquée en train de trancher six phalènes unitives quand l’heure de la mort délie nos défenses laxistes dont le trop plein déclare sa flamme au néant et par ce fait nous ne sommes que fils et filles de l’écho et du mirage.
Elle systématise par durcissement une de ses méta-milliard d’épée qui déploie alors cinq esses perforeuses pire qu’un Hérode avorté, ancré en creux, englué en égo, enchâssé en chasuble, anguipède à la bulle bifide, puis lorsque sentinelle soudée, elle perçoit le voyant qui suggère sept crânes et dix bois alors affable d’un seul aicme le bipède sera scarifié.
Elle mire la frondaison des dojos poudrés du pollen des sortilèges, des sacrifices de ses propres première femelles car oui: il te faut tuer ton enfançonne pour que cela lui soit propice; mire éthérée très dure, ces honneurs ignorés mais constructeurs de nations sans interprète au nombril terrestre où elle germera encore au sénat des curieuses juxtapositions pathologiques, la quête lagunaire et jappantes , cette graine questionnaire érodant la planète mais qui donne à l’humain la pulsion de la faire évoluer en bien ou en mal, ou de caresser le hérisson.
et les gens rentrent chez moi, regardent chez moi, et je n’ai plus de frontières. Je ne suis ni là, ni là.
viendra le fluide qui se flûte
là où frôle la feuille
l’air jouant des tours toujours
au tintement de lumière
le lait en mémoire
on se souvient à la caresse
aussi solide que la bise maternelle
la folie venteuse rassurée par le père
serpentera le bleu entre vous deux
l’éon qu’est-ce que c’est suspendu
à ce réveil velouté sur l’île stellaire
une pièce aux nombres incalculables de faces
s’abrège avec votre accord ici
tous les sons communiquent la prise de conscience de l’univers
Quatre pattes à la bluette funéraire blottie au sein du bénitier que balance la lune, fille naturelle de la terre et fille adoptive du soleil (Elle est allaitée au larsen des crinières nomades ( Sous les sabots, la vision jalouse d’une mesure onctueuse (Ce chapelet salivaire en cache-sexe ne compte pas plus qu’une touffe tourmentine dans la vallée (Whatever words she spit, however far away, they make her grow like she is green again (Les prêtres de leurs robe à l’air vannent à cloche-pied à peine fétichistes ces fraîches moissons, symbiotes des saintes tangibles (La revoilà escortée de ses photons satisfaisant en gerbes évanouies joyeuses (Qui atteste du tact cuirassé ? (On a dit qu’il avait appelé les poissons hors de l’eau et elle n’a rien voulu savoir des recettes du fin’amor, une morsure de miel surement (Jusque là ira le rayon prédateur de teintes tentatrices ( Et écorner le croissant au plexus solsticial sans faire preuve de fair-play ( Son sourire se saigne sous ces cieux)))))))))))).
Dans l’optique d’assassiner la lumière : Un périple insatiable, du natron aux iris, en mire : El lucero del Alba, la cachette de la mouette, quelques voiles pour le corsage, l’antiméridien du phénix, and the Wise Wild West : « Afin de libérer son esprit, il convient d’attacher son cœur » : Prends le loup pour époux pendant la chasse galerie :
Beau bélier banni : écume broutée alors : l’acide salive :
Sept as savoureux : syllabes de lucarnes : armes aux lèvres :
Pigeon peu prieur : la symphonie murale : silence on mue!
Le vif saisit le mort lâché là par radio chaos le vif lie le mort à la chute de la vitesse-équilibre récurrente brondite sous son massage le vif secrète le mort qui se laboure se niche pourvu qu’ainsi soit pris l’envol du volt le vif mange le mort en dilapidant sa mémoire automatique évertuée de risque le vif parle le mort sur spasmes sympathiques ironiques ricanant du lit au cercueil le vif danse le mort entre les reflets des cieux et des ondes à l’ensemble des constructions cérébrales qui font office de soi le vif adore le mort couché sans justice à la première réaction où se devine bien des lucides si la prison ouvre le temps le vif rassure le mort captivant l’arrêt une patte à l’envers le mort saisit le vif
F forme K klang V viite L liip Cliiit Geek
A lme A sensible A rythmique Laminat (qui est un parquet en allemand, mais aussi probablement une manière de signifier que : J jeune C cantique
et bien sûr que Je devrai augmenter mes T tarifs
.
.
.
Hier j’ai précisement vu quelque chose se passer: il n’y a pas de sujet, pas de temps, pas d’indentification autre que la mienne mais ça ne rentre pas dans les prérogatives comment dire, sémantique, uni directionnel, balisé, normaux, ou même graphiques, conceptuels. Qu’à chaque étape de la lecture, il n’y a mais alors aucune espèce de
O oh E et P puis J je M’ m’amuse
enfin oui c’est comme un loisir, mais ce n’est pas expérimental
c’est une manière d’etherer le signal avec une déconnexion forte, phyque, emotionnelle pas vraiment, disons deconstructiviste élémentaire, mais pas absurde, il est là le sens. LA distinction. LE secret. Et pas la parodie. Et pas le n’importe quoi. Et pas l’automatisme, puisqu’il l’automatisme a été depuis longtemps répondu et tant assimilé qu’il s’est désolidarisé d’une simple technique idiote de la déconstruction sématique plagiée sur un combinatoire sonore et instinctif, humain.. enfin des trucs d’insectes, de libérants, de gaze quoi, pliuupp, on passe les voiles, ça bouge, non. ça ne bouge pas.
C c’est ST U un N
on en sait rien
Insaisissable dans la lecture
une irresistible envie d’aller dans cette direction, en tant qu’elle fait sens par sa pratique, parle et fait de la poésie
et par renfort, par intime respect pour le sens classique
il se fomente là des ingérences d’autres arts et c’est bien normal, on est en 2012
c’est abstraire aussi la parole
à la dégager
l’érer
l’bstruer
a
o
la rendre plus conséquente en quelque sorte puisque si nous pouvons nous permettre ça, alors nous vivons dans une société saine et nos errances sont des gestes enfin
et ces gestes se défragtent en une composition
mais ce n’est pas fait pour faire un résultat
Tester le cri des poissons
car opercule
testiculaire
en exotisme
Claqueter quatre craintes
au pointeur barreaux
calcaire dorsal
le clown de boucles
Indexer ce digital
branle le soleil
pour sur obtenir
la claire averse
Et au passage: faut pas dévaloriser les insectes!
L’horizon, au quart de faux violine espère.
Il percetête l’instinctemps.
Marchaffut sur bordeciel.
Les frisepeaux attisent la fixetension.
Droit et tranche les lignes familières des femelles sous le vent.
En paracine se tremblevoit sa grâce.
Frelfe à l’âmechasse virecaptée.
D’une sifflebise quatrevoir son savesillage.
La panique est plantée, ne pas l’arroser.
Alors pour diriris l’enjouazur,
doucevrai, mes digilèvres vibrincarnent
sur ce mouvocéan songepromis.
Son halo a déjà tout irradié.
Ma mémocendre pétaleterre soulerrante
des émotimots par cambregorge
qui languetactent alheure mon cervocœur.
vas-y ma jolie, envoie de l’amour, du gros sexe et du chiendent
Souffloccupé des fractures jointesalletantes
tes lézardes poétiques jointent l’Un
en corps de la parfaite présence
a en perdre la voie.
Brise lumiere, poeme infinie, sans nombre d’abat(toir)-jour
que renferme la vie….
Bis ! Filoire d’étoiles saillantes…Bismiss ! …
Suture poussière réductionneuse fractures
a pleine brassepoussiere,
en plein fractal,
dans le varech, ——le saint oins,
et l’hydromel
a la ramassen’steack
(pour bouffer quoi ??. —–Se remplir du Mystère !!)
ce qui ne tient pas au ventre jamais
ce qui sesusmecombustionne épais
l’im-presmensongère raison,
d’avoir les forces de traversenager
le détroit de Gibraltar,
a plat ventre
surferidant la méreface de la mare
piquant du bec la glace, en hivers,
mourrantnourritnolent
qui ne tiens pas au ventre.
La farce !
le bide creux des imaginaires fanfares,
la parfaite errance
au sein de ce qui n’est jamais inintelligible,
la ou tous fait sens, tout en étant parfaitement opaque
a partir du moment ou la réalité qui me parle n’est plus celle immédiate, mais celle de mon être historique,
c’est tout l’immédiat qui me devient opaque
pour que se fasse la clarté
plus resserrer et puissante en moi.
Pour s’encourager on se dit souvent qu’on a tous rater.
C’est simple, prosaïque, et il nous semble alors que l’intelligence remet la sensibilité en place et inversement.
Comme si la correspondance entre les deux, formait un lien, l’esprit, entre un commandement et une obéissance, qui se suffisent en soi, se répondent réellement plus parfaitement qu’aucune durée dans le temps ne saurait être assez longue pour le démontrer.
Nous en doutons souvent
en ne la contrariant en rien sur ce qu’elle s’est elle même intyerdit
meme si elle s’interdit de n’etre pas odieuse , en scandale envers cacun.
L’unique qui manque au bouquet, n’indique qu’un comment est Dieu.
Une loi qui est on ne peut plus contraire a toutes lois, puisqu’elle ne produit que des résultats paradoxaux
inaccessible celui qui pourrait tout me comprendre ?
Je ne suis pas si orgueilleux.
Offre d’emploi : je ne peux même pas m’interdire tout comportement décent,
Carte postale : je vous emmerde.
Pas de destinataire a l’avis de décès ?
Aurais si peu aimer,
L’unique capable de tout me comporter ?
La pudeur me retient de vous appartenir autrement qu’en idée.
Aux idées j’appartiens sans réserve.
Elles sont ma grotte prés du puits de Siloé.
Est réel de vivre lorsque rien n’est atteins,
lorsque tout éclate en une impossibilité d’être tout,
comme une louché de vers sur l’inenvisageable beauté
comme ennui ontologique,
une folie métaphysique
ou s’éveille le vers
au fond de la viande.
Et que la vie bat son plein,
de remplir le vide par le vide
seul au fond de sa nuit
et que le vide, écluse le vide
et que né du vers,
la connaissance de la fin
étale dans le vide.
Le renouvellement permanent du désir
dans l’euphorique plénitude de sa force toujours renaissante ne m’interresse pas…ne m’interresse plus…j’ai trop conscience de mon propre vide, de ma bouffonnerie religieuse, du mépris et du dégoût qu’au fond j’inspire a l’être
pour pouvoir encore avoir la force de croire possible mon rajeunissement.
l’ivresse renouvelée de la force absolue, du désir, emporte-pièce parfait de circularité, a imprimer au chaos une forme
dont je suis vainqueur
ne me laisse plus dans la bouche et le sang que le goût amer du trompé.
Moi, ce n’est pas cela que je cherche.
Je suis plus vieux d’un instant de l’éternel naissance de mon désir
je ne crois pas qu’il puisse renaître plus fort que lorsque je t’ai connu.
Et pourtant il le faut, maintenant que tu n’es plus.
Maintenant que l’imagination boue dans ma folie,
que l’amour sans fin n’a jamais commencé dans ma vie
que la vie me prouve la fausseté de ma connaissance de la vérité.
dorment les fils du ciel dans leur bonté cataphile
ils allègent un peu de bleu d’un peu de blanc
1. Monde qui montre son monstre ronronnant.
2. Au milieu, s’échangent les mystères extravertis qui ne se lassent pas.
3. Sourire avec le triangle, l’âme diluée.
4. En souvenir de l’amour pour tout que flamboie l’onde bleue.
5. Sans ailes, regarde le ciel, il te tue, tu meurs.
6. Ce souffle sur sessions sinueuses serpente si syntonique.
7. Ciseler par les sentiments savants des amants virtuoses.
8. Se détachent ces boucles devenues sauvages éternelles.
9. Je porte en moi, le coma de ta prochaine caresse.
Voix dans le ciel.
Du milieu du ciel
vers ou je tend aveuglement,
de milles manières,
mais le plus souvent en m’effondrant,
et ou naquit l’unique cône de lumière,
coule la voie laiteuse
ce flux contrariant
qui semble aussi un arbre transparent
une limite au mouvement,
ou l’on voyait couler la sève
des mondes, et si vaste
que la moindre ramure était un océan,
un chaos, provocateur d’être
une fontaine, ou en se mirant, le néant vient a l’existence.
Le monde est pure écoulement,
des cascades de lumières
tombant dru au néant.
J’écoute une image
dans la voix de l’ange
construite comme un oiseau
une biologie de la lumière,
le chant jeté du silence
au fond de mon puits de colère.
Ou je meurtri aveuglement mon impuissance.
De redonner forme a la poussière,
de choses jamais constatées,
ni éprouvées autrement qu’en esprit.
Toutes les souffrances appartiennent a l’esprit.
Quand elle sera revenue,
elle me convaincra d’avoir péché.
les licornes nous disent
que les chevaux n’existent pas
Sa mère, ça dépersonnalise parmi les gens aux mains avec leurs technologies tutrices. Sa mère, ça
oublie comme une connexion wifi déchargée d’émotions égalisatrices édifiant des effets efficaces.
Sa mère, ça égoutte le flux en une flaque garce qui fait la nique au planning. Sa mère, ça fait
vraiment chier de n’être que le sujet d’une construction de pères malades. Sa mère, ça respire et ça
perle le fantasme des premiers pour-parler en sagacité fructueuse. Sa mère, ça chienne les fauves
moyennant des joujoux pas si extra sur des extraits de numéros. Sa mère, ça putréfie tous les
espace-temps perdus faute de l’avoir prise, sa mère la pute.
Dans la pâte bleutée
du rêve, tu me croquais,
avec un essaim d’étoiles gonflant mes joues
quand je dormais.
Et au fond du vagin qui formait mon oeil,
se refermer la cicatrisse du ravissement
dans des cantiques retentissants comme des scalpels de joie
évidant la nue apparence de l’appartenance.
L’échelle brouille ses barreaux,
a mesure qu’elle s’enfonce
dans le sens du vide apparent,
tissé de joncs
les tétons
offert en sainte communion
a la bouche de compassion.
J’ai la sensibilité qui s’effiloche,
qui se dévide dans des écheveaux de perte,
de couches successives sans structure,
gravant au burin dans l’âme
l’image du soleil
du tout incandescent
ou seulement nos attelages psychiques s’apaisent en se conservant dans la fascination sublime.
Riront , s’ils le veulent, d’eux mêmes, ceux qui auront cru devoir le produire,
quitte a tout émietter,
tout réduire en morceaux
jusqu’à ma propre volonté,
mon appareils psychiques fêlé
défaillant devant l’incréé,
le mal sans origine,
sans temps
et que le même fluide spectrale
inverse sa pression
et circule dans mes tableur e’xcell,
de l’étron a la cervelle,
pourvue qu’au bout
tout repose dans l’éternel spirale
du coeur, gravitant en cercle
sur lui-même
pendue au plafond d’étoiles,
qui nous a d’abord tous sidérés.
Nature est maître
de produire nos âmes du néant,
en devenant abîme insondable
puits et source de lumière
en incarnant le mystère
l’union parfaite d’être et de néant.
Mes tripes sont en plus grosses que ma cervelle.
Et le temps de demain ressemblera
aussi a un d’hier.
Mais c’est le même tissus
de lumière organique
qui se répète infiniment.
L’absurde de la quantité,
et le premier sentiment de l’être
et il éclot dans la pudeur
c’est a dire dans l’attention de la conscience.
Mais pour se distinguer l’absurde doit comporter que c’est bel et bien, une même structure finie qui se répète infiniment sans devenir nécessairement un non-sens
si en ce paradoxe fondamental, ce noeud ultime de l’âme que le mauvais poète que je suis défais plus souvent qu’il ne le tend jusqu’à l’effroi, la substance concrète,
la pate universelle,
le commun argile,
médium de tous les arts,
apparaît comme Esprit,
c’est bien parce que croire c’est prendre part a une partie de la vérité, qu’on ne possède pas.
Le temps n’existe pas.
Désormais,
les chevaux de Lascaux
ruent des matières de synthèse
d’origines indéterminées
ou des enfants de tout ages
beaux comme des flammes sans destinée
enfantent le vertige
qui les rend niais
mais qui soulève parfois aussi,
des funambules chaussée d’escarboucles
cavalcadant en furie sur des arcs électriques,
éclaboussant de chaos scintillant
le dais bouffon
ou psyché noya le dire
dans la pensée de l’avoir mis au monde.
Milles tirelires trébuchantes plus tard, le tintamarre bourdonnait encore aux tympans des églises. ….
Du premier mot de la mère
sa première angoisse
qui est aussi toute la nature de sa substance,
qu’elle offre au fils,
l’étendue de son être
infiniment nié
de la limite, chèrement payé
d’angoisses, et de commotions
extatiques d’une qualité sans laquelle
l’incommensurable né.
angoisses et commotions
des quantités sans lesquelles
je, sans permission
me, ne laisse qu’elle
dans un souvenir rangé dans le creux de mes mains
quelques encoches
des secondes
un prénom
non mon coeur, tu ne tuera point
je ne laisse qu’elle
suis peut-être un souvenir
dans le creux de ses reins
en fait je ne sais pas
et puis c’est flou
un mot simple suffit
pour quelques secondes de plus
mon empire pour un cheval
pourrai faire jovial humeur morte saison
portables telephones par quatre hommes
c’est tous ces appels, ca pèse
« see in my bag », une voix comme ca venue de la cour
comme pour me persuader qu’il n’y a plus rien
je sais pas qui c’est cet english
de passage
je sais pas, dans sa voix, il y a cette force du musicien, du chanteur, on ne le dit pas, on ne le sait pas
en fait on sait pas combien ils souffrent les mecs
toutes les fois ils où ils se retrouvent seuls
rattachés à rien meme pas à nous
juste à la chanson
il reste que ce truc courageux, tout donner
enfin bon ca va
c’est que du boulot
on s’en fait tout un plat de ces conneries
et pourtant
enfin,
moi ca me touche ces trucs
rene tank est joignable au 06 ……….
la couleur noire est dans les pages jaunes
zebra trois
garçons dans le vent
tous aussi paumés que les autres
mais ils vivent dans l’instant
je veux dire
ils ne pensent pas
je les connais, je ne les connais plus
ne veux plus les voir ces gens
ces gens de mon taf
et puis ca repart les projets
la bite sous le coude
l’oeil vif
enfin, tout quoi
vous êtes prêts?
Tantus labor non sit cassus
juste judex ultionis
Ante diem rationis
ingemisco tamquam reus,
culpa rubet
vultus meus
supplicanti parce, deus
et ab haedis me sequestra
Désormais,
les chevaux de Lascaux
ruent des matières de synthèse
d’origines indéterminées
ou des enfants de boutu-rages
beaux comme des anges enflammés de destin
enfantent le monde
qui les rend niais
mais qui soulève parfois aussi,
des assèchements de funambules
chaussés escarboucles
cavalcadant furieux leurs arcs électriques,
d’éclaboussant chaos scintillant,
le dais bouffon
ou psyché noya la pensée sans le dire.
Milles tirelires trébuchantes plus tard, le tintamarre bourdonnait encore aux tympans des églises. ….
Le premier mot
qui se forma depuis le souffle de dieu,
produisit ce vent galactique qui coure sur le désert du vide sidéral
riches de toutes les intonations possible de la voie,
et la cause de la chair,
si sur le cadavre de heidegger nous cessons de déposer nos oeufs de mouches
pour comprendre autrement la naissance de soi a partir du verbe
ce n’est pas d’un monde dont l’homme a besoin,
mais d’un souffle, d’une détonation première
pleine de bruit et de fureur,
mais dont nous sommes l’harmonie,
la chaire venue du fond de la vibration
confrontée a elle-même,
sans échappatoire,
du son archaïque et rémanant de l’univers
la musique des sphères.
Le cosmos était pour Pythagore une biologie du son.
Biologie de la conscience du verbe.
Lors de notre dîner, princesse des psy, vous m’avez longuement exposé votre théorie et votre expérience sur le fait que déféquer n’était absolument pas nécessaire.
Votre viande semble bien éthérée.
Alors j’ai pris les choses en mains.
Séquestrée dans une pièce carrelée blanche, je vous ai longuement sodomisé en vous faisant bien prendre conscience que vos cris trahissaient votre incarnation.
Je vous ai, poupée psychique, laissée macérer parmi votre sang et vos larmes durant deux semaines.
Lorsque je vous ai retrouvée, spectrale et maculée, vous avez maintenu en vos délires que le caca est une vue de l’esprit.
Ô ventre tentateur et sphérique!
A grands coups de talons
et malgré quelques rebonds
l’abdomen éclate
en une gerbe d’hémoglobine et de merde.
Viscères entrelacées d’excréments,
la viande y trouve son divin fondement.
Repentir:
« Ai-je le souffle plus généreux? Maintenant que ma respiration se fait depuis le fondement
de mon cul, ouvert au mystère d’aimer? »
Pensa t-elle en longeant le peristile
ou elle devait tomber sur Socrate
allongé sous les tilleuls,
voyant les arbres a l’envers
et lui-même suspendue par les pieds dans vide,
mais descendu sur des accords d’accordéon
depuis les triomphes barbares d’amour,
ces banquets de harengs de mots, ou ne le quittait pas la lassitude et le dégoût de la présence aux êtres, qu’il esquivait, comme il quittait leur cercle
les nuits de promesses vertigineuses ou les saltimbanques astres
tenaient jonglées dans la main du ciel
loin des duels de mots morts
la réalité de la pensée
appréhendée comme une certitude improvisée,
que n’écrase pas le soleil, au petit jour comme des oeufs,
cerclés de défaillances lumineuses
par les reflets pierreux,
mais croit
la certitude
complexe, et pluriellement articulées au coeur de chaque instant de realite,
au point que de le fondre dans le coeur
soit l’unique épreuve de vérité
ou je me voit tordu des milles feux
qui me traversent des miaulements de lianes dans la jungle
des méninges tordues du becherrelle
qu’un cirque de singes,
un jours avait offert aux égarés.
Les paupières épinglées.
La peau en prière à peine glaise.
Les paupières épinglées au souffle que délite cette cascade cosmique.
Ose la fresque délicieuse et têtue certes caste, calque glane, à la nique du psaume.
Les paupières épinglées au souffle que délite cette cascade cosmique en addiction sur haute tension ductile, de tes paumes.
L’ample dictée pour passion sûre hausse sous tendre motion, tu dis ta pomme, je la croque.
Les paupières épinglées au souffle que délite cette cascade cosmique en addiction sur haute tension ductile de tes paumes maîtresses entre mes cuisses adeptes du kit photonique.
« En obtient-on une plus ample respiration? »
pensa Diotime, en sortant des pompes funèbres
ou des ramées de galants,
pendus au pores des flammes
du tabanel supérieur,
venaient juste de lui creuser le fondement
des cieux.
« Ai-je le souffle plus généreux? Maintenant que ma respiration se fait depuis le fondement
de mon cul, ouvert au mystère d’aimer? »
Pensa t-elle en longeant le peristile
ou elle devait tomber sur Socrate
allongé sous les tilleuls,
voyant les arbres a l’envers
et lui-même suspendue par les pieds dans vide,
mais descendu sur des accords d’accordéon
depuis les triomphes barbares d’amour,
ces banquets de harengs de mots, ou ne le quittait pas la lassitude et le dégoût de la présence aux êtres, qu’il esquivait, comme il quittait leur cercle
les nuits de promesses vertigineuses ou les saltimbanques astres
tenaient jonglées dans la main du ciel
loin des duels de mots morts
la réalité de la pensée
appréhendée comme une certitude improvisée,
que n’écrase pas le soleil, au petit jour comme des oeufs,
cerclés de défaillances lumineuses
par les reflets pierreux,
mais croit
la certitude
complexe, et pluriellement articulées au coeur de chaque instant de realite,
au point que de le fondre dans le coeur
soit l’unique épreuve de vérité
ou je me voit tordu des milles feux
qui me traversent des miaulements de lianes dans la jungle
des méninges tordues du becherrelle
qu’un cirque de singes,
un jours avait offert aux égarés.
L »instant tésorisait
l’amertume de sa salivante histoire
fumeuse d’incomplet déchirement
de la pierre sensible
aux musiques sortilèges
tambourinant les cages thoraciques
du primate
de milles verges sur le coeur
ou trempe le mauvais oeil
sa griffe de pélican,
et son indéterminable sourire figé au ventre.
Satisfaction,
péché on ne sait d’où,
sur la carte du vide,
mais bel et bien tombé de sa gueule
par le trou,
la trouée essentielle
ou la parole macère dans la merde
comme une image sainte
une icône d’intestin grêle,
une narcisse d’opéra nouée
au cou des perles de l’Olympe,
un tuyau d’alpagas traversé de mensonge
cette vielle ancre de mer,
que la rocaille retient,
et laisse s’épanouir comme une algue
au gré des courants intestinaux,
si un violent courant d’air du fondement
ne vient chasser le mauvais air? »
Diotime, avant de ramasser sa gueule
dans le motif du tapis,
tomba involontairement
dans les bras de socrate jeune.
« Le saviez-vous, ma chére? Il vous arrive la même histoire qu’a Pythagore, de tomber dans des fosse, qui ne vous sont pas destinée? »
Diotime doutait du java-raï des dieux lares
et moins de Socrate.
« si jamais je m’en sorts…par les Dianes du becherelle!
Et de ma machine a coudre,
je vivrais en désirant comme je susurre aux tympans des dieux
chaque oscillement,
vacillement de langage
ou je me rattrape au dit inexistant du coeur. »
L’invisible attachement
de Diotime pour Socrate
bâillonnait les vaines langues querelleuses
prisonnière course des écoles,
retourna le jugement de l’innocent
sur lui-même,
et Socrate bientôt rêvera dans de bruyants ronflements
du sorts de son âme
écrasée contre la frontière criblée de la mort,
d’intangible et d’immuables roche
véritable mortaise tombé comme nos dents
du ciel sur le tracé plat des électrocardiogrammes.
« mais, ta peau subjonctive
de reine tatouée des sphinx souriant
au premier sors de l’être
comme un enfant
qui ignore tout le reste
je pourrais toujours le comprendre.
« mon point d’exclamation vous appartiens…! »
La prêtresse, en sortant de la boutique,
tintait toute une batterie de cuisine
sur des pianos d’argent,
dont l’unique témoin de la scène
un anachorète insomniaque
entrait dans la ville
convaincu d’entendre
dans le mutisme de son être
les langues de nulle part.
Tu es chienne
a la fidélité dialectique des mots
car tu trempes ta langue
dans le coup frappé au dos des eaux
l’axe enclumé
par le soleil,
ou demeure certes le triton
qui t’entraîne vers Agnès
mais ou ne vit aucun verbe.
Et ta vie se métamorphose
puisque tu possèdes éternellement ce que tu crées.
Parfois, tu film
la danse des molécules
dans la saillance du vide,
du reflet, aveugle.
Chienne
la magnitude du soleil
son écrasante présence physique
l’horizon, mur et vertige
vortex physique,
bannie les patte molles
de ta voie, ton Nord
en plein écrasement ,
des mâchoires de la prison
pour qu’eclate l’instant poeme
de la passion
et se referment
recueillit
et dit
la vie sous l’extrême proximité d’une étoile.
Affoler les topographies métaphysique de la présence!
Ces chiennes lubriques qui ne parlent de l’être
qu’en son absence!
Il n’y a qu’une exigence
chienne
en robe grise,
vagabonde erostatique
elles courent
les prieurés des couvents
ou fut sanctifié l’animal dialectique…
…J’étends ma serviette
et m’allonge dans la position de l’animal psychiquement mort
sur ta plage de scheveningen,
ou tu revêts le paradoxe non-bâtie,
ta vraie nature,
de chienne
qui arpente les villes
le museau dans l’herbe,
comme elle s’effeuille de jouir
dans la fente
de l’horizon buvard
de papier.
Mais sage tu enregistres
l’ordre de la présence d’esprit.
Synapses cosmiques,
du regard chassant
l’araignée métaphysique
du plastron de lumière.
Au bras le baudrier d’Orion
car Rollex n’était pas encore une constellation, un sens,
un trou d’heurs dans la peau d’abîme des fusillés d’espoir,
les poings liées, au gonds de la porte des cranes
ouverte, sur les bains synaptique du créateur
ou harponnent, et lèchent la moelles des os,
les langues de feu transperçantes comme des aiguilles
a travers le canevas transparents de la course
des chevaux d’ardoise
entre les bornes de diamant
de l’effroyable transparence.
L’imago
des sous-sol
est double et se choisit entre elles pour devenir elle même.
Du scorpion et d’Orion,
chacun est la proie de sa proie
c’est ainsi que parle le ciel,
dans le silence métaphysique
l’annulation conceptuelle,
la nuit obscure,
l’herméneutique élévation dans l’incompréhensible
langue des cieux,
trop âpre encore
aux muqueuses de nos langues
brodées des étoiles fuyantes,
qu’aucune langue ne peut dire
comme scintillement d’un unique astre,
éclairant un nouveau ciel et une nouvelle terre.
Le Pressoir éclaté
fuit du mare d’écriture,
du lait noir de lettres,
ruisselant en grain,
d’heures devenues molles
mais comme deviens désir
de manger de l’herbe
lorsque je suis chèvre,
je ne le saurais jamais.
Couleurs kénose
bleue commotion,
d’escarmouches nocturne
avec l’éveil du néant
l’ange de la langue
dans le ton
des équimoses bleuissant a l’aube
lorsqu’elles ont parlées
les voyelles consonnantes
du Nom
de lumière reconstituée,
pas du pâté, des perles
de lucidité traversée d’inversement fluide
de perspective d’idée,
a peine évoquée
mais sobres
comme un vers luisant
refermant la plaie,
sur le berceau de l’âme,
laissant voir en face dieu
droit dans ses eaux scintillantes de feu de l’esprit
qui bennisent ou qui condamnent celui qui les contemples.
La validité fictive,
des noeuds affectifs
les rend insolubles
aux informations de logique pure,
mais ouvrent et exposent la moelles des os,
a l’effroyable redoublement
du vent glacée et vide,
du tenseur galactique,
qui souffle éternellement
et laisse les énergiques grandes eaux poissonneuses,
d’hypocondriaques inquiétudes,
voir le jour,
sous des cieux chimériques
de cordes a linge cubique
de coup de soleil logique
coup de semonce et coup d’arrêt
péchait le sorts en rang d’émail
divisible et percée,
le solde nul de toutes les additions du chiffre.
Un organe été resté coincé
au fond d’une tonalité
du verbe…. et on nous donne les reste théoriques du vain banquet des hommes a manger…
Ces ânes de l’appropriation
qui caressent les bulldog de leur ordre sages et mesuré
les nuits
ou le diable achève l’incubation de la beauté
et s’arme du pouvoir de tromper.
A l’aube grise des marronniers
alors que j’entendais choir la neige sur les souvenirs d’été,
mon corps taillé dans leur ombre
pointait,
traçait la route maritime
des courants souterrains d’anguille
qu’empruntent les chalutiers chargés de ressacs,
et de bruine
a travers les atomes scintillant d’aberration
vers l’estuaire du temps et de l’éternité,
échouages,
fait pour danser sur
d’invalides sciences.
Peut-on cartographier la transparence du sol?
Peut-on justifier l’existence des villes?
La pureté du mélange,
la clarté
l’indécomposable mythe;
on ne peut le dire non plus,
réalité métaphysique,
sans désespérer
d’atteindre,
tout au bout de la lumière,
la synthèse,
le verbe incarné,
Atteindre l’oeuf noétique
sans le brouiller et
sans être théorisé d’effroi
dans son albumine,
quoiqu’elle doive se figer
sans cessé d’être libre
c’est un tour pendable
que sait tout magicien de Cythére.
On ne nomme jamais que le surnaturel.
J’ai laissé pendre, plissé de rides,
au clou des nues
la peau morte du soucis,
lésé comme une ombre
me faisant les poches,
bourrée des banqueroutes de la métaphysique,
du secret des faillites et
de la dialectique d’amour.
L’amour ne trompe pas.
J’ai ri dans la même langue
que les oiseaux du ciel et les lys des champs.
« J’irai me crasher sur vos tombes » (la pluie)
1. En outre largesse s’affaisse cette source première à cracher le code.
2. Au royaume aveugle, une prière amoureuse cascade Kinsei.
3. La claudication garantie des cyborgs gravides.
4. A présent c’est aussi un homme incarnant tous les fantômes du passé.
5. L’ignition d’Amaterasu sur les ondes des ténèbres dansantes.
6. Qui glisse au partage par cages avec le bondage des écailles digitales ?
7. Il enseignera grâce à la pluie mystérieuse des pétales odieusement cramoisies.
8. Des leds palpitent en symphonie ce nard neuronal à l’infini.
9. Être en lui ou l’inverse, gage d’une ivresse féconde où les trous de verre sont confiance.
9. En loutre étroitesse se réhausse cette fin dernière à ingurgiter du code
8. Aux fers clairvoyants, une blague haineuse robinet yamaha
7. La régularité non garantie des hommes ?
6. Auparavant ça n’est jamais une femme cachée derrière les présentes évidences
5 . Le pétar mouillé d’Albert sous les plates lumières immobiles
4. Qui s’accroche à l’agoïsme par open spaces avec l’infirmière des peaux lisses analogiques
3. Elle reprendra à cause de la sécheresse évidente des tuiles vernies sympa
2. Des bougies chiantes de manière irrégulière, ce nerd une fois
1. Ne pas être en elle ou à l’endroit, non gage d’un calme infécond où les bouchons de pierre sont mensonge.
je ne crois pas que la vie disparaisse de la vie elle-même. Comment pourrait-elle? Je ne crois pas non plus que l’appauvrissement du langage usuel ou littéraire, celui qui ne mérite pas qu’on s’y attarde, malgré la profusion des publications pauvres due à un nombre d’éditeurs grandissant, synchrone avec un marché en expansion, voir la nécessité des producteurs, puisse entamer la progression et surtout, la mutation du langage. Le langage s’appauvrit puisque ses messagers, tel un big bang mondialiste, s’écartent, mais la communication s’étend, ou se concentre, se perfectionne. Aucun des deux ne perd ou ne crée quoi que ce soit.
Petit joueur… »je ne crois pas que la vie disparaisse d’elle-meme???….. »…vous presentez le vers dans le fruit?? seriez vous demologue, a la manière de juan?? car vous oubliez ca dans votre analyse politique….Juan observe tout a travers l »idée de démoniaque . Ce qui rend le tueur plus terriblement froid qu’aucunb autre point de vue….et ca c’est bon pour le terreau litteraire.
Je ne comprend pas les effusions de ce soir.
Je réagis à des propos traitant de l’apauvrissement de la langue. c’est tout.
je crois savoir ce que sont langue, langage et communication.
Ma théorie est que la communication, elle, s’étend, se perfectionne.
Ainsi, puisque la communication sétendrait, la langue, éthérée, vaguement évanouie, serait « vaguement » (à ceux qui n’y sont pas) ailleurs.
Communication et langage ne font qu’un.
comme corps et cerveau,
comme bras et main.
Je ne vois ici ni ver ni fruit. simplement,:
la modernité. Et ce tueur n’est pas moderne.
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…………-………………………………………………………………………………….politique………………………………………………………………………………. irresolue………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
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……………………………………………………………………………. bassin d’idées
penser le monde autour d’un isme extérieur
sur un axe arbitraire
grandisme, par exemple
echo de nos mères
de nos pères
de nos écoles
Notre … position ?
L’origine du monde, c’est l’imaginaire d’une jeune femme pensé par un homme.
nul n’est pays en son prophète
nul n’est gay en son profit
nul n’est goy en son préfixe
nul n’est boy en son prétexte
nul n’est toy en son crédit
nul n’est soi en son prédit
nul n’est christ en son moteur
nul n’est toi en son maudit
nul n’est moi et cent deux mots
nul émoi en son moqueur
nul nettoie qui s’en dédie
nul déçoit en son débit
nul de soi en son bonheur
nul de soirée répond par coeur
nul n’est moiré en son sherpa
nul s’est marré en son pas cher
nul n’est paré en son deux-têtes
nul n’est pro-fête même à paname
nul n’est amphètes de son pari
nul n’est au faîte de ces dames
nul n’est prophète
en son profil
en son pays tout faits de fils
qui passent sous les océans
nul de soi prend son bonheur, tulle de soie devant les yeux, elle se balance entre les heurts, de ces hommes grondement d’idole, ah ils peuvent fermer le lidle, poupée russe américaine, française et Sir, le meneur d’hommes. Elle? est comme la nuit au creux de soi (mais je te tiens), drapée du noir de mes paroles.
….
….
….
….
….
Il paraît qu’on aurait retrouvé sur le tableau de Darwin, juste après sa mort, cette mystérieuse assertion: « rien ne se perd, rien ne se craie », puis un inconnu aurait rajouté: « à part l’écriture », puis encore un autre « donc RIEN », et puis encore un autre « si l’écriture n’est rien, alors, par elle, rien ne se perd »; auquel j’aimerai tant rajouter: « rien ne se perd, noeud secret, tout se transporte ».
Hé bé, enculé vous envoyez sacrement du bois ce soir Auddie!!
Et que vive putain les oiseaux du ciel et les lys des champs…
Chanson politique
nul est profit en son pays
nul n’est parfaitement exemplaire
nul vestige n’est oublié
nul tombereau de boue
n’échappe au politique
nul sens désert
n’est inspirée.
– Oubliette, épouse libre –
– D’office en lacets –
– Ver solitaire falsifié –
– Naît en chiant –
– Courage évident –
– Éloigné tout le temps grabuge –
– Joint une fois desserré –
– Discours pour tous –
– La chatte est sûrement sortie –
– Par laisser-aller volontaire –
– Au commun des mortel –
– Tous sont borgnes : ils m’enlèvent les yeux de la bouche.
.
.
. auddie pour bissecta
dusty kiss on a clean bottom skin
shaved venus is pissing a clear and sticky salive
and my trembling hand is touching some strange mouth
oh did i write on your tongue with mine ?
i did not, forgive me, i’m losing memory and science
as melting science within your thongue caressing mine
is a loseng memory on the sound of your passing call
va continuer à mêler, dans sa vie, techno et littérature, mais ne sait plus trop comment faire… Ou bien, ai-je tué le beat en l’écrivant? qu’il retentisse au fond des pages, sans plus d’amères nappes tressées.
oblongue la refonte d’un taxi de masse, calme élémentaire, occiput témoin, je dors.
j’ai des aggréments à douche culotte en verre d’eau synthétique, bleu. mais..
je
la quarante patterns en un seul live. les ivresses incantatoires. bibliophiles.
enfin j’ai des chiens
ils me sont beaux
ont incarné avec le père d’Enville
toujours acide libre libre accès portez ouverte La même saveur qu’au passé
l’alibi? oh, un resto-route
je me cale la tête sur un claque des faces des armées toposculaires. la sussion mazout.
là, tout de suite.
une clope au réveil.
lehlancelancelancetyantaculaireasseviraleattentiste
ipine gensembleanfaile, gélifiants codants gélifiants fluorescents
appelensdaquabonniste
Insfraéhistoiresdsiqfeutile mar lézrdhommeinsectefêlé
bâardgeldfréquencehistoire
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooooooooooooooooooiiiiiiiiii/iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooo
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooooooooooooooooooiiiiiiii/iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooo
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooooooooooooooooooiiiiiii/iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooooooooooooooooooiiiii/iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
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iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooooooooooooo/oooooiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooooooooooo
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiioooooooooooo/ooooooiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooooooooooo
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiooooooooooo/oooooooiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
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oh la descente de lettre comme sut le dos d’une panthère de papier, douce comme un dos de main
oh la descente de lettre comme sut le dos d’une panthère de papier, douce comme un dos de mai
oh la descente de lettre comme sut le dos d’une panthère de papier, douce comme un dos de ma
oh la descente de lettre comme sut le dos d’une panthère de papier, douce comme un dos de m
oh la descente de lettre comme sut le dos d’une panthère de papier, douce comme un dos de
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oh la descente…………………e sut le dos d’une panthère de papier, douce comme un dos d d d d d d d d d d d d d
oh la descente de lettre
comme suit indiqué, au dos du cahier, d’une panthère habituée
oh la descente,
je me languis, passe au crible
oh là, droite, imaginaire, d’angine mobile mon adversaire
constituée de hanches de contacts
d’une tranche fixe tout le monde
de sausisson d’eau
oh la descente de lettre comme tu sues sur le dos d’un bourdon grand contrôle convivial la façon dont tu restes, et pense en queen, en naufragé, tu tires la corde
fend tendu,
je suis moi même dans un bourdonnement déboulant déroutant débordant d’imaginaire quand tout ça n’a plus de nom, là autour de moi
enfin j’imachine bien le travail
le parachève nerf de tête et tête de court et nerf habité
il faut
faire glisser
abandonné
dans l’hiver
tu t’habilles mainstream maintenant
dans,
les corps à boutons
les coeurs à bouton
tourne en ville
non c’est non
c’est assez fréquent,
(des terres habitées)
oh je dresse
l’essor indiqué
tourne ville –
réponse aux auto murènes lâchés dans l’espace radio romantique
et le nom des ondes on refera pas rien
non
nous pouvons donc statuer du point numéro 5 place spectacle je m’en doutais de la valeur non-sûre des on-dit parlez pas c’est la fête comme on m’avait, et les sirops dans les âges les ensembles sans clé couvert de on se dégueulasse, on se dit les saisons, claie sans pantalon je m’éxégèse égal, césure impatiente et vive, poste aux lèvres carrées, la correction, séparé de toi, quinquenat en cas de rend
de la classe superieure on sourit du bout des doigts les comptes néons fever sur la pavée, sans rien à te dire ni les futilités d’usage et au dehors les cannes saignent du jardin et sans rien à te dire ni les futilités d’usage et au dehors, lacante statuette des voisins, sans rien à se dire ni dieu ni les futilités d’usage et au dehors les parents clim des portes aux voisins, et sans rien à te dire s’emmele maquillage def les ombres du voisin, portes fines à l’amour romantique idéaux visages qu’emporte folle la fille le feu fut-il occupé, et au dehors les pardons les rires de l’enfante endormie et aux parents, aux voisins, sans rien à conduire ni les futilités d’usage et portes à feu du cran bleu et au dehors les parts conquises et les fertilités d’usage au dehors les voix les signaux des voisins sans brin à se dire et l’effet canne ou sage et les renforts, la radio du voisin sans rien à se dire et là toi, def con d’escadron en cage, sans rien à te bruire et les sinuosités d’usage, les poignées de main du voisin, sans rien à se dire et les futiliés d’usage et au dehors … les vastes en signe et les fficultés de partage du semble ici le sel du partage du ventre du voisin, sans rien à se dire et les futilités d’usage, et au dehors le conte en cire, la vitesse, et au dehors, c’est rien à te dire ni les futilités du sage et au dehors les pâtes en sexe du voisin, sans rien à te dire, et au dehors,
tu t’acharnes, secours/défonce, lorsque d’animal réellement consacré, vivant et dégoulinant, qui aise dépassé ces multiples cernes, fourrage la roue sûre
klang massif apogée thermique enorme supersonique
les patterns du centre sont forcement séduites par une nouvelle machine
nos montres inferieures ont une dent contre Darwin
séquen-frères porcins nos conduites s’ouvrent et parlent aux animaux solitaires
quelques capots de racks s’envolent dans un souffle de smoke machine
mais la funk d’usine, en quatre quatre quelque soit l’automne
gémit à l’aube du jour, même à dix-sept, projetée sous les voûtes d’un plafond jamais prit en photo.
mazette j’ai jamais lu des trucs pareil
Double chaos
des langues de soie
tambourin en l’échine d’ivoire
par le bourdonnement sublime
collines de coca
héroïne en effervescence
là où le mot épi de blé bleu
rêve de peindre un champ de maïs
Ordre unique
des dangues abrasives
flûte gerrière au ventre de satin
joue des sussurements mats
sur des plaines de kéta
second rôle en attente
là où jamais le script ne s’efface
écrivant celle qui peint ses nuits select
Son ça taisait les siècles
avec
le-
combat instantané sur la chair
délaissée par sa peau pâle.
Ce ça sort de sa peau,
de son œil délié lorsque Claude occulte
jette son pied pour l’alourdir.
Sa peau épanouie sublimée signe de cette peau,
saine-
La monochromie
sensée, satisfaite,
là par-dessous des nuages,
pas du tout en dehors de la terre.
Papillonne lentement l’espace de l’individu
proche
anarchie.
Stagne, stagne, stagne et stagne
mépris rapide-
Serrure à réussite.
Phobie du bien.
ductile reproductible, love-ring s’approcha de la sonnette, eut-il reproduit, maître en mangeant et maintenant il se prête, à la virtualité non virtuelle sans fondement tout comme vos trous de culs identificateurs au pointage des suicides aux réveil panta-logiques à douze côtés, ces rêves des villes, mucus et gomina, devant la glace à serrure car c’est toujours inversé, toujours. Et je confirme car Marie Demona avec sa peau blanche et ses gestes d’adieu, corset céleste et vagues envies, était! sur Jungle Exit. et je n’avide rien, rien d’une veille radiochronique, car elle n’a toujours pas dormi.
Je nage dans les limbes… Et cette flottaison aérienne, tamisée, luminescente, me caresse, me câline, en un sourire de lune, me mène à ma mère. Son corps astral inconscient se songe dans la réalisation. J’ai le sentiment de l’avoir bercée et endormie.
Maman malléable.
Au sein de l’apesanteur,
mes mains dansent,
entrelaçant de charmes ma merveille maternelle.
Une bise, par de graciles volutes, soulève nos chevelures en algues dorées. Amour absolu souffle sur mon arme.
Âme.
Lévitation éthérée.
Essence qui me tisse à l’univers.
Des millénaires, un instant.
Je dépose un baiser sur la lande de son beau front. Son nez, de quand ? Quand ? Ses yeux de velours, sa bouche d’argent, son menton fleuri. Et je prie, sa tête sur le présentoir de mes doigts, en offrande à l’infini.
La mer de sérénité.
Sensation lunaire.
La blanche biche.
La terre tranquille.
Tactile trouvaille.
La chasse gentille des chiens.
L’air relaxant.
Méditation sensorielle.
Le chant de l’oiseau tonnerre.
Le feu fluide et fantaisiste.
Yuna c’est magnifique
Par ailleurs :
Merveilleusement mignon,
L’éon coquin
Se balance sur le sourire de la lune.
* Il cligne des étoiles**********
* Il souffle aux plissures spatiales***
* Il flûte une atmosphère*******
Gracile,
Il pointe les marches du xylophone cristallin.
Tendre mélodie qui le nuage jusqu’à la caverne solaire.
-Cette terre est heure-
Un doigt sur la bouche
et il frise l’écho des stalactites vibratiles.
-Se nacre alors toute perception-
Des sentes astrales tissent l’univers,
Sans rime autre que celle de la biomimésis bien-aimée.
Ici…Maintenant………. En suspension…
Chaque soupir braise des genèses… ICI
imprevision, dérythmique, disserte anachronique
on le pluie le coucou du temple
oh la pluie sur mes mains quand je pleure des secrets
coulent confondus, larmes d’amour de la chose entendue
celle qui me fait croire que le jour d’avant
j’étais un prince et de jamais surcroît
j’étais un prince tenez vous bien dans ses mains dans ses mains
luttant à mort pour des mots doux, toujours comme de bien entendu
je ressassais les plaisirs immenses, désormais aquis
celle qui me fait, femme donnée perdri, je ne me lasse pas de shooter en l’air
la rate et ce faisant, utilise encore les mêmes mots une dixième fois
camarade et je ne me tais pas
j’ose le mieux de la terre dans un canevas anthracite
j’aime ce mot anthracite
non pas pour sa couleur, ni pour sa teneur
mais bien parce qu’il y a un h dedans
et ce truc français avec les t et les r
les krr
les trr
les airs savants chanteurs barbares lotus
oh, je n’aime que toi
L’art, c’est savoir prendre des décisions
des habitudes
des insolites
des arrivages
association va ranger ta chambre
association bol de cereales
association brau a eau
association « qu’on s’en souvient »
association, du cul pour les moches
association j y vais ou j y vais pas
association j’te mors
association tête de liste
association des coeurs tressés
associations des heures tranquilles
association des séparés
association c’est la vitesse
association basse couture
association des vénus dans ma main
association des drapeaux blancs
association de la lente ascension
association des habitudes
association a marée basse
association pas d’esthétique sans séduction
Aux noms de tous tes noms Déesse des Dieux!
Les évasions deviennent consommables, consumables, conspirées par le cortège des oracles guerrières moites de cette succion d’éther.
Celles-là qui font misère des cordes à peines comptées, parfois entrevues durant le vivre et le mourir en la seule seconde terrifiante, orgasmique, mourir et vivre en la seconde qu’Elle éclate, Mère de la misère corde. En la seconde mourir et vivre, vivre et mourir en la seconde.
Louanges à Déesses!
Horribles câlins naissant dans le vent des ans où va et vient le débit désabusé, bel amour sans condition qui soupire les ondes des forgerons attestant le rythme radial, grand blanc semé à la trace odorante de ses voix.
Saigneuses des univers.
Celles-là même qui trament misère des cordes.
Vénérer pleinement chaque porteur par pulsions premières sous le planning sévère de quelques planètes envieuses d’être épelées du feu à quatre pattes insoumises; seul ce feu faisait mine de savoir l’eau interstitielle.
Mères des misères cordes.
Mourir et vivre en sa seconde.
En sa seconde, mourir et vivre.
Reines des secondes sans jugement.
Telle la silhouette en treillis assouvissant de déserts les humains accrochés à leurs crampes encrées aux milliards de maux, par inadvertance, offerts afin qu’ils bâtissent, oui ces salopes avec ou sans pénis, les humains qui bâtissent ces piliers dorées soutenant cette vacuité sure d’eux.
C’est vous que j’adore!
Vous!
Dont je méprise le but.
Plaies pyrrhiques abruptes aussi abrutissantes que l’obscurantisme des réverbères coincés sur la castration féodale incrustée aux fausses pierres et leurs nouvelles prières des putains de pères.
Perds-moi vers la plaine gauche:
alors les capacités persisteront à siffler le violet flûté encore, flûté, flûté, profondément flûté sur la pression psychique hurlée, flûtée, juste unisson et passion sans pardon, flûtée et harpée avec la cruelle croyance criarde des crocs qu’ameute la marche têtue de l’araignée.
Vers la plaine gauche de celles que vous avez vidées de méfaits.
En votre seconde mourir et vivre, vivre et mourir en votre seconde.
Je vous prie d’y passer en premier;
je vous aime car vous secondes croustillaient les lobes qu’elles prennent signataires des astres lagunaires, elles y demeurent volatiles au claquement de doigts, leur demeure première et seconde s’évapore lasse des lèvres pluvieuses, vers la plaine gauche.
Oui c’est la plaine de celles qui bafouent votre bienveillance et de celles des troublantes trouvailles censées commettre la langue du parsec convulsif qui goutte ainsi la seconde où il se doit de mourir et de vivre.
Vivre et mourir en la seconde.
De ta main, de ta seconde, mourir et vivre.
Vivre et mourir de ta main, de ta seconde.
Le cœur se griffe sur le pont des secondes.
Ondes au ton percé sous le feu, ce roc.
Chiffres calcinés, pourris, là, le monde fou.
Fouette et cède ce pot à greffes rubicondes.
Du gris court le support des sens tout ronds.
Décence de l’absence alitée sans as en gré.
L’heure croit faire ce pour à saccades.
Parsemée de mondes cloués et de fées poncées.
Neuf quantas passent leurs giflent à sonde.
La perspective KO
mêle imagerie de sainte éthique
au fondu des chars gavant de boue
la gueule illuminé du serpent de l’Usufruit.
Et mord dépouille, l’astre manquée sans faute
dans la mâchoire image
envenime l’impression du rapt
trop lourd d’hier sans fardeau,
chercher pardon des roses aux glaires spongieuses de l’hier
détaché des restes de la lumière
enfumée d’esprit
sus-pensif dans l’inspiration close des nuits noyées au feu manquant
portant sur l’angoisse froide, au tombeau des limbes la voie scellée de garde esprit,
l’universelle image décrit et avance dans l’avènement d’icelle.
Je parchemine ma mort.
Des autres faits taire me veux.
A fiole fleur
advint l’autre hier,
livrer son ivoire d’oracles ivre de slogans
Ci gît-vrai rhum des champs
l’image m’appelle au bout du fil
une voie sans perspective
entrecoupée et percé de coupes sombres dans un couloir du métro mis au secret
d’un gouffre pour garder le silence, sur la rame égarée
par trop d’échos, d’ego ni trop loin ni trop prés des paroles distantes ou indistinctes.
Oint le parlant qui retrouve sa perte dans la confusion,
un pont en tout sens
de l’esprit a venir, neuves lettres sans reflets
a travers la grâce effacée des traces du temps
la mort parle le vivant.
Temps 0
Conscience 1
L’échappée sauvage
a base de liens séchés
jongle ses frites sur le diamant rompue
du temps de conscience accordée
a l’invisible enrôlement d’aimer.
Interdire le retour des rotondes a la glace véloce
d’un passé qu’on quitte avec humour,
en immuable virée a la vitesse du monde brouillé
sur l’axe du fol amour
frappant de mort la signification terrestre
du lettré.
Glisse diamant griffe
la part entière accordée,
tant que l’offre est vivante.
Chiffres calcinés
L’horreur loge, sonne la mort d’Orphée.
Et les planches de la normande caillent le corps du temps
qui pond lui-même l’oeuf de verre orphelin
comme les étoiles aux cheveux coupés gras, le lui murmurent en ricanant,
la tête en l’oeil de boeuf de la guillotine
coupez! entièrement un.
Bissecta Matinale Pascal Nyiri par jtduoff
Monter.
Le nerf foudroyé
se fait prophète.
Parfum de fureur
distillé avec douceur
lorsque l’adorable pancrace
caresse l’essence d’Agon
objectif de cendres
en leçon de laisses
et la tête droite savoir
l’apocalypse recevoir.
Je n’aime plus ·
Live apocalypse mouchoir / snifer dans ses langes / le placenta du doute/ dans ces couleurs nacrées / je me désarrive / fin proche toute de moi/ et comment te dire / parfum de fureur / objectif descendre / dans la vie des combles / et dans la vie, en bas . / Adorable garçon / aux songes sans tunnel / aux amours assagis / quand monte le sel / d’un précise, t’en vis / tête droite sans le savoir / apocalypse d’un soir.
les mouches noires de Caplypso/ couches à fix/ cette certitude des leucocytes/ pour senteurs lacunaires/ tu as mouillé dans l’ailleurs/ solstice titille toi/ alors ignorer votre croire/ tact domotique/ au but d’échelles déchaînées/ l’ombre de l’éther/ l’éternité mourante/ pétasse céleste/ macquée au concept de disparition/ affolée d’un iceberg sanglant/ c’est ferme futur/ logos aviné/ par l’index décimateur/pauvre heure nuit.
Ella, ella, ella no me dijo nada
coreografias tontas, tontas coreografias
Bobo, el gran misterio, no hay nadie
el ruido de la escritura y de la lluvia, el zumbido
sin embargo, sin embargo, sin embargo
pausa
drama del alma con agua
así hacían los locos antes de nacer yo, y no lo entiendo
una papisa muestra con su rara sonrisa que no se puede medir
una papisa
anestesia de muchas personas, pero parcial
marcial y anticuada, pero bendecida
flash de la desgracia
…
I think i will open a spanish room ….
it’s the same way your latest, but spaniard
Si l’homme peut être démiurge, il doit créer beaucoup de chaos, puis remettre de l’ordre. C’est tout ce qu’il peut faire.
Finalement la poésie c’est pareil, mais, dans la simplicité retrouvée, siège les conditions du chaos suivant, qui commence entre les synapses du lecteur énervé. Car non, ce n’est pas l’ordre qu’il désirait. Ainsi chaque lecteur est écrivain. Il ré-équilibre ce qui manque à sa constitution, instaurant un nouveau désordre. Chaque auditeur est également musicien. Pendant ce temps, infime, chaque musique, et chaque texte, change leur ADN. Ordre et désordre pulsent en millisecondes, mouroir et naissance de la transformation.
Reading Sweep Gen theory
Il nous semblait aussi qu’un ignorant du vulgaire des rabbins, en étudiant ces Deraschôth, n’y trouverait aucune difficulté: car celui qui est ignorant, indolent et dénué de connaissance relative a la nature de l’Être, ne trouve pas invraisemblable même les choses impossibles; que si au contraire s’était un homme parfait et distingué qui les étudiât il arriverait de deux choses l’une: ou bien il les prendrait dans le sens extérieur et alors il aurait une mauvaise opinion de l’auteur et le prendrait pour un ignorant, mais il n’y aurait en cela rien qui pusse renverser les bases de la foi; ou bien il leur prêterait un sens ésotérique, et alors il s’en tirerait bien et aurait une bonne opinion de l’auteur, n’importe que le (véritable) sens intérieur des paroles fut clair pour lui, ou qu’il ne le fût pas.
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On se glisse vite ! une maison sous la lune, située au dessus de la ville… C’est une sorte de repère, une base au delà des mers dont le fronton pourvoie ses armures: « souterrain d’occase barré d’un fief entre deux dragons ». Par les persiennes je regarde, et comme à clameur j’invite (barres devant les yeux) mon corps en suspension. Chaussettes rabaissés, terroir bancale, voyons voir, quelle vitesse? … au moins du champs à l’heure. Comme un patellaire, j’estime cette italienne (chaussure de marche sportive). Alors ce soir ce sera tango, expo, boum. Très bien. Tranquille je serai, je pourrai boire, remonter dans ma bulle, couloirs sans cesse obliques, caractères éprouvés, finales en pics de bics, grattés tout seul au bar, pourvoyeur bicolore, pur sang à la fripette, et du flux à la louche, et à la double croche, à la hargne, à la crête, aux grêlons! Ma défense en canaux, attaques sondes et artères, ma tactique sans veine, lamentin je me glisse (dans un), avatar sans complices. Mais je ne veux pas vous faire croire aux fantômes irraisonnés. Vous n’êtes qu’un immoral jeu, suis dans votre cerveau. Hypnose à la limite, vite, qu’on se ressaisisse! Qu’on mesure l’espace ! et les bords de l’écran.
escamoteur / craqueleur / sauvage tellement qu’il envisage / les abesses de sa nièce / famille imaginaire / J’y vais en pédalo / tu oses en adidas / es-tu tus bien foutus / des doses à sans vue / des ondes assez basses / des oiseaux de longue vue / pour l’attirance de l’ombre, je descend / dans « les boîtes et salons” / hypothétiques, terrestres / tremblant sous les ovales / semblant tout des passants / vu du sol en gros verre / semelles d’imprécision / Ouais / dépense le plus encaisse / ne pense pas au pardon / foule au sang mirage / valeurs tous ces métiers / tu ira sans vie / eh bien tout de mémoire / ton frein au son qui lâche / redonnant de la voix / redonnant pour tout le monde / ce qu’ils ne veulent pas / (arnaque)( montrouvé ) / basket de plume / et osez adidas / et quand tu passes c’est qu’t’es pas particulier (e)
Des poètes militaires
guerriers des songes d’alors
rencontrent au bleu du ciel
windows ensorcelé
j’ai lu en toi la source
le geste –
ô toi jamais content
toi qu’un morceau d’aile…
à tes pieds qui raclent
éléments sans soleil
elle; elle ment sans pareil
obscure obstinément.
Ces songes, en tout et pour tout
méritent mieux qu’un réseau
qu’un écran mou sur soi
qu’une horloge un peu muette
flamèche parmi les autres
grattée au fond de soi,
qu’on l’apporte, allumette ! à la garde !
foncée dans la poitrine
en souterrain glacé
empire sous la veste
d’un démon terrassé.
.
Dans l’anneau, sous la terre :
…..laborantin crotale
……….mord la queue le venin
…………qui coule comme un sérum
Dans le livre de peur, une crêpe minuscule d’herbes séchées. Tout saisit la richesse extérieure et jamais rien ne bouge. Le repaire du plaisir siège dans cette feuille qui souffre, compressée, morceau crée recomposé sur le dos. (Plus loin), le roi télé finit ses soupirs d’un film d’eau, tissu de profondeurs digitales.
Dans le livre de peur,
une crêpe minuscule d’herbes séchées.
Tout saisit la richesse extérieure et jamais rien ne bouge.
Le repaire du plaisir siège dans cette feuille qui souffre, compressée,
morceau créé recomposé sur le dos.
(Plus loin), le roi télé finit ses soupirs d’un film d’eau,
tissu de profondeurs digitales.
Les fleurs de l’amandier dentellent l’alcôve cobalt (in utero, les trames existentielles se tendent suivant un certain tumulte ((Diarmaid devait avoir connaissance des sages feuilles augurant le bel amour mortifère (((une gae bolga en quête cavernicole cendre d’ocre des parois qu’elle invente (((( cette biche glisse au sein du bosquet, partout, sa trace n’est plus une preuve (((((les gaz hululent en s’enlaçant sur l’austère aspiration qui occulte l’ignition pudique ((((((du combat coïtal de plus d’un milliard, un seul n’a pas de complice, en sa défaillance gît l’avenir (((((((la douce stupeur comateuse résonne sur ce qu’elle s’apprête à étendre sans mémoire et sans projet puisqu’ils sont sa prison ((((((((le signe sous le jeu de l’auto-strangulation se présente à l’infini (((((((((Rien n’est au plus égale à lui même))))))))) qui colle son savon photonique sur le champ brossé par le vent.
Les montagnes piqueront les étoiles.
Les métaux prendront la nature de l’eau.
Les vents se cacheront sous terre.
Et le feu se cristallisera au lointain.
A l’extérieur de la muraille, sur un toit mobile, une créature cherche son nom.
Le froid déjà façonne la mémoire du futur.
Durant cette nuit nivale qui hache des chorégraphies astrales, une parade originale s’estompe face au masque mondial.
C’est l’aube, alors murmurant leurs fumées, que crient les crêtes vigiles à l’affût de leur forteresse.
La créature n’a pas su ; les murs, elle ne voit plus, elle croit au torrent.
Un enfant sur une rive, se mire.
Elle capture les fouets glacés du ruisseau, en salue sa face, en salue son sexe.
Le regard de l’enfant se perd vers les ombres offertes de la créature et il sait déjà que personne n’a relevé les pièges de la parole.
La caverne était ouverte
Soumise Au carré Nikel La bite disponible et dure L’espion aveugle Charlatan A l’osier Des banquiers égorgés En rappel Avec les intestins L’anus au nez Et fleur de prunier Come-back Quand même Causse Non-épée Oui faussement Ces écus Nacre Berseker kawaii Moustache première C’est le sot brillant Torsion instantanée Futurama Manie marrante Vivante, rouge sente La meute du poulpe Poche encéphalique Eviscération Sérénité visqueuse L’aise Sa seconde qui luit En trait boiteux Débit muqueux Pour les peureux La corde en porte-clés
dans une de ses hallucinations, les statues grecques de la villa se sont mises à prendre de la marmelade de fraises sur la bouche et à transpirer; Alors lui et elle s’appliquaient à savourer la sueur divine des corps de marbre, et puis ils se sont branlés l’un l’autre, contents de leur hallucination.
hey joe….
Au sein de l’enceinte de ses cuisses,
les petits chevaux en plastique,
broutent.
La sieste fait encore des siennes.
Et le soleil frappe la fillette.
On ne sait plus quelle heure il est,
avec ces copains qui
paissent,
paissent,
paissent sans cesse.
Mais, ils peuvent boire maintenant.
à l’aube inspire
et l’absolution
sur le terre-plein aux arbres sans apprêt
sur le trottoir où dégueulent les néons
du bleu du jaune du rouge
du cul
sur le terre-plein aux canettes défoncées
où les corneilles répondent aux cailleras en attente de métro
les unes perchées en haut des arbres sans apprêt
les autres perchés sur les bancs aux dossiers taggés
à l’aube inspire
et l’absolution
tu as un don
et plus que ça
indienne
Marie-Agnès…
– Prescience en sac à dos, le passé devant la baie
– Heurter par le calcaire à cet Hortus des fois fier.
– La tendresse verticale dégouline assurant la portance rapace.
– Chacun appose sa patte, sa fréquence, sa couleur.
– Emprise secouriste des premiers globules bleus.
– Derrière les prières et les souhaits ombrent la technologie maternelle.
– Et c’est quand même gravement sensationnel, ce soudain toujours.
– Au vrai du frais à pic de loup, l’oubli multirécidiviste.
– Pas de rose embourbés sur les dédales de dalles, encore.
– Encore ce leurre des haches méandriques qu’impose le domaine.
– Non exhaustif, non 144, non initial à la soit disante chaleur des choses.
– Pourtant c’est là ! Hein ? L’inconnu récurent…
– Sur les épaules, ce plomb passionné d’avenir narquois.
– Mon ami aussi rien à l’autant éternel…
– Qui piste le passé de ses crocs tentaculaires.
– Qui ne se sait qu’à travers les coucous de l’autolyse.
– Quitte à contempler les garrigues enchaînées à la météo amnésique.
– Sans dire cet, intouchable, invité spectral dans ton dos.
Las Negras
tissu hypercubique du jamais et de la non musique
parfaite sécherèsse du singe et de l’abesse
quiproquo de fausses prophètes
angoisse batarde des prophétesses
le nu le non le nu le non le nu
l’eau le sel ah sel sel sel
gravitant sur le sommeil du chemin
le rire fou des jeunes savants
le passage de l’ambulance pulmonaire et cardiaque
qui récite des mantrams et pisse le dos tourné
seule différence de la muse
pour Rampin le loup du sud
Étant les formes, il est autant Elle, que l’amnésie, sa gestion.
Les âmes boutiquières se reconnaîtront, l’ayant déjà exploitée, cette unité multiple dont elles veulent tirer à tous prix quelques conforts calculés.
La maîtrise, le domaine, la marge bénéficiaire qui enchaîne ce qui se déroule pourtant jusqu’à l’autolyse.
Pour survivre, pour s’inscrire au sein de cette immortalité cancéreuse de ceux qui se croient eux, après la raillerie de l’inflation originelle.
Tu n’extrais de ce qui t’entoure que tes propres creux.
Excuses.
Supplications.
Dans le cochon, tout est bon.
La science intrinsèque, aphasique, aveugle d’Elle même et de celui titillant toujours le téton, beuglant sa maturité d’enfant gâté.
Mais il est aussi Elle.
A la limite du frisson, de la perception.
Et dans le cochon tout est bon !
Étant pensée, Elle est autant Lui, que mémoire et désordre, ambidextre.
Les enveloppes généreuses s’y perdent, l’ayant déjà asséchée, cette unité multiple dont elles veulent tirer à tout âge quelque effort soustractif.
La guibole vacillante, la hanche coincée, l’usufruit claudiquant sur un bout de papier, avec en marge inscrit au stylo: acheter un briquet, le reste attendra (pour survivre… pour s’inscrire au sein de cette mortalité des faubourgs, construction mentale, lente aphasie, réversion originale).
Ton regard c’est ta possession.
Excuses.
Supplications.
Dans le coton, tout est bon.
La matrice journaux, rues, bars, supermarchés, ciel plombé, a sa part maudite. Mais Elle est Lui, que mémoire et désordre, auto pilote.
A la limite du coup de froid. Du coup de marteau. Du brouillard.
Mais dans le coton tout est bon!
Ah, du sensationnel, cet orgasme soutenu de l’anafranil… mmm, délice !
C’est con, on nous donne de la liberté d’expression à hautes doses et on frise l’autodestruction, mais la suite est mieux, on tombe sur la délectation morose de la transgression, de coucher ensemble avec d’autres personnes, de mouiller…
On est une acteur et une actrice réunis par le hasard et l’on témoigne devant n’importe quel publique.
Jeudi, 30 mai, 2013
Catherine me disait hier soir ou bien ce matin avec le café qu’elle se demandait pourquoi Artaud, qui était enfermé pour fou, était moins difficile à comprendre dans son écriture que Joyce, qui vivait une vie courante. Elle mettait des nuances, elle ou moi, nous disions que ce qui avait fait interdire l’Ulysse, le livre le plus célébré de Joyce, aux USA par la censure c’était la provocation et l’obscénité, tandis que le Joyce ler plus inintelligible était celui du Wake, et qu’Artaud aurait pu être classé comme fou par des critères plus ou moins propres à la répression des années 30.
Elle m’a avancé une réponse donnée par une psychologue. On est arrivés, en faisant durer le petit-déjeuner, à ce que c’était une réponse simpliste et réductrice. Ce serait à formuler comme quoi Joyce aurait réussi à mettre sa folie dans ses livres, tandis qu’Artaud n’aurait pu la mettre dans ses livres et serait devenu vraiment fou. On oublie là que si même fou, Artaud nous parle d’une philosophie fondamentale c’est que sa folie était superficielle ou névrotique.
Ah, du sensationnel, cet orgasme soutenu de l’anafranil… mmm, délice! C’est con, on nous donne de la liberté d’expression à hautes doses et on frise l’autodestruction, mais la suite est mieux, on tombe sur la délectation morose de la transgression, de coucher ensemble avec d’autres personnes, de mouiller…
On est une acteur et une actrice réunis par le hasard et l’on témoigne devant n’importe quel publique.
Déjà à l’atelier, fuyant la routine dans la solitude, je prends, pour chercher un clon de Joyce, dans le modèle « folie dans les livres, normalité extérieure », face au modèle « folie, mais livres sérieux », le volume de Imaginations, de William Carlos Williams et les Cantos de Pound. C’est parce que la vie de Pound a été nettement plus folle que celle de Williams.
Such painting as that of Juan Gris, coming after the impressionists, the expréssionists, Cézanne – and dealing severe strokes as well to the expressionists as to the impressionists group-points forward to what will prove the greatest painting yet produced.
William Carlos Williams
Selon lui le cubisme serait beau pour être glacial ? Non, pas encore, cela vient dans la tête acculturée de l’art contemporain. Mais bien que les idées de Williams pourraient être celles d’Artaud, son expression n’est que plus médiocre, confuse, moins importante pour la séduction à venir… Du moins pour le lecteur que je suis.
La question de l’inintelligibilité de Joyce est la même, c’est un autre degré de sa provocation d’avant-garde bourgeoise dans l’Ulysse, que celui du Wake. Ce n’est pas sans raison que Joyce a finalement été répudié par Pound.
Comme quoi la valeur du sinto…
Catherine, l’orthographe lacanienne pour le symptôme propre aux livres de James Joyce, peux-tu me la rappeler? Je suis en train de rédiger mon Wake (je n’ai pas les Séminaires de Lacan)
(écrit à la main deux fois)
Bon, reprenons notre dénigration. Comme quoi la valeur du sinthome n’est pas tellement l’excellence mais celle d’un médicament thérapeutique courant, d’ordre esthétique, mais à la portée de tous… Je crois que c’est l’élément clé pour comprendre les Classiques, Dante, Cervantes, Joyce, ou Lawrence Sterne, William Carlos Williams, quoi. Que ce soit intelligible ou pas, provocateur ou pas, c’est l’usage thérapeutique de l’écriture en fin de comptes. Son succès n’est qu’un hasard. Un accident.
ajoutons un pourboire pour le sevrage
Cela revient à dire qu’il y aura toujours des textes, des ouvrages, méconnus. Et, avec eux, des pensées qui passeront à l’oubli sans pour autant le mériter aucunement.
Assumer cela, et chercher dans la folie à ne pas rendre plus grave la souffrance de celui qui souhaite une écoute, c’est la tâche de notre curiosité en tant que vertu, le désir de savoir dépourvu de mesquinerie, et pourvu d’un je-ne-sais-quoi chimérique. Alternance chez nous, donc, de fertilité et d’onanisme. Pas forcément différents des animaux, parce que la loi de ce bas-monde prévoit aussi la perversion, comme l’a observé froidement le Marquis de Sade.
BEGIN:VNOTE
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Bien dans la merde devant la commission d’aide √† l’√©criture
J’esp√®re avoir su dire les bons mots
Parmi les phrases toutes faites
S’interposant intempestivement
Dans mes errements de formulations
Un entretien avec une commission des affaires culturelles
Ne me laisse jamais indifférent
L’√©v√®nement est de nature encourageante et distanci√©
Mais l’exercice peut √™tre d√©contenan√ßant
Eventuellement
C’est l√† que √ßa se met √† parler tout seul
Le résultat est généralement navrant
Les phrases surviennent dans des accès de panique
Ou des moments d’absence
Qui permettent à ces phrases de vous assujetir
Et donc vous les formulez
Et vous découvrez en même temps que vos interlocuteurs
Le sens de ce que vous venez de déclarer
De temps √† autre d’heureuses surprises
Sur lesquelles vous vous empressez de rebondir
D’autre fois des blocs d’invraisemblance que vous creusez comme un d√©bile
T√†chant d’en extraire un embryon de bon sens
Et dans cette pénible alternative, vous aboutissez généralement dans un marasme aphasique qui vous transforme en un grotesque pantin désarticulé
Ces phrases invasives sont élaborées industriellement par les masses, dans les réseaux sociaux ou ailleurs
Et vous colonisent le cerveau
Grace à leur forme étudiée
S’il se trouvait un membre de cette commission qui me lise
Je lui dirais que je suis navré pour ma piètre prestation
J’ai encore √©t√© le jouet de phrases virales
A l’instar d’un clone du XXIe si√®cle
DCREATED:20130601T094006
LAST-MODIFIED:20130601T094006
END:VNOTE
Prendre la chatte chaude au numéro 69 puis déterminer le nombre de lettres qui se trouvent dans la librairie tantôt ouverte et ou mouillée selon l’angle de pénétration d’un œuf se léchant la queue sur les reflets des doubles haches au rayon boucherie jouxtant ce fond de gorge analphabète alors s’expose le million de caractères en attente devant des sémaphores félins ou sphinx neufs terminant ce dépucelage annales des quartiers lunaires où les reines nymphomanes engloutissent des pénis taurins en file japonaise nonobstant chaque pointillisme bouquinovore par plages véhiculaires qui se posent la question pour la deuxième fois du nombre de lettres contenues dans une librairie quasiment tokyoïte lissant ses poils guides et pistes d’atterrissages sans trompes de salopes à la sixième à droite d’une tour de contrôle clitoridienne guettant votre destination en biais des psychés autocrates calées entre certains rictus piétons au contour de la chatte à 69 têtes qui se lâche derrière toi.
bonjour c’est beau et + intense entree des /
– Tuer des infirmes aujourd’hui.
– Le ciel est si fâché.
– Dynamiter des vagins.
– Et tu sais quoi la lune ?
– Tu es trop blonde !
– Fuir la nuit par amour.
– Inversion lucide de raison.
– Secouer l’espoir jusqu’à la dernière goutte.
– Ordonner au sol de marcher.
– Et punir toutes formes de pensées.
Connexion
La respiration mécanique en nappe pour la mélodie aviaire qui pétille sous l’opale céleste.
F5- A l’haleine du compresseur, l’écho crépitant de quelques rossignols comme des bulles bénissant le bientôt bleu.
F5- L’attention du craquement carné occulte ce souffle avec cette stéréo droitière du piaillement véritable tremblement d’éther à la niche de la chanson première.
F5- Des pas au plafond puis les gémissements du frigo s’accorde à boucler cette célébration aurorale et animale à la mi-temps du rose en défaut.
F5-La féline gardienne des portes ou voici venu du couloir, la stupidité ténébreuse. Cela caracole hautain par dessus le feulement froid du cube ressourciel toujours supportant le chant patientant l’azur.
F5- Alors le froid délicat se pointe, sûrement en reconnaissance des expirations glacées d’un part et des énervements encrés d’autre part, toujours sous cette salutation frénétique de l’éclat originel.
F5- Sur le devant se focalisent les pies intransigeantes ne parvenant pas à étaler la symphonie hystérique que l’électroménager respiratoire soutient alors que déjà les nuages prient leur age et qu’un moteur ronronne au loin des croquettes criant au vol.
Déconnexion
Déconexion libertéd’aimer sans permis sans lassitude
F7 la grimace en lot d’honneur
félicitation de la foule
princières omissions
et
la laine du compresseur, les quo crépitants, la beauté des visages, et des accordéons du corps mal aimé sans doute
prête mon habitaion
tu pleure tu lentcalme, ah les pieds! durs à la lutte
canon, cannoncés
perdre à tous coups s’évite
une mise au menton ça passe la braillarde
et l’invité sans doute
dans le corps évité
évidé sans doute
en accordéon, hérisson des vagues
rats
pides
tourbillons
encorné, geste arthur
léon cède à camille
et coline s’en va
dans la légère et compréhensible retenue, enfin
loin des cris, des piaillements
chacun force une heure de gloire
en face tous ces profils
la lisière de l’innocence
l’inutile inconfortable
colère des naufragés
et la criée
et la priée
et la calmée.
enfin seul, je me dépose pour dez bon.
tôt ou tard le symbole
elle m’a rencontré
dur dur les moments doux
dans un moment creux
sur la route ascendante
et le calme sec, lucide, anté inspiré
maison dis lui vient
si proche qu’on ne veut pas voir partir
cette impeccable équilibre
futur automne été printemps des nouvelles
mots simples, rytme régulier
hante et dis lui vient
grondements d’automne
comme si berlin était déjà en veste, en pantalon
en couleur du travail
comme si…
quelque-chose nous disait de nous concentrer sur l’essentiel
conscient de n’être plus ce fauve élastique
véloce et tête brulée
mais sous les doigts reposent
assez de concerts, de charges, de branches, de papier, de feu
pour tout bruler
planches et élus .
personnage montré du doigts
toucher la barbe
entir les strates grossières, rugeuses
de l’atmosphère prend garde
taper dans les réserves
je ne dîne pas avec l’amour
je me bats
Je suis moi très très CHAMBRÉ
Elle est dans son trip sado-maso
les autres aussi, tout s’entasse
mes yeux pleurent, je veux une autre vie
oui, les autres, qu’est-ce qu’elles font, je me sens aveuglé
je n’ai jamais voulu être ici
même si j’y suis pas
merde et merde et merde
Une bien dure doxa
une mauvaise posture
besoin
tu déambules et tu cries incongrue des mots de garce
je t’ai toujours aimé, je ne me sens pas si loin que ça
absinthe dedans mon corps de marginal
un billet de train qui restera dans mes testicules
une morsure d’araignée dans ma cuisse, juste
placée au seul opale où je suis seul, sans mon poil
CATHERINE GIL ALCALA M’A ENTRAINÉ DANS UN RAPPORT SADOMASOCHISTE PAR LEQUEL ELLE EST EN TRAIN DE RUINER MA VIE
ELLE M’A MIS UN COLLIER AVEC UN GRIGRI SENEGALAIS DONT ELLE PORTE LE DOUBLE, C’EST UN CAURI
LA SOUMISSION MAGIQUE S’AJOUTE À LA SOUMISSION MASOCHISTE ET ELLE M’A PLANTÉ QUAND J’AVAIS DÉPÉNSÉ CE QUI RESTAIT SUR MON COMPTE EN BANQUE POUR L’AIDER, ELLE M’APPELLE D’AVIGNON ET ELLE ME DIT QU’ELLE M’INTERDIT DE LA VOIR ET QUE JE DOIS SUPPRIMER MES OEUVRES, PARCE QU’ELLE A BESOIN DE SE VENGER EN FAISANT L’AMOUR AVEC PLUSIEURS HOMMES
EN PLUS ELLE TRAME DE CALOMNIES ET ELLE ME MENACE DE ME DÉNONCER COMME QUOI JE SERAIS UN HARCELEUR
Bon, je crois que pour ce qui est de ma croyance sporadique en la magie, constitutive de l’arrière plan de mon métier de peintre, elle peut sembler dérisoire et même anaphrodisiaque, mais qui ait senti comme moi la fantaisie sexuel dans un rapport à l’Antiquité, avec le Satyricon et l’Ane d’or, doit avouer avec moi que malgré l’apparence ridicule, l’aveu du charme, du moins, serait ridicule, il se passe mieux que si l’on veut trouver du sexuel dans une modernité homogène.
Je veux exprimer ma loyauté envers celle qui a été ces derniers temps ma maîtresse ou aimante, en tant que peintre son écriture a été très suggestive, et je ne veux ternir son image publique, mais je me dois, par ma déception et pour ne plus « subir » d’ajouter du sulfureux à sa réputation. La suspicion ne peut qu’introduire par la voie royale à l’audition ou lecture de ses textes.
J’AGONISE MAIS IL Y A AURA D’AUTRES CHAPITRES
En quinconce!
La chatte écume….
Mais:
1. Ce qui relie pète l’hygiène mentale.
2. Pas speed amnésiques du photon.
3. A boire ? Pourquoi ne pas faire de libation sur le biton ?
4. Les troublantes merveilles gémissent sous l’horreur de quelques blanches pétales.
5. Et tous ces clitoris qui mangent la pierre…
6. La larme diamantifère ou la perle du serpent.
7. Et l’aphasie qui couronne cette syntonie qui nous fuit.
8- Seule la solitude n’est pas une nounou^^
Connexion
C’est le temps, tu le sais, à l’autre bout de la planète, la logosphère se taire, sur l’annale de Vénus en train de traire ma voi(e)(x) d’acier.
Liberté carnassière.
Ma mer d’hommes pleine d’horizons guillerets s’esclaffe durant ce nonobstant des espingassats dérapant par douane interposée le long du mercure désespérément médiatique.
Et ces sirènes saignent sans cesse.
Attrape à ce catch sur flaques clitoridiennes cet Aresquier crépusculaire prêt à plaire pour fuchsia pubère aux vagues futiles mais souterraines.
L’apnée d’un plongeon ou le futur sans façon…
Au droit des détritus, le véhicule végétalien varie de minuit à midi, vers ce voile, le vécu des vies, sale toile vaincue, croyant voir le soir ce noir, en vain vendu via vacances votives au droit de notes (dans ton cul^^).
Déconnexion
kommodo au détail
animaux au volant
rébus dans la bataille
forcenés fort troublants
chats parqués sur la plage
oiseaux dans des fours
oranges aux barres de fer
colère des oisillons
plumage en maille de laque
voitures au volant des choses
seringues dans le mur
pour tenir le tableau
murmures en reflet tout bon
aux images en dessous
coulures d’un matin blanc
parfois la nuit s’efface
plein de moustiques sur mon trousseau de clés
elle me regarde et intérroge
mes yeux doux plein de doutes
je la vois si fluette
en fuite au pied des coups
sur le luth et la pantouffle
sur le burrin et la scie
sur le menton et le genou
tout à terre, c’est donc vous
les traces
des vibrations acquises
turbulences amères
sous pente tubulaire
les sourcils froncés
Les pics de glace gouttent devant ta porte.
Fière flaque feulant follement ses feux…
Là-bas,
déjà,
la brume s’élève,
maîtresse du rubis qui la teinte.
Et les étoiles ont entendu la neige tomber sur tes pas.
私 わ あなた などの死 愛してる
Deux timides tiges de jade chuchotent le dégel.
Puis,
le mutisme immaculé rêvera du vacarme des kotsuwamushi.
illusion ludique de Zion et sa lune iodée par la cuvette des chiottes
éludé, logique, de Cayenne et ses cailloux bleutés, codé jusqu’au mexique,
et tu te tirera
ici ou là.
Mais,
emmènes moi doser, les fils en folie puisqu’il y a,
autant d’éponges que quand on meurt, mais on ne meurt pas, alors
on se retrouvera
puisqu’on peut faire sans vous, ce que d’autres n’ont pas fait avant nous.
1 – la pression somatique a des compresses cachées dans la sous-pente
2 – de ton pantalon. Je les enlève il se déploie l’arbre à lumière
3 – cosmique en déc-délice, le seuil du groin s’emmouche et se fend
4 – en cri d’airain sur le devant, en oscillation oeudipiale
5 – espère et déballe ses interdictions psyché-clichiques
6 – pas d’acteur sur les pentes de ma clitosphère
7 – je me débouche sans verser car au trig, au filtre, au climax ou aux doutes
8- sataniques ou piscine douce, je me glisse et me ventouse
9 – suppute un râle dans ta sous-pente je laisse faire
10 – vepseral –
20 – larespev et l’alternance des couleurs sismiques jour/nuit le soleil
l’espérance des décimales en porte voix
30 – je porterai ton nom je porterai tes choix
40 – tes nombres
50 – tes cheveux
60 – ta raison
70 – ta foi
A la promissure extra-galactique fulgure le presque croire noire fissure du but en culbutes futures que suce cette âmedorette sanquette ultra-cuite contre rature d’omelette niquelette de sardinettes à toute allure chouf bratercater pe iactis car jure la sœurême inter-spatiale puisque mermuse ruse sûre, sur roulure temporelle élégante speedy draille oc watashi no aï blessure mais si lisse sous sylve vicieuse susurrant ces sulfures sans ailes cruelles, elle n’arrête pas de me le dire au mur dûment crânien trop dur parce que finalement tu fais ce que tu n’aimes pas, hein papa-lune pure réalité non nyctalope comme tes tapemères en froidure qui sillonnent de saturne pour mercure par bouquets Blodeuweddiens interposés cure linguale crâneuse où se lucidore lâmelove mure juteuse jeteuse de belles sources à cinq mains sous bure ou soudure d’une écume emmiellée de japoniaiseries glamoures qui piquent encore atomique cette promiscuité konpeitante autant tentante qu’une voilure leurre dans une boite à moulure zéphyrale, vespérale, fuckale déstressant ses tresses si soniques, mes phrères, c’est watumaros !
Madame Catherine est une vraie voyante et guérisseuse, pas d’escroquerie, elle fait des miracles. Tout comme las saintes et les prophétesses de jadis, qui ne se conformaient d’ouvrir un ordre monastique ou d’être exemplaires, mais qui opéraient de saints prodiges. Pour ma part elle a miraculeusement soigné et guéri une verrue. Le jour même de mon anniversaire j’ai pris congé d’elle pour me retirer d’elle à jamais, après une année de cure, et ma verrue des hanches est tombé sèche sur la paume de ma main gauche. J’avère aussi qu’elle est une vraie écrivaine.
Vaille ceci pour une anthropologie analytique (et je fais remarquer que dans la possibilité même du concept d’anthropologie il y a sans faute l’analyse freudien) des sorciers et sorcières (l’anthropologue, étant lieu aussi d’expérience scientifique, peut appartenir à la catégorie étudiée…) pour l’édification de la jeunesse et pour empêcher leur chasse…
J’avère aussi qu’elle est une vraie anthropologue est qu’elle peut très bien me corriger à titre de telle ici ou dans n’importe quel autre contexte, ou bien agir en tant que voyante et guérisseuse pour me démentir ou m’approuver, ou bien se moquer de mes histoires en tant que vraie écrivaine.
Les écrivains sont des fous, des runners of the Amok
j’ai enlevé les autres manou, mais j’aime bien celui-là. Si tu veux je l’enlève aussi
Par ailleurs, la crique oblique, ostensiblement, se gorgeant aux gargarismes des grenouilles, cette marre à leur avantage, d’être en train de faire, renouvelé par son conformisme moribond, les baies bleues sous-marines qui pourraient avoir la particularité de tisser le contenu et le contenant en même temps, juste pour test funeste, ainsi nage la vie, sur l’onde loueuse d’autolyse, que codent ces causes caudales, lors des morsures matinales, au fond de son lit verdâtre, ce sont ses têtards guettant les têtes tiers, emportées par la rivière, donc à l’heure des criquets fêtards, pouce ou grève trois fois, bientôt sa cascatelle appelle la kyrielle idéelle, où pour ne rien dire la mousse ne saura choisir entre l’opale ou le jade, puis d’autres, d’autres, encore d’autres, car la lumière a fait mal, alors elle hulule au loin liant l’atroce au tendre sans aval, puisque le loriot cille sous trilles lasers, voyeurisme astral, trames du sérail, théâtral vassal, si la gente titille son vain verbiage, vaincront ces citations dont les grillons se déstressent, vers une coudée plus proche, l’ombre coule encouragée des nuages, nul but ne punit l’unisson, l’osmose humide en dentelle son sourire, voilà venir de l’embouchure, la torture, ce qui dure, ce qui sauve, c’est ce qui germe au mortel, pas forcément pendant les embranchements quasiment salins, gronde maintenant la colère du géniteur à la merci des demains, palabres neutres car les nacres s’occultent toujours, alors les blancs bourgeons d’en haut vampirisent l’eau épuisée du faux, se précipiteront quelques myriades de perles, jusqu’à d’ailleurs la crique qui dissèque ses coquilles sans âge au lent courage.
il m’a bien fallu admettre
en descendant du tertre
jusqu’à l’olivier centenaire
et jusqu’au chêne-liège point 3
jusqu’au centre point 4
jusqu’au bout de l’allée, jusqu’aux vignes
que j’ai oublié ce qu’il s’est passé au point 2 et surtout
au point
1
……………………↓……………………….↓……………………..↓……………………..↓………….
→……………. J’aime……………..Une femme………Qui excuse………………Mon passé
→……………. Un pont……………sécrète…………….des larmes……………..de mousse
→……………. Au dessus………..de l’acide………….réside……………………mon futur
→……………. De l’eau…………..odorante…………..dans un coeur…………..organique
Tes tétons sont
gentils comme des nombrils
et ta bouche est la première
bouchée du tabou.
Ton nom est doré, C********,
et ton sexe du silex
fondant retenu
par une membrane
de soie. Ton visage est l’autre
face de mon visage.
Tus pezones son
dulces como dos ombligos
y tu boca es el primer
sorbo del tabu.
Tu nombre es dorado, C********,
y tu sexo es silex
fundiente retenido
por una membrana
de seda. Tu rostro es la otra
cara de mi rostro.
Sans guerre et sans horreurs
sans grandeur et sans traumas
sans ivresse et sans drogues
sans hiver, sans étés
avec la plume trempée dans le doute
dans l’air irradié de reports, de constats, de rapports
crier un fluide flou en articulant bien ses secondes molles
tenter de penser l’épelé
le déconstruit
la structure qui nous appartient
le contenu qui nous abandonne
Nous nous sacrifions à la paix
et nous vivons comme les autres, sages humains, fils d’anciens soldats.
Au coeur du conflit,
nous avons la distance nécessaire.
le lugubre est une consistance qui se mange froide
la chaleur est une hormone de croissance
le blizzard interrompt les amalgames du doute
l’intention est bonne mais savez-vous draper ?
hier, j’ai repris foi en la vie
laissant les cartes jouer toutes seules
sans miser ce que je récupère
sans risquer ce que je délaisse
sans pire et sans fondations
sans meilleur espoir qu’une route
ouverte sans cesse et -presque- sans arrêts
le corps entier dans un passage dans la roche
ou large et fumant d’inquiétude
ou très, très, très vite comme un jet rutilant
ou lentement, j’ai volé un engin
j’ouvre, colères et bruit blanc
dans un confort aux causes ralenties
cet espace qui ne m’appartient pas.
j’avance, moderne, mesquin, peu amène et fort saturé
quelques poèmes font le lien avec ce que je ne connaissais pas.
*
*
Dans « exister » il n’y a que des frontières
*
dans « dormir » le ménage est fait
*
et donne aux mots porteurs
le dépassement de soi
une formule éveillée
*
(dans « amour » le secret des sorcières
qui, au calme, rend magique un soupir
pouvoir de transformer
*
Nous ne faisons que transformer les choses
Pour nous seuls, pour sourire.
*
Plus de 1600 textes à prendre ou à laisser
Des miettes à prendre, à voler
les souvenirs des autres / et les miens, et les tiens /
Sous les pavés les pavés / et sous la plage (l’épave?) /
du réseau en retraitement constant /
des petits bouts de route /
des moments creux comme ça / presque moi que je tiens /
ce petit bout du monde / par des câbles sous la mer / d’Amériques à Nevers /
Berlin à Montpellier / pour que vous rappeliez / vos bancs d’images sans doute /
et le nombre des années / qui filent entre les doigts / c’est des textes en étage /
Le vrai clic sauvage
aha ha
gros ballon s’en va
gros ballon s’en va détruire
refaire accumuler les verbes
sans sujet sans fond
il te demande d’où vient
ton air et tas si bien positionnés
de verdure
de boule ronde et bleue
qu’on lui explique que c’est sa création.
Gros ballon s’en va défaire
sa bande
est
avec
lui
manières et ta santé
tes
Gros ballon s’en va défaire
ta
crème
et tasse
d’1
time
Framboise * Sous l’empreinte digitale * A l’encre de la datura * Chattes châtiées * Si * Siphon commun au typhon * Kératine inspirée * Ces fraises coquines * En ronde polytone * Ton aura * Gage des nuages * Et l’araignée verte sirotant la cervelle de mouche * A la perfection * A l’unisson * Entre les étoiles * Là où s’élance le silence * Lorsque ce visème sème mes non sens * Calculent les pouliches ailées * Quand tout est encore perfection * Toujours * C’est à dire * Le long des dialogues divins * Carmin * Au temps des chiens * A l’heure du saurien omniscient et rose à mon cœur * En l’année serpentine * La connexion des multivers éhontée * Alors la muscardine veux décider * En dessous des mélèzes * Car encensoir * Durant l’air qui danse * Maintes poussières cherchent à nicher * Mais le miel de lumière se meurt * Âme velours * Glace syntonique * Cycle des frissons * Fantasmes matant son champignon * Gouttent quelques gemmes liquides * Un vide parmi tant d’autres * Façonné par l’extérieur * Pour amphore ou terrier intimiste * Vaquent les larves * Même * Se sème soi * Sous le toi du samouraï de soie * Cocon câlin * Tendresse omnipotente * Empire de la douceur * Flocon sur cette griffe * Jus rouge * Pépins lovés en leurs chairs * Ce soir * Je serai demain * Deux doigts dans la bouche * Le pouce * Les molaires retardataires * Ce sort à taire * Cité sauvage incivile * Quelques yeux par terre * Prunelles * Au monde en quête de politesse * Lie * Lisse * Peau * Garde à vous * Ces maisons en fuite * Exaspéré * Le respect * Selon les soupirs cycloniques de la planète *
Treizième sous-sol *
**Intérieur plus
***encore perfection
****multivers éhonté
*****maigre samourais de soie
******dialogues divins
*****quand tout est blanchi
****
***
**
*
*
**
***
****
*****
******
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*********************************************************I
*********************************************************I
*********************************************************I
*********************************************************I
*********************************************************I
*********************************************************I vaisseau factice
.
.Mal nombré le freu des frayeurs
nip de cloche et pends nibats
et contemple dans ta boule
usée fritée, rongée des parquets
et la semaine bas coule
jusqu’en guerre d’égée
Une pluie de flaque
lave l’éponge
de ton cerveau humide
comme une averse
d’un climat tropical
revu à la baisse
d’une période glacière
en direct de Cannes
et ses eaux profondes
Un cinéma d’air liquide
fait sonner ses larmes de joie
tandis qu’à la surface
chacun sèche à l’idée d’une solitude choisie
Framboise * Sous l’empreinte digitale * A l’encre de la datura * Chattes châtiées * Si * Siphon commun au typhon * Kératine inspirée * Ces fraises coquines * En ronde polytone * Ton aura * Gage des nuages * Et l’araignée verte sirotant la cervelle de mouche * A la perfection * A l’unisson * Entre les étoiles * Là où s’élance le silence * Lorsque ce visème sème mes non sens * Calculent les pouliches ailées * Quand tout est encore perfection * Toujours * C’est à dire * Le long des dialogues divins * Carmin * Au temps des chiens * A l’heure du saurien omniscient et rose à mon cœur * En l’année serpentine * La connexion des multivers éhontée * Alors la muscardine veux décider * En dessous des mélèzes * Car encensoir * Durant l’air qui danse * Maintes poussières cherchent à nicher * Mais le miel de lumière se meurt * Âme velours * Glace syntonique * Cycle des frissons * Fantasmes matant son champignon * Gouttent quelques gemmes liquides * Un vide parmi tant d’autres * Façonné par l’extérieur * Pour amphore ou terrier intimiste * Vaquent les larves * Même * Se sème soi * Sous le toi du samouraï de soie * Cocon câlin * Tendresse omnipotente * Empire de la douceur * Flocon sur cette griffe * Jus rouge * Pépins lovés en leurs chairs * Ce soir * Je serai demain * Deux doigts dans la bouche * Le pouce * Les molaires retardataires * Ce sort à taire * Cité sauvage incivile * Quelques yeux par terre * Prunelles * Au monde en quête de politesse * Lie * Lisse * Peau * Garde à vous * Ces maisons en fuite * Exaspéré * Le respect * Selon les soupirs cycloniques de la planète *
Je suis la semence séreuse du soi sibyllin.
Tu es le serpent à qui je mords la queue.
Il est ce trépied enfumé par un simple triton.
Nous sommes encore et pour toujours nos serfs.
Vous êtes sans tête à la tête de toutes les têtes.
Ils sont ce nom, le non légion, à la sortie du con.
Je suis là semant ce serf heureux du roi séraphin alors que tu hais les serpes en qui l’an Dada et son jeu, loin de mort, l’astique.
Il et l’Esse trépidant en fumier parent une simple question.
Noue, la somme en cœur, ces pourtours à jouir, nous serrent.
Voue, cette tête dépourvue de maître qui tète aux maintes mamelles, toutes étêtées.
Île, Ô chère île, au prénom aussi légions que les ions : accouche du sort que l’on a jadis réservé aux on.
Dans une colonne, un être sort du sentier. Alors chaque ronce, chaque branchage coupant, chaque plante vénéneuse, est le fruit de ceux qu’il a quitté.
Après vingt ans de bons et loyaux services tabagiques, de bédave cosmique, de fumée grise, rose, verte et filandreuse, de toux et de thés et de thon, de musique sous-marine (là où ton sandre y est), pardon, de musique atmosphérique, déther nuitée, de feu dans les étoiles, de soufflettes, de couleuvres, d’écriture en capture, d’art abscons sous influence, de briquet dès le matin, de textes en déroute, d’écriture automatique, de café, de fuites! à la palme et au chichon, de feuilles, d’herbe, de putains de milliers et de milliers d’euros concédés à l’industrie du goudron et de la famine, multinationales du déboisage violent, de la déforestation, de l’accoutumance, de petits meurtres entres amis, du repli sur soi sur un trottoir… devant les restos, les cafés, en retard au boulot… Après des jours et des semaines et des années de taffes, de tires, de souffles âcres, de sprint avortés, de ronds de fumé, d’odeur sur mes vêtements, sur ma peau, mon haleine, mes cheveux, mes mains, ma queue, partout dans ma vie et même dans mes poubelles, après une moitié de vie consacré à la clope! … ça fait une semaine que j’ai arrêté, et … ça va. (un peu speed mais ça va)
O… O… O… lé
roudoudou
roudoudou
roudoudou
roudoudou
roudoudou
roudoudou
roudoudou
roudoudou
roudoudou
Frémissement dans la matière noire
sous les mots simples :
une déferlante de dictionnaires en métal coupant
une seconde de trop
dans son silence
la question est vive
j’ai compris qu’à l’avenir
on ne se verra plus
xénius escaladeur marché noir de cockpits bleutés en transparence rare coucher de soleil
5h06- Les algarades quotidiennes ne piétinent pas l’idéal en épée de Damoclès.
5h08- Être le Nesci des quelques uns désabusés.
5h09- Muser ceux qui lutinent sans louvoyer.
5h09- Votre foirail en quinte corail, cajole ce gouvernail des crises séminales.
5h12- Des neurones shuntés étincellent de mille malaises prescients.
5h13- Aux francs félibres, l’orient en rire au combien rassurant comme les ondes en rimes, en mire.
5h15- Difficiles à capturer ces médianes sans mots.
5h17- Toujours, l’opposé, le bien aimé en Senseï, maître suprême d’une Bohème de la transcendance.
5h18- La loyauté du temps, le merci de la mort, ces vies capricieuses, ton amour omniprésent, voici mon oui infini.
12h21- Les Alcatraz quotidiens s’entêtent au comptoir de la corne d’abondance
12h22- Perpétuel avantage d’être enfermé en soi sans terre à définir
12h25- L’exploration est terminée. La bêtise s’installe. L’esthétique est enterrée.
12h26- Les prénoms de ceux qui sont morts pour la tragédie de la vie
12h26- sont des artistes oubliés. Ils n’existent que dans les contes bourgeois.
12h27- La techno est une musique qui avance seule, sns critiques, sans observation, sans rapports
12h28- Difficiles à capturer ces médiannes sans mots. La fascination ressemble à un tube cathodique
12h30- Toujours, l’apposé, le bien aimé, le poème sencé, est un maître suprême pour sa descendance
12h31- La loyauté du temps, le merci de la mort, ces vies capricieuses, ton amour omniprésent, voici mon oui infini.
coton double
come correct
socca paranormale
coton double
come correct
impact et moisissures
clubfield
séquenfrères
critic 6666
on the flyer
séquenceurs
commerce direct
et redbluelines
numéro quinze
voicegroovecritikx
oscar triangulation douce (le dix-sept et neuf)
Younger Stan le gars
brieuc le
Etranges ces nombres sur ma cuisse
changé le fusil des pôles
BBLLMM
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..
…
….
……
…….
……..
………
……….
………..
………….
……………
………………
…………………
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……………………………………………………………………………………
……………………….. berlin 2014 BLM « france textes »
l’art est devenu plus inhabitable que la vie
Dire les choses de façon positive. Dire la vie simple. Sinon quelques-chose va péter en nous. avec ces réseaux sociaux. « On a fait une croix sur la présence de l’autre » lili frikh. Les gens peuvent mentir, tricher, rentrer dans des dimensions parallèles. Mais quand une personne est en face de toi, il y a des dangers nouveaux. Tout le monde le vit, et tout le monde en souffre. Les gens souffrent de quelques chose de l’ordre du psychique / dans la communication de la réalité, télé, machin réalité? tout est réalité sauf l’homme ! Mais l’homme a jamais été aussi peu dans la réalité. « Alors ce que je voulais dire à toi : c’est que je prend des décisions. à mon échelle .car l’échelle mondiale est une supercherie. c’est une stratégie commerciale. l’échelle est humaine ou elle ne l’est pas. Tu vas vivre à échelle humaine ou tu ne vivra pas. « j’ai l’impression qu’il n’y a plus personne nulle part. on est connecté; mais les gens n’ont jamais été aussi seuls. Des situations comme ça te font comprendre ce qu’il est en train de se passer. » » Les gens souffrent. » » Les gens en face sont en mode secret et planqué. Absolument pas tenu à la franchise, sur -eux-même ». Je parle du minimum vital. Mais ce minimum, tu ne peux pas le demander maintenant. Il y des gens.. tu ne sais même pas où ils habitent, tu ne sais pas ce qu’ils font. il y a un flou dingue, le flou du secret, étonnant.
Je veux être de l’ordre de la conscience.
il y a un grand danger
on avale absolument tout
on est bien au delà d’Orwell
on est né par kke chose
ce n’est pas le big brother. dans Big Brother, il y un tyran en haut
mais là, on est e ntrain d’éliminer des choses très importantes
des choses qui vont manquer à l’homme. Je le crois.
2 many poets
c’est bien une chose qui a été mondialisée
et il doit y avoir une raison
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………. ………. Prendre
………. ………. ce qu’à l’onde l’automne
………. ………. Pour joncs de printemps
………. ………. purs apparemment
………. ………. pour après, parent
………. ………. pour amant, paré
………. ………. pour appât, marrant
………. ………. pas d’âme, mais tresses
………. ………. pour mettre en colère
………. ………. pour ami, satan
………. ………. et pour joie, poème
………. ………. très politiquement
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BLM / auddie / berlin 2014
Aller là où le bonheur est reconnu
étranger ou pirate
sans papiers, sans laisser-aller
coeur à corps suspendu
arrimé aux images
d’un amour naissant
L’éphémère c’est ce qui
vient des enfants rois
arrimés aux messages
d’un amour blessant
étrangers ou pirates
sans papiers sans laisser-passer
Ils n’écoutent que leur peur
corps à coeur suspendu
aux décombres de l’instant
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………………les poses lascives
………………les choses rasantes
………………les pauses, assis,
………………les causes lassantes
………………(les choix difficiles)
………………ou : pas envie de choisir
………………de poses dans la vie
………………ces choses lascives
………………pour elle :
………………une épaule solide
………………pour lui :
………………les soi difficiles
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………………les choses de la vie…
……………….
………………..
………………….
……………………
……………………..
……………………….
………………………….
Esclave de son humanité * Humble à effacer * Cuir trop lisse * Trop fragile * Trop urbain * Enclave d’amabilité * Friable en l’ocre * D’un rayon * L’ombre fiable * Illuminée d’épines glacées * Car l’espace s’est cassé * Cases * Colonnes du vertige * Prohiber * Soûler * Nasses stratosphériques * Pourtant l’hirondelle est rieuse * La fourmi fermière * La lapine prolixe ou cannibale * La chienne fidèle * La mésange sage puisque parfois psychopompe * Dogme ductile * Docile ? * L’ivresse charnelle * Sanguine * Sous ces citronniers * Dérober * Dentelles dans la poussière * Bonjour * Mise en garde * Par derrière * Le vent dé-trame son visage * Libre de cécité * Un lynx entre les cuisses * Costume griffé * Coutume déchirée * Les fers en l’encéphale * Son corps en fuite * Fontaines des falaises * L’homme livre ses pages spatiales * Exil * En l’exil de ses ratures * En froissures futures * Là où sa peau se hérisse *
………↓………………..…↓………………….↓………………………..↓………………………↓………
→ ……………………….Allez…………….Moque………………..Les signes……….Contraires
→ ..Elle………………..visite……………..l’empire………………d’un oubli…………de fortune,
→ reçoit………………le présent……….sans douter…………du monde………….chaleureux
→ des messages…….que tu as………..Vu du ciel…………..se succèdent……….sans fin
→ différents…………..devant toi.:……….ces………………..Enchaînés………….par le coude
→ à chaque………… Peines…………….blanches………………la langue…………..se libère
→ nouvelle…………..et joie…………….lumières………………..et la nuit…………..la chimie
→ peau……………….et vide……………se touchent…………..parfois…………….du poing
→ hérésie……………et séries…………..au hublot……………sont sœurs………….sans air
Il lisait un livre de la blanche en buvant une bière noire
frémissant l’eau dessous, et sa dernière année,
l’an dessus saturé de missiles, de pensées grises motrices
fuyantes et comateuses
dengues retenues par la digue, une dague piquant le gong
sauvé du silence par un marin sans nom
qu’une russe du sud a cimenté sous son bras
sur sa bouche de plomb
hiver boréal sous moi tombent les phrases
qui veulent dire ce que tous les gens disent
quand ça ne va pas
mystère du manque affectif
de la grande onde, familière et tranquille
la vague d’humeur de raison
à défaut d’un mariage de saisons…
Elle me sidère d’être seule dans son tube.
Bouillant, et ne pouvant lire, un livre de la blanche
frémissant l’eau dessous, c’est ma dernière année,
en buvant une bière noire, l’an dessus saturé, de missiles mémoire
ventre tournant néant, mes pensées satanées.
Monstres imaginaires.
Dengues retenues par la digue, motrices et comateuses
une dague piquant le gong, battant la drisse à l’air
dessinant un vieux thème, la saisie d’un message
regard fort décidé, ça fait bleu sur sa tête
com’ tiré du silence par un marin sans nom.
Anonymous dropping :
Elle est russe mais son sud a cimenté sous moi
par sa bouche de plomb, le phrasé de ces cils
pédalant sous les feuilles,
enfumé, l’homme fond
hiver boréal, sous moi tombent les phrases et l’humus me porte
« qui veulent dire ce que tous les gens disent de bon »
seriously,
don’t fuck with me.
disait l’homme qui soudain n’avait que faire des mots,
qu’une vie sans arrêt il utilisait
jusqu’au sang
jusqu’au dégoût
et pourquoi faire claquer, chaque chose un arrêt?
à chaque chose un poème !
ne voyez vous donc pas qu’ils riment avec bohème?
et moi, je veux être riche.
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les chansons tristes trip hop lourd façon béton des villes et rouille et océans
se mettent à grandir et remplacent les prénoms en S, … s’apprêtent à faire mouiller les nanas et pleurer les mecs.
Sans une bonne dose de sentiments, comment faire grincer les pièges,
cimenter l’azur avec nos peines décapitées? les couleurs du soir peignent
pendant l’orage s’abattent …
cognent au dehors
qu’au dedans je saigne,
les rages sourdes pareil
se déploient
sur les écrans des villes
et la carte des vins
et je regarde en l’air précise
et ça sent ce truc quand il commence à jouir
à pleuvoir, que c’est tout lourd et graisseux partout, et végétatif, et prêt à exploser à notre place tu parles
et les chansons façon quarante is the new 30
et Août is the new BLACK
et n’hésite pas
n’hésite pas
n’hésite pas
n’hésite
les chansons tristes trip hop lourd façon béton des villes et rouille et océans
se mettent à grandir et remplacent les prénoms en S, … s’apprêtent à faire mouiller les nanas et pleurer les mecs.
Sans une bonne dose de sentiments, comment faire grincer les pièges?
cimentant l’azur avec nos peines décapitées, les couleurs du soir peignent
pendant l’orage s’abattent …
cognent au dehors
qu’au dedans je saigne,
les rages sourdes pareil
se déploient
sur les écrans des villes
regarde en l’air précise
et la carte des vins
ça sent ce truc quand il commence à jouir
à pleuvoir, que c’est lourd et tout graisseux partout, et végétatif, et prêt à exploser
et les chansons façon quarante is the new 30
et Août is the new BLACK
et n’hésite pas
n’hésite pas dans la dentelle des amis en partance pour nulle part
obscur danse dynamite, criminel tu saisis ta chance sur les réseaux sociaux
siologie solange soulage
le feu
qui danse matrice nombres et logo et punaises dans les circuits
et gronde factice
et lourd de trop, sur le clavier limace et te met des gants tu n’es plus toi
et la deep house, et (tu veux un scoop?)
orgues tristes
et musique catho
et deep house
et accords neuronaux
et allemagne
et france et italie
et angleterre
et espagne
sans majuscules
sans rien
n’hésite pas
c’est parce que ça ne s’arrête pas
que ça ne s’arrête RAT pas là
et échanger nos pestes et nos conquêtes
à gerber sur le voisin
et moi je peux chanter « les chansons tristes trip hop lourd façon béton des villes et rouille et océans qui se mettent à grandir, à remplacer tous les prénoms en S, … et faire mouiller les nanas et faire pleurer les mecs… »
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qu’est-ce que ça va changer, à part …
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les couleurs du soir
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pendant l’orage s’abattent …
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blm « France textes »
on est pas dans la jungle
demande à laurent
là, vous vous trompez de truc
c’est pas un combat
c’est pas un fight
c’est pas mon art contemporain contre ton art contemporain
ca a pas à voir avec la noblesse
ni avec la distinction
ni même avec l’élégance
ni avec rien de compétitif ou de brutal
ni tes goûts
ni tes matières
ni ta hargne larvée exégèse moderne communication des loups
ni ta com mec
, ni ta com de merde
non
là
ce que ça a à voir
c’est :
que ça marche entre nous
tu vois ?
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……↓………………………..…↓…………………………….↓……………………..……………↓………
→ La pluie…………………lave……………………….le sel………………………………..sur ta joue
→ efface…………………..et…………………………remplace……………………………..ta foi
→ l’ancien………………..magma………………………efface…………………………………la plaine
→ signe…………………..et parole……………………la blancheur………………………….se donne
→ La ………………………chaleur……………………..Brise ………………………………..ton profil
→ neige…………………….et……………………………glace………………………………..brulait
→ le cache……………….condensation……………….Et demain?………………………..L’ennui.
les lettres d’amour de ma mère à mon père
les mère d’amour de ma lettre à mon
les mère détours autour du ventre
mes paires et mes trois visages
seront consignés
le jeudi deux avril mille neuf cent quatre vingt deux, à trois heure. heure d’été
j’espère vous y voir
bien le bonjour chez vous
la plèbe
Les lumières jaunes et vertes et bleues et rouges
sont elles multicolores?
peu de mes yeux essaiment, mais elle ? mais qui ?
Demain les cristaux d’une enfant de l’ombre
osseuse et anguleuse
à la voix Capri et rocade et oliviers
à la voix bardot et moreau
à la voix métal et bleu train
à la voix d’hiver sans missile
à la voix qui file et l’eau et Sophie
et la voix de son père
et la voix de sa mère
et la voix de son grand père en retard, en négatif, tombé sur les roses
et la voix qui pique encore
comme qui pique ses yeux
en déroute, ouvrière
en capture et écran plat
en colère contre la nature, jours ouvrés, double insolence
et je reste en piqure de ciel
à chaque peur de son nom
quand sa seule acuité m’indique
les errements du fleuve sur la carte
comme si plus rien ne tenait
comme si je me fourvoyais, et mentais
je mentais.
Pardon
lili.
voir en oiseau
courir en cheval
sentir en chien
parler en poisson
démêle en colins
mille ans de collé
des milles en colères
mêlent à la colline
des mails en colliers
et là, sans un cri, dans un pli de ciel
mange toi la planète
fabuleux coli
la mélancolie
.
tu fais quoi ?
je reconstruis ma vie
laquelle ?
toutes
Le chat mange, boit, vole le ciel, la voix lactée, le croissant de lune chatte,
dicte, boite ta pendule, tes larmes, ton pelage page l’âme, l’habitude, l’ennui
vague des fortunes, du sable, de rage humanise quelques minutes, chaque
zénith, chaque coin, tout ami animal, chat leurre sa souris, son trou, ses
lèvres s’envolent, s’amusent, s’intéressent félinement, insatiablement,
impulsivement bourdonne à la raison, à l’angoisse, à l’autre monte ce but,
cette marée, ces fuites qui visent le point.
pleine lune
dormi trois heures
lever cinq heures « total fit »
sport à huit
rendez-vous à mid
hier à cran dans un café à ronchonner
et ci et ça et vas-y
nuit de pleine lune
à vélo cranté
encana
yé
à fond de rue sur les trottoirs
gelé j’ai chaud j’suis gelé brûlant
fais tomber les immeubles
pavés brossés grisés je passe
mouline espiègle au firmament
tour de télé haute sous plafond
sous laine coulant goutté grollé
shell Quellé, monté du bas du dos
sous lune au temps dément
il est cinq heure
berlin s’éveille
un typhon doigts en fonte sous les pavés
et squattez soquez souquez, devant
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lima layer, un pseudo des hauteurs, une musique sans frontière
L’immeuble est une maquette.
Les matières sont peintes à la main.
Dans un monde d’humains
sans humains.
Combat nature / ville : qui est la création,
qui est l’élève ?
Inquiétante symbiose.
(Inversion des échelles)
» Supreme Abyss, point 9 of same channel, «
blason:
gouttes de stress perlant sur front éclairé de bleu windows
scum carbonique
extensions de mains droites
de soirs gauches
de lents, demains voluptueux
lumières magnifiques, nature insoupçonnée,
et surtout, préservée
vitesse, vitesse, vitesse
du lierre qui monte à nos murs prières
à nos lieux déments
sans autre ressources que le secret de la vie:
la non vie
la libération de la tête
le sortir du corps
la fin de l’espèce humaine
Le joli moi de mai
Encorné dans un désert de faïence
Et une question sans réponse : mais qui croire ? Qui suivre ? et qui porter ?
Ce jeudi soir de mes amis
Ce joli soir de mai
En fuite de mais amis
Ah mais en missé massa
Ah mais en maison missile
_Dans une soupe au miso
Dans un bar d’eskimos
Dan un fond sans mélo
Dans une voix sans emo
Nous passerons donc d’un ennui mortel à un ennui immortel.
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/loi-retour-accelere-theorie-vertigineuse-futurologue-google-qui-jamais-eu-tort-2171512.html#lVCbJI09tlZ8BvGT.99
Nécrose et bécots posés par terre tranquillité
collé serré toqué liqué niqué miquette et mes coûts de mai
entré rose découverte jaune plastique canard de mer
la source est devant soi et chaque effet du monde n’a qu’une seule cause
L’art véritable n’est pas celui qui se tarit
.
.
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Pisse de mer, graines digitale et dollars rusés, angle d’attaque
je suis celui qui sait plusieurs temps en même chose
mais aucune d’elle ne sort en premier,
je dis la pluie en une seule fois
alors qu’y puis-je ? le temps n’est plus à la fauvalité
graou entre les herbes, replis cosmique
ah mais non, il faut tout cacher
.
.
.
la sauvagerie a eut ses temps barbares
.
alors tu crois que la normalisation du discours provoque l’effondrement du corps ?
que les angles, s’arrondissant, ont à la subversion l’éteignite ?
le souffle long mesuré sur le rivage
à droite, à gauche : l’immensité
et tu entends le clapotis
.
……………………………………… the world is a mirror
…………………………………
……………………………
………………………
………………….
…………….
…………
…….
…
..
.
..
…
……
………
…………
…………….
………………..
…………………….
………………………….
……………………………….
…………………………………….
…………………………………………. you did this before
…..↓………………..↓………………………..↓……………………….↓………….
→ Il…………….gronde……………..des..…….……..urgences
→ Se ………….souvenir…………..idiots, …………..vous ralentissez
→ repère……….tu………………….internet ?………..et rapetissez
→ dès…………..ira…………………la…………………pluie (en été)
→ qu’il………….parfois…………….force…………….ou sèche
→ se…………….lécher…………….tranquille………….la main
→ lève……….…la vague……….…du monde…………sur le clavier
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De haut en bas sur 4 colonnes en partant de la gauche
de gauche à droite sur 7 colonnes en partant du haut
brieuc le meur _ berlin _ soir de la mort de bowie
danse pour la nuit dessinée
ma de ma nature aiguisée
film à l’envers duper
pas super pour les nerfs
c’est chiant, la vie.
au lieu de l’avoir longue et molle,
autant l’avoir courte et profonde.
tu vois. tu baises aussi avec les yeux.
(le regard, c’est la possession)
.
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(et le désir. une image de soi)
impossible de ne pas y penser
alors la pensée s’écoule dans ton cœur
comme un fleuve
comme une toute petite rivière
comme une mer
elle te transforme
elle te fond
elle fait de toi ce qu’elle veut
jamais tu ne prends ce que tu crois prendre
c est toujours toi qui est pris
c est la beauté du geste
de celui qui danse sans aucun mouvements
_ » J’ai des milliards de tubes dans la tête mais je peux pas les enregistrer tous par ce qu’il y en a trop » . ( – Mais choisis en un !! )
_ Moi j’en ai plein dans la tête, mais j’ai carrément pas envie de les faire; c’est juste que c’est trop chiant, en fait; alors en fait, j’en fait qu’un, dans ma tête. c’est un peu comme toi, mais en fait, j’en choisi qu’un , et je dois l’enregistrer dans ma tête, celui là.
la liberté est soumise à des règles très précises
la liberté a des règles très précises
la liberté a des règles
la liberté a des,
la liberté a
la liberté
d’être
là
la maison a faim
la maison est possédée
puis possède les êtres
la maison a faim et tremble
sentant sa nouvelle victime
la nouvelle âme qu’on lui apportera
les filles dansent, les murs réagissent
le musicien joue, la pierre s’écaille, le toit vibre
le piège se referme, la cave fume, tremble
les bouches d’égout ne sont pas rassurantes
les ombres courent le long des parois, minuscules ou immenses, courent comme des moutons de fièvres
caressent les arbres morts
le ciel bleu profond en pleine nuit
les murs saignent, la pierre pleure
saigne, pleure
la terre organique garde tous ses secrets
le passage des soldats comme le grondement du temps
.
.
.
.
blm
pas de poème pour les bons
les bons, les bons, les bons
ensembles quittés pour de bon
déesse, paresse, élève, Jean Passe
Tu n’as pas déjà pris l’échelle
quartier défait ressors diner
acquis active dès lors, des faits
répète enquête relis (les questions)
tu cours demandes :
mais ais-je pris les bon devants ?
dico refonte pressé du sang
la longue, histoire, de mes vingt ans
il souffle, désespère, n’a plus rien à envier
(à voler)
jouit sourit prospère, la plus longue
(des années)
et tous les mots d’avant, fastes saturnales, pommeraies, abricotières, glissades, arbre couleur limon orange tressée, familière, ange repus tu sors de ta cave et tu cries. Tu le dis. Tu le dis.
bras ouvert, plus rien à écrire, tu es maudit
tu n’as plus rien à écrire
tu vis
A cœur… pas encore offert… se conserve l’azur esquissé.
Et mon démon demain de fer, dans sa nasse nodule épicée
Je me défais d’un nom serein, pour une boule de pâque vivante
Et je me roule sous ta main, puis administrerais ton ventre.
Quand mon temps sera de mai, défaite à risque voulu,
Jusqu’à l’automne je me db, à fond volume perdu.
Rien que pour vos lentilles
en bout de course
au delà de l’ombre
Par où t’es sorti
percer l’ombre
je t’ai pas vu rentrer
Il se dégage une atmosphère mystérieuse de vos prises de vue
if my picture can give you a good vibration tonight, it’s already something: moi, je mange une soupe de moule et de légume, bois du bordeaux à bordeaux, me prélasse à près laisse, m’aciérise à cap ferret (sans aménagement spécial). l’expo est finie, demain je vais dans les vignes. mais qui a dit que le temps était au beau fixe? Il est gouleyant il tache, il a fait des vagues. son sucre n’a pas dépassé l’age, d’un futur vaillant. au terrain des braves. berlin est loin mais regarde, les cigales désignent, d’un oei, l’aternoiement
Point de songe dans l’apparence,
L’esprit apaise, crée méandre des danses,
Pluie de mots dans mon cœur,
Réécrire, raturer, refaire, parfaire,
Réajuster la trace de mon temps
Ce temps qui ne sait qu’être mien,
Ce temps qui ne serait sans sève,
Sans toi, serai mien mièvre,
Tu côtoies mes champs et élans intérieurs.
Écoute des murs de minutes, en nuages,
Tel un présage, mes saisons ombrées,
A qui, à quoi, vers quoi mesurer?
Mes semblants d’âmes et mes pourquoi en moi?
Horloges figées en mes instants,
Tu aiguilles mes…. Leurres.
Le temps n’est rien,
Lorsque le chemin est tout.
Tu feras partie de mes choix,
Tout comme mon vent sera doux.
A…………. F.
Patience…
Art de vivre ou simple pensée,
Son ombre se glisse sous mes pas chaque matin,
Elle engloutit,
Même à ma place mon café!
La patience est un art qui se limite à celui ou celle qui la crée.
La patience est un chemin tortueux, dont on est nous-mêmes l’ allié,
La patience… peut-être infinie dans l’ écriture,
Exutoire à de multiples exemples d’erreurs, ou de… fêlures.
La patience est le voile d’incidences recouvrant les êtres,
La patience est ce que l’avoir cache aux apparences,
La patience est le chaos sous la lenteur du temps.
Ce temps figé en mots d’oublis,
Ses éclats de poésie endormis qui rêvent,
De ma patience, je ne serai apte au temps,
Mais elle veille sur mes vagues intérieures,
Ce doux murmure de mon coeur,
Au battement et à la fervente joie du coeur du monde,
Ou…. de mes pas, quelque-part par là…!
Après le futur
before the beginning
quand la rivière sera évaporée
et son nuage dissous de feu
et le feu dissous
et la brûlure sans comparaison
sans valeur ni compte
toutes les langues et tous les mots
pensés parlés et résonnés
révéleront négativement
celui qui n’ayant jamais existé
aura rendu le possible évident
les rêves et les mondes potentiels
le lieu d’annihilation du Néant
l’impact des abstractions libérées
le mot plus silencieux que le silence
plus vide que le vide
plus plein que le plein
plus tout que le tout
plus rien que tout le rien
le mot de tous les mots unis entre eux
le mot qui n’a plus de bouche pour être dit.
.
.
http://jupiterchevalvert.hautetfort.com/
« L’unique mot de Dieu, c’est le silence. »
Inspirée d’ une sculpture de Bouddah, magnifique, avec qui j’ ai mangé ce midi.
« agnostique, je sais qu’il n’existe qu’une religion aussi plurielle que l’homme lui-même »
insomnie lune, ni l’autre
oh pourlevent des urnes
voter à gauche adroite
astre de pique en glue
Chape de plomb
Sous mon soleil
Fermeture de l’arrogance du monde
Vases éclos…
Dissoute en sucre je fonds;
La pensée hors-soi,
hors-sol,
hors-moi,
hors-champ,
C’est être….
La part de l’ autre.
« Présents Multiples ».
L’adieu au langage
en gage là-haut, deux
bonjours à ceux qui écoutent
dégagent la déesse.
L’annonce aux chantiers
deux verves là haut
des langages grossiers
demeure de la noblesse
Si le sort est ouvert
à vous à moi, équité
comme une amour mauvaise
je maudis : satiété.
Si notre « beau » monde ne laisse plus le champ libre, à l’intimité, au personnel, à la demeure intérieure, il créera des individus vides, exempts de leur propre apparence, condamné(es) , à se « comparer », à se perdre, à se noyer, à s’exiler. C’est pour ces droits-là qu’il faut se battre. Pourquoi cette absence de confiance, voir de conscience? a-t-on des comptes à rendre?! à qui, à quoi, et surtout, pourquoi? Quand on arrive ici, on est seul. En quoi, ça devrait changer? En quoi on définit une personne? pourquoi? comment? Et on me parle d’équilibre? L’équilibre, il est dans la liberté d’expression, mais, au sens « large » du terme. Pas avec des gens « soi-disant » humains, qui t’inspectent de haut en bas, parce-que tu as tel ou telle « stigmate », ou que brusquement une synapse te fait défaut, et passe mal les infos! Le cerveau est l’organe humain le plus complexe. Mon axe, il est dans mes mains, et je n’ ai pas à me justifier de quoi que ce soit, encore moins de qui je suis. L’ intériorité, l’intimité est nécessaire à tout âge, peut être un immense bienfait. Pourquoi je me justifierai de ma propre vie? C’est comme d’ écrire sur le handicap parce-que….. ! On va me laisser respirer autre -chose à quel moment?! Ce qu’il y a de certain, c’est que Dieu lui, aussi grand qu’il soit, il n’ a pas pensé à aveugler le cerveau des gens pour qu’ils s’ érigent en « juges » de tout, sans savoir. Mais quel bonheur d’ être « seule », quel « bienfait ». Lorsque l’on voit le nombre de gens qui ne comprennent pas que eux n’ont pas de vie, et surtout pas de coeur. L’intimité, c’est l’équilibre. Personne ne doit nous l’enlever, et encore moins sous des considérations « politiques » ou « autres! ». Ca fait du bien !
Pour Sabrina.
« Au crépuscule des anges »
pré fleuri
a prit l’eau en une nuit
Timide devant un soleil de nuit, dans l’embrasure de la porte,
Sur le brillant avenir: colle un jour.
Nous et moi, regards perdus, cous luisants,
Amis de la lune, suis votre reflet.
La « liste » d’amis.
Magiciennes misanthropes
auteures et auteurs qui ne servent à rien et qui le font savoir
psychanalystes qui n’ont pas l’intelligence de leur titre
poètes qui ne postent rien de leurs travaux, ne savent pas jouer, sont maladroits, sont brutaux avec leur voix
écolos aux profils verts fluo-pigeon
libérales à l’agonie qui défendent la femme africaine mais qui votent fillon, grises et pommadées
parisiens de province pliés, rangés, séchés
cow-boys du sud, sans cheveux, sans chevaux
rebelles isolés isolants
vulgaires réseauteux résonnants qui ne comprennent pas internet
dj’s, teufeurs et clubbers pris dans la roche
philosophes belges dandy poussifs
artistes allemands qui ont « étudié » l’art mais ne produisent rien
street photographes italiens qui prennent toujours la même photo
ricains « just concerned »
journalistes plaggieurs de profils fb
bibliothécaires sécables
fous hurlants
toutes et tous abonnés aux latences subliminales
aux ondes vomitives gelées
aux idées collantes collées
aux pavés sous les pavés
Amis de la casse et du volcan
du sermon en toute classe, en tout temps
aux idées reçues
aux discours d’antan,
je vous défriende
vous délaisse
vous fait sauter
.
.
.
.
.
.
.
blm
seins doux des ventres et bananes
oranges. coche la case du fou
glands du four, carillon sonne, occupé?
rouleau de cœur tressé au pluriel du monde
dansé. peaux et moqueries profondes
ta bouche sent mon zinc et ma casse
tes bras glissent le son de la toile tes
première presse et m’enroche à mes récifs de toi
Le monde est, la lune sait
Le monde voit, la lune aveugle,
Le monde boit, la lune mange,
La feuille palpite, le monde tourne.
Le sens n’est Qu’ode d’ âmes.
Il avait un langage fleuri de lavande dorée, d’orchidées atlantiques, d’achillées jaunes, de cosmos, de Kochia à balais, de panicauds, de pieds d’alouettes, de tiarelles et de vergerettes des jardins. Chacune de ses paroles embaumait le sucré, l’acidulé, le méliflu, le patelin, l’onctueux, le miellé, le douceâtre, le sirupeux. Son sourire ravivait les flammes, enchantait les glycines, magnifiait les magnolias, enrubannait les concubines, embrassait les paupières du monde, soulevait la houle, caressait le taureau vaincu, désaltérait les puits de misère, ressuscitait les hirondelles. Le moindre de ses gestes agitait les shakers du cœur, créait une onde de mansuétude, dessinait l’aménité sur les visages des lépreux, traçait un destin bienveillant aux plus affamés des tyrans, reliait la course des horloges à l’immobilité de la prière des dieux. Son regard ravivait la mer morte, ouvrait au monde des chemins magnanimes où luisaient le faste des fraicheurs, le charme des attraits, la lumière des délicatesse, l’élégance de la majesté, la richesse de parfums de Vénus. Sa simple présence goûtait la truculence et le repos, la conciliation et le ravissement, l’entrain et la trêve, le pacte et la jubilation, l’ivresse et l’équilibre, l’apaisement et l’extase. On le louait, le soulevait, l’acclamait, l’adulait, le choyait, le flattait, le câlinait, le fêtait, le léchait, le courtisait. Il était l’ombre douce et vivace du rêve incarné, du désir le plus vertueux, de la probité la plus sûre, de la loyauté la plus sereine, de la rectitude aux courbes les plus douces. Il était une ligne d’horizon sans pleurs, une nuée de miracles empailletés de bleus et verts tendres, une ruche aux miels polyflores, pluridoux et multimeilleurs, une alchimie réussie, une brume enveloppant les cœurs et les corps de sa ouate aux vertus guérisseuses. Et pourtant … Pourtant, à l’instar de son modèle, Jayden K. Smith, dont on ne savait pourtant que bien peu de choses, il était, mais à un stade très avancé, quasi incurable, il était, mais on ne peut même pas le mesurer ni même l’imaginer tout à fait, tant il l’était, il était, mais à un degré défiant les meilleurs des meilleurs, il était, mais à une altitude olympienne, plus haut qu’un Everest du genre, et encore bien plus que vous et moi, il était … Comment dire … Con ! Mais con ! Audiard l’aurait fait général. Un régal.
Briller dans les salons est un objectif d’ampoule. Je préfère ternir.
machina deus
le bleu de ta soirée est trouble
dans la fange du système je passe vers les mondes
dans le coeur des système solaire et lunaire
je suis la noire sainte des gothiques cathédrales
puis dans le ventre de l’avenir je colorise tes yeux comme de noir serpents
Le corps, cet autre moi, qui vous fixe en trompe l’œil et n’ est rien d’autre qu’un envers de soi doublé d’ ailleurs en temps-présent. Si mon esprit était un corps, il serait sans limite. Comme ses temps qui nous passent, et nous pensent… On ne fait que se traverser et se repenser, se recréer… Le singe savant devant son fil a déjà croisé l’infini, mais ne s’ en rappelle pas. A-t-il seulement conscience du comble qui l’ a créé? Le corps cet inconnu, cet autre, qui n’est parfois la durée entière d’ une vie qu’un être autre à apprendre, à comprendre, à savoir, à détendre, à parfaire, à faire, à penser, à nourrir à choyer….. Pour ne devenir qu’une… âme… si infinie, essentielle et vraie. Si l’on ne vit point sa vie, l’ âme habite bien le corps. Et…. se sauve de son esprit …….. !
Les pas de l’univers sont aussi infinis que les étoiles. (@Aurélie).
Mes détails ont le souci de leurs apparences, mais mes apparences se mettent en doutes.
Si l’on se sauve de son soi, on le retrouve ailleurs.
Douce rêveuse… de sa propre vie est… absente.
Le monde n’ est qu’un seul battement de coeur. Il aime tout ce qu’ il observe.
Ma tête sort de mon corps tous les matins. Intemporelle, elle n’y est, certainement…. pour rien !
La terre? Un autre ailleurs.
A force de tomber le monde devient parallèle.
Oubliez vos ailes, vous ne serez plus le ciel…
Le corps un vaste c.h.a.o.s inconnu.
Certaines notes blanches sont d’ ocre(s) sans lumière(s), mais toujours plurielles.
Le bruit n’a de fond que le silence qu’il compose.
L’ instant est toujours multiple, c’est l’extrême cœur de la pensée.
l’ inexpliqué câble l’ inconscient.
Home sweet home….
La raison… ? Une nuée de sens…
Diagnostiquer des errances, c’est comme soigner une âme…
Le corps? Un esprit sans ailes…
Née dans une fleur entre le mur et l’eau
sous moi le mur emprisonne
je retiens des tonnes d’humus et de fer blanc
tordu à toutes les tailles et tous les étages
je m’enroche à mes récifs de toi
raconté n’importe comment et demain j’ai missile
acompte-toi, retiens-toi, fais des vagues, fais tout c’que tu peux
mais ne viens pas gémir lorsque les portes de l’envers te sont ouvertes en grand mon garçon
ce que tu n’es pas, c’est un singe, une girafe, un enfant
non ça tu ne l’es plus
et ne me demande pas ce que c’est le langage
des mondes anciens ont cédé à la tendresse
puis ils ont disparus, bousculées par les euro-américains
ces vieux déments qui se baignent dans l’alcool de patate et la vieille religion
tu es un être qui va devant ; tu écoutes, un peu
et tu ne demandes pas ce que c’est la langage
tu vas jouer devant
1- L’anima déclinée universellement mais taxée par le néo maillon.
2- Louves jumelles accouchant de la division principe de la multiplication ou de la synthèse.
3- Flèches que tirent trois ours sur les trois rides.
4- Racine, tige, fleur et fruit, accomplissement cloué par la néoténie.
5- Pays des serpents de feu au cieux rouges, s’y suce ce centre sensible.
6- Tout hibou se fout d’une cyprine soit disant salvatrice à l’ombre du conifère.
7- Branches à l’arbre cosmique qui vibrent syntoniques avec les étoiles, avec l’arc-en-ciel.
8- Soit cet équilibre rompu par les derniers nés trop gloutons, ceux là même dévorant le futur de tous.
9- L’œuf des outils au sein du chaudron ne tardera pas à éclore.
Que contient cet oeuf (des outils) ?
10- La chaleur de la boue sous son arc de silence et dans sur sa fonte policée
11- Dixit un ancien des basses terres en deçà du poumon des lambris et glaces en tenaille
12- Bravés les sorts sciés sur les branches de l’arbre cosmique qui attendent le vent pour dire leurs caprices
13- Toute chouette a sa place ici bas, bien qu’en se perchant sur un feu elle verdit toutes les quarante secondes
14- Le pays de ceux qui ne savent pas comment leur queue avance, attendent que leur tête revienne au même endroit
15- A l’envers se dessine la prairie pleine de marron et de noir et de roches célestes au statut supérieur
16- Léchée velue est le bazar des anti-graves et corbeilles de fièvres échevelées ; étagères jusqu’au vide glacial
17- Sache qu’en grappe ou en tenaille, notre noblesse reste un présage arithmétique sorrow
On accouche sans cesse du monde. Chaque jour notre regard peut être aube ou exil, tel notre cœur. Le monde en lui-même est une naissance.
je suis en train de virer alcoolique léger. impossible d’écrire ailleurs que dans les cafés. je me réveille à vingt et une heure et m’endors à quatre. le reste du temps, je corrige, administre. ça me fait des journées à deux temps. des journées qui ressemblent à d’autres journées en comparaison desquelles un amerrissage sur une plage du sud de la Thaïlande prendrait des airs d’enfer organisé, désemparé de ne pouvoir accumuler un capital spirituel nappé de forêts grandes et plates de papiers utiles, de machins déconcertants, d’accords mineurs et d’accents maison, qui ne conforteraient qu’une autre alcoolique légère dans sa fièvre médiatique et sentimentale
c’est une question
ici, le remord est un diable sans bourse ni horloge
.
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blm. berlin
le spectacle de la société
en grandeur toujours nature
Le réel est un désert du soi. L’ ailleurs du monde.
Dessous un toit, et dans son ombre plongé,
il lézarde et dans son ombre portée
graphique au soleil, acide en hiver
est plus divers qu’une ligne grossière
Dessus un sol, dans sa note présente
elle est ce la, mélodique à tout tendre
la chanson dure des temps forts
c’est des maths
à compter d’aujourd’hui
penta chute
fera date
.
.
« J’ai duré des heures ignorées, des moments successifs sans lien entre eux, au cours de la promenade que j’ai faite une nuit, au bord de la mer, sur un rivage solitaire. Toutes les pensées qui ont fait vivre des hommes, toutes les émotions que les hommes ont cessé de vivre, sont passées par mon esprit, tel un résumé obscur de l’histoire, au cours de cette méditation cheminant au bord de la mer. J’ai souffert en moi-même, avec moi-même, les aspirations de toutes les époques révolues, et ce sont les angoisses de tous les temps qui ont, avec moi, longé le bord sonore de l’océan. Ce que les hommes ont voulu sans le réaliser, ce qu’ils ont tué en le réalisant, ce que les âmes ont été et que nul n’a jamais dit – c’est de tout cela que s’est formée la conscience sensible avec laquelle j’ai marché, cette nuit-là, au bord de la mer. Et ce qui a surpris chacun des amants chez l’autre amant, ce que la femme a toujours caché à ce mari auquel elle appartient, ce que la mère pense de l’enfant qu’elle n’a jamais eu, ce qui n’a eu de forme que dans un sourire ou une occasion, à peine esquissée, un moment qui ne fut pas ce moment-ci, une émotion qui a manqué en cet instant-là – tout cela, durant ma promenade au bord de la mer, a marché à mes côtés et s’en est revenu avec moi, et les vagues torsadaient d’un mouvement grandiose l’accompagnement grâce auquel je dormais tout cela. » »
…Fernando Pessoa…
cernes passent,
le blanc casse
sous les yeux du clan, des creux
de la vaque,
du charbon noir
scope transi
du feu jusqu’au sol
De ma fenêtre
je regarde sous terre
le calendrier, souffle au ventre
et m’étonne de vous, voix tenaces,
de tous ces jours,
sans que je sache
tu sens bon des yeux
ces bateaux qui s’amarrent
à tes pores
les chevaux qui se marrent
et l’aurore qui se mord
se morfond
le vent dans tes cheveux
cette licence poétique
puis quoi encore
le vent est squelettique
et les restes de l’aurore
tournent en rond
tu sais ce que je veux
moi je ne le sais pas
et je cherche ton corps
le seul drame des draps
c’est de survivre aux morts
c’est de survivre aux morts
https://www.jedetruismamaison.com/
Obama a pris sa retraite à 55 ans, Trump est devenu président à 70 ans.
Hong Kong est en avance de 6 heures sur Paris, mais cela ne rend pas Paris lent.
Quelqu’un a obtenu son diplôme de Master à l’âge de 22 ans mais a attendu 5ans avant de décrocher un bon job,
Quelqu’un est devenu PDG à 25 ans et est mort à 50ans
Alors qu’un autre est devenu PDG à 50 ans et a vécu jusqu’à plus de 90 ans.
Quelqu’un est toujours célibataire, tandis que quelqu’un d’autre s’est marié.
Écoutes tout le monde fonctionne en fonction de son propre fuseau horaire divin.
Les gens autour de toi pourraient sembler être en avance et certains pourraient sembler être en retard. Mais tout le monde réalise sa propre course, à son allure.
Ne les envie pas et ne te moque pas également.
Reste focus
Tu n’es pas en avance
Tu n’es pas en retard
T’es juste à ton heure…
Très tard dans ma vie il a été trop tôt.
gosse de riche, mal aimé
son idée se tare
devant un livre
comme il me mère et dessine
son front brûlant
sur le perron
bord du canap, bord du vide
moins que zéro sur un missile
sa mère se vide c’est mézigue
quand mon colère se béton
barré sur ville
camé sur ton
.
.
.
./
n’oublie pas que tu vas mourir
de la fascination pour une fin de l’ulanité, et d’être ml’ultime privilégié, biologiquement infertile et même plus obligé,
pour tout autant de raisons, de ne pas faire d’enfants
c’est le désir de disparaître, d’être touché du sacré de la fin, autant que de la genèse.
c’est parce que l’homme s’est organisé, depuis une genèse monothéiste
comparé à la musique
cette chose va plus vite
j’arrive au bout de mes explorations. tout est vide
tout est soudain et vu et revu de mes yeux doux à ceux lancés comme des numéros de carte visa payés par mes parents
toujours la radio et les voix traitées
le pli du four et les odeurs dorées
je me transforme comme le nord,
qui fuit des équipements
toujours today la poesie
a tourné son dos de gros
son gros dos de beau
lorsque la piza arrive
doit il du coude s’agenouiller comme sur le phos os de malte
eglises et cryptes toujours au milieu de la violence
les poètes sont déjà ceux soutenus par leurs pères
ce que nous sommes .
des aériens
*
Aériens, Libre-penseurs, et artiste d’un monde où seuls,(es), nous sommes… la part de réalisme, contruite et déconstruite… Peut-être même… Transitonn’ailes…
Dieu a d’autres corps. J’espère pour lui.
L’excuse du OOOOooouuuuufff.
Un peu plus de quarante jours… et libre, libre, libre, libre, libre. ENFIN.
je rirai encore plus après. évident !!!
Mon corps est ma plus belle blague !!! De la pure autofake. Du phoque you infini.
Donc, je nage. Encore. Mémoire d’O.
aériens et libres. Ça plaît pas ? Encore plus. D’être et d’âme !!!!
L’ allu de l’ halo.
FRIDA kHALO Lol.
Tout en rousseur qui dévale
En mousse au cœur des bois noirs
En blanches branches torses
Qui déchirent la nuit
La forêt
Comme un œil
Reflétant
La vie en météore
Erre-Rances d’appâts.
Lieux infinis et temps extrêmes,
Du sens, de la raison,
Le cœur n’a ni place, ni voix,
Choix d’appâts-rances et
Reflets de plombs,
Ombres dénuées de hasards,
Sorties des nues fébriles de l’écrin,
Vase-clos ordonné, ordonnance,
Limite indéchiffrable…
Le héros finira
Tourmenté, seul, solitaire,
Et du solaire,
Lira le vers,
Du pas non fait,
Démantibulé
De ses propres effets…
Les hommes ont au coeur,
L’automne de leurs erreurs…
Des sens innés,
A quai et flots de ciels,
En toile de fond,
En l’âme de temps…
L’écorce s’y perd,
Le cœur s’y noie le fond d’âme;
L’ éternel est un absent
De lui-même et de l’ailleurs,
Même si chatoyant
Est la mesure…
Le corps reflète souvent d’autres esprits,
Hauts-bois errements dr’âmes…
Grain.
Tous le cherchent. Tous le pensent. Tous le voit. Tous le montre. Tous le réalisent, tous le façonnent, tous l’ éclatent, tous l’explosent, tous le vient, tous l’eau vive, tous le songent, tous l’acquièrent, tous l’espère, et tous l’attendent. Le grain des autres n’est point le même groin que tout le monde. Vaut-il mieux être un groin ou avoir un grain ? Le grain oublié sera celui des autres. Le grain du monde sera le grain d’ailleurs. Un grain en cache d’autres, grains de vérités, de nerfs, de sens, planète ou comète en grains. Les grains n’ont de secret que le sens qu’on leur donne. C’est comme les cases on se met dedans avec nos grains, et si on en a pas, ils viennent vous chercher. On est jamais seul sans son grain de foi, son grain de sens ou son grain de vérité. Le grain de demain n’est pas le même grain qu’aujourd’hui… Puis les grains, ils ont souvent l’ esprit de sable, ils laissent tout couler. J’ aimerais parfois bien être un grain dans le décor, pour chercher l’infini de la réalité, la fulgurance de la lumière, ou la matière d’un trou noir à ouvrir. Encore faut-il œuvrer, ça ouvre le tapage de l’esprit. Wo. Je vais avoir des ampoules aux pieds à force d’écrire, sur les formes du cerveau limbique. Ce monde est si ombilical qu’il nourrit toute la planète de sens. Il faut que je retrouve mes grains, c’est vital. Il faut que les salades passent. Aussi.
lol….
Les atomes planent-ils autant que la poésie de ciel? Cette fulgurance de l’âme.
Demain cherche son avenir, il n’est jamais présent dans ses ailleurs…
L’altruiste est artiste, il fécond le songe du placenta du monde.
Si le monde est un mur d’être, autant en cueillir au plus et à tout le mieux les essences…
Un jour peut-être que mon insomnie fera grève.
Milles parfums offrent mille lieux. (milieu d’émois d’âmes)
Un bruit est tombé assis en méditant, personne n’a rien vu sauf la chute du monde.
sous verre à moitié plat
sur couche à moitié debout
procuré un instant de fièvre
il n’y a pas de son
il n’y a rien qui sort
il n’y a pas de bouche
pour le dire en couche
sur le papier debout
je ne me sens bien que sur ce fil
lorsque l’effort me dépasse d’un mot
d’un son, d’une pensée
lorsque le ventre tournoie
que les doigts prient
que les yeux ne voient plus qu’un flou devant
pressant discernement
c’est une échappée
c’est ma cachette tranquille
le miracle docile
le pli infini
de tous mes tourments
les enfants nés en 2020 mourront en 2120
les tubes temporels vont s’embraser sur un attelage
quand le lolipoptère dans le vent va s’emporter
saucisses carrées et terreaux à la vanille
si nous pouvions nous entendre
bol avec un drapeau de sable rouge
simple au-dessus de jakarta
Il n’y a pas d’autre alternative que de s’injecter une trajectoire
éliminons le kérosène
notre demi-siècle devra être un produit
sans faire agriculture, il n’y a pas de demi solutions
passage du casse les classes les plus concernées
. distinction sociale
. loisirs et activité
. réalités chimiques
. ensembles parasitaires
toute vérité est un chaos logique
limites d’autres que toi
La toux des passants
Fait echo dans la rue vide
De sens
Dans ces rimes, yeux secs
Envergure réduite, courbé à l’étroit dans cet espace
Bientôt sa vie sur Netflix, les saisons s’effacent
Dans ce microclimat du sud ouest
Mon revenu d’associé
Suffit à fixer mon moral
A peine a la traine, je colle à l’échappée
J’oublie de me rappeler d’ecouter
Plutôt que dire ce que je sais déjà
Ouie bardée de capteurs ultrasensibles
Les yeux dans le vague
Sans ticket, est ce que la roue va quand meme tourner?
Dommage, il semblerait que j’ai raté l’apex
Orage localisé dans mon cortex, concentré sur l’hémisphère droit
Prétextes pour ne pas déraper, sur le parapet de mes certitudes
Détrempé par l’averse soudaine
Je tente de rallumer la flamme
A l’aide des braises du fond de ma gorge
J’ai traversé la rivière
Dans un radeau de bois vert
Précieuses possessions dans
Fuyant la garenne pour creuser
Mon terrier sous les racines
On ne s’y aventure pas sans permission
Super économie de moyens
Ma batterie fonctionne à la vapeur
Par à-coups, les semaines défilent,
leur profil fuyant en recherche de vitesse
Contraste
L’échine courbée pour cause de couch surfing
La gorge sèche
Je compte les pas qui me séparent de mes prochains déboires
Les rouages grincent dans mon épaule gauche
Chaque jour le pèlerinage
Pour nouvelle boucle de 24 heures
4 étages me séparent de mes meilleurs amis d’enfance
A quel point en suis-je responsable
Tout les sens le suggèrent
J’erre avec le flash
Dans cette maison trop grande
De retour au bercail
J’écoute
La fumée me rend fébrile
tout ne tient qu’a un fil
Conducteur toujours pas
Sur longue distance je perds mes appuis
Il faut que j’entretienne une restauration
Gratter sous le vernis de mes habitudes
Avec le soleil sur le visage
Je vois moins bien la vérité
je plisse les yeux à travers nuages de fumée
Bien Entouré mais pourtant,
Seul
Je me couche tard
J’ai voulu la plus grosse part du dessert
Maintenant j’ai soif
Comme s’il manquait un « s »
Enflammons nous
Enflammons ces prisons
Enflammons ces camps de civilisation
L’empire du pire et ses sbires
Tissant des apocalypses bankables
Deviennent moribonds et bancales
Leur couronne dans le néant se mirre
Ils ne prèchent que brèches
Avec leurs technologies de la dèche
Et l’enfer grimpe en flèche
A nous d’allumer la mèche
Enflammons nous
Enflammons ces prisons
Enflammons ces camps de civilisation
Invoquons notre ami de toujours
Redéfinissons ce jour
Une résistance sans détour
Invoquons le feu et notre amour
Faisons notre ces soirs
Oú sans laisse sera l’espoir
Car les flammes nous font savoir
Que nous sommes déjà victoires.
Enflammons nous
Enflammons ces prisons
Enflammons ces camps de civilisation
Un atome assis sur le bord du monde, cherche l’équilibre de l’équité dans l’océan. L’ atome tient la mesure de ses pourquoi, ses songes liés à l’univers. Il est séparatiste et attentiste. Il médite sur le sens des raisons de l’horizon, ses pas d’âmes et de mesures de sens non faits. Un pas en appelle un autre, écorce des infinis en miroirs et en mémoire p(r)osés. Ce je se l’ego… Où est la terre, où est le sens, où sont les raisons? L’ atome cherche toujours à être défini par un milieu, en mille lieux, en tous points d’errance qui le traverse. Fœtus en éveil, cinq sens d’est en ouest, adéquat à la lumière. Tout va très vite, le temps est une seconde et une infinis de miroirs. Aucune image n’a cadre, ni air particulier. Mais là où l’ être, l’ avoir, l’ ensemble est… perdu de nos jours, la vie, elle, va vite… certes, mais que font ceux qui sont tel le vent, d’une valse… lente? Le monde n’ est pas un artificier, c’est nous qui sommes le feu qui assommes l’eau, la terre expose ses racines et il faut bien marcher. Ce qui me faudrait en ce moment? Un sérieux voyage dans le désert… Ce peuple est en trop d’émois. Hors de sens. Même les gouttes d’eau cherchent l’océan, mais elles l’oublient, elles ne savent où se cache le réel. Wo.
le houx de mai
violet de peau
genre suspendu
boules de feux
qui brûlent au jour
de mes antiennes
tordues comme des
fourmis de geais
sur la fenêtre
dans la rue grise
phares dans la ville
recul, de frein
crachat cahin
Le silence est parfois une parenthèse, autant qu’une sclupture implicite de la parole.
Le cerveau droit parle parfois trop afin d’ autoriser l’ouverture du gauche.
Le monde est étranger à lui-même et nous sommes des voyageurs immobiles.
Si le regard de l’autre, ne fait point de vous un tableau de la réalité, fuyez.
Dieu passe dans toutes les vies leur montrer l’horizon multiple de son âme.
L’immobilité dans les relations, révèle l’immaturité d’un pas non-fait. Rien ne survint par hasard, encore davantage, lorsque l’on emmêle soi, sa destinée… Oh’ !
Celui, celle, qui tentera un jour de me faire perdre mon sourire, n’ est pas n(i)ais(e) !!! LOL.
L’ après…
Entre les murs du temps, il y a un vide.
Une vacuité qui fend l’âme et l’air,
Un songe qui passe en particules de ciel.
L’infini en cachant d’autres,
L’ horizon ne créant aucune faute,
Il parti à la ligne,
Du cœur, ce cœur ouvert sur les mains,
A la ligne, nos cœurs
Jouent les partitions,
De la vie qui palpite,
En coeurs d’âmes,
Qui font nos temps,
Ouvrent nos yeux au changement,
A cette foi infini dans l’univers.
Que les fêtes soient infinies,
Autant que le sont les festivités,
La lumière est partout
Où le ciel nous attend.
Les plus beaux souvenirs
Sont l’âme de nos temps.
Le coeur de tant de fous rires.
à… Titi.
chanteur, de quoi sont faits tes rêves?
poète, a t-on prédit ta cause
vivre pour révéler des secrets enfouis sous la glace
armées de miroirs devant, cinq-cents guerriers dressés
t’as voulu être à la page
encre bleu sous les fresques
sordides, au total
au lieu d’ions et de neutrons,
tu as toujours le matin glabre
ton enclume-menton,
poings serrés dans les poches
au dodo les dames, les gens,
les monte-en-gamme chez qui l’argent se fend
la pluie d’or sur la route, où pute à clic
sur nos misères, sur nos désirs
sans lendemains
Les bruyères du lac n’ont pas résisté
elles sont mortes sur mon balcon
elles brillent phillipent, bruisées, au vent
dorures de poussière
elle s’époussent entre-elles, êtes vous-même aude, mais si enfin
il a été, ce brave garçon
au coude à coude
sur le chemin
juillet c’est nivelle,
le soleil fait ciller
une voiture, une autre
belle
déjà tout oublié
Col roulé comme silencieux pour ma toux sèche
Longtemps j’ai navigué à vue
Insouciant de ma jeunesse
Au bureau
Quand le rideau tombe
Pour mieux voir Windows
Je soupire, Mange des fruits
Faute de mélanine
Pas sûr d’y gagner au change
La décision unanime
Prise sans consulter ce chat tapi dans la lumière
Gagner en estime de soi
Implique faire des choix qui paraissent difficiles
Mais qui transforment chaque jour en une réussite
Qui rejaillit sur le reste
Devenir l’image que l’on veut que les autres voient
Peut être mal fondé mais il faut savoir prendre des chemins détournés parfois
En phase avec moi même mes harmoniques sont plutôt prévisibles
Fatigué d’avoir trop rêvé
Pas d’assurance de futur contrat
A quelques semaines des fêtes
J’ai fait la croix sur tiers payant
Peur d’en arriver à appeler les hôpitaux par leurs petit nom
On se rassure comme on peut
La santé via amour et fruits frais n’est pas éternelle
Prends mon paternel
Train de vie plutôt tranquille
On s’entraîne à grandir
Briller quand la vingtaine se ternit si vite
Maison au bord du lac comme dans La Vague
Je veux la mienne sans en faire, pas en Mayenne ni à Laval non plutôt au Canada
3ème café instantané
Contre fatigue passagère
J’apprends enfin à vingt-quatre ans
Qu’il ne suffit pas d’acheter pour plaire
Retour au charbon pour financer ma prochaine cheminée
vouloir s’isoler des autres
Pour échapper aux bruits indésirables
Est ce que ce que ca suffira ?
Mettre des sous de côté frère
Œuvre au noir, séparer soufre avec mercure sur-place sur tapis roulant
Exil en Sibérie comme Raskolnikov
Même sans crime commis je m’demande si j’merite
Syndrome d’imposteur peut être la cause de ce mal de dos récurrent
Feeling ill from wounded pride
le ventre rond,
de bouffe carton
pas d’audace,
juste d’air
bouclé, le dernier travail
déporté les épaules
sonné du concert des toxines digitales, tocsins de faussaires
d’artistes en fuite amnésique
aujourd’hui,
il règne un grand silence blanc
un grand sentiment béat
puis
tous les trous sur terre se referment un à un
fermés, tous les comptes
fucké, les sorcières
pâle musiques
pâles figures
avatars sur leurs bûchers
je suis
tendu comme un lièvre
qui repasse par les terriers féconds,
les galeries sourdes creusées au coude à coude avec moi-même
et puis tout s’est effondré
Il faudrait croire à pas de mémoire
sanglé de murs noir,
d’antennes reliées au pays
aux morceaux de rien
âge glacé, retrouvé
esprits rossés, très grande amplitude
sérotonine, et miskine solitude
ambiance désuète, objets oubliés
trésor au fond du canal
tout pousse en bout de la route
tout pousse au bout du chemin
cordialement
démodé désolé pas envie de participer
on ne lui doit rien
il s’éveille
ni langue ni main ni hanche
demain le monde sera une planche
Nous verserons dans l’océan
morts d’avoir dissocié (la vie)
mais nous le faisons
depuis la nuit des temps
ce qui nous reste de pouce, de gravité et d’élégance
disparait aussi vite
que ce bateau sans pilote, sans marins, sans route,
sans rien
il ne nous reste que quelques octets de liberté sur une page blanche laissée allée
inoffensive comme l’oiseau qui mangera nos yeux pourris d’écrans
Je ne cherche pas la richesse
Mais des lors que celle ci me trouve
Difficile de lui tourner le dos
Je veux juste un havre de paix
A l’abri du vacarme
Cet été pas de vacances
Car Je travaille
Ah, ma vie rêvée !
Corriger la myopie du court terme
Sans l’aide de personne ou presque
Roulade de côté
J’esquive le rocher avant de perdre haleine
Je ne suis pas les Jones
Mais je bataille mes habitudes
Pour une vie sans additifs
Mon père s’inquiète
Je le rassure, j’ai tout choisi
En autarcie sur île très peu peuplée
Téléphone satellite une fois par semaine
La lampe bourdonne à l’unisson de mes oreilles
Je peins des tableaux
de bords pour d’autres gens
Pendant que moi
1 heure du mat dur de dormir
Je vois clair dans leur jeu
Comme Negreanu
les portes se ferment et me claquent à la gueule
mais depuis la lune, c’est que du buble up dang
si j’ai voyagé, c’est pour faire tomber les images
au-dessus des maisons, sur les toits,
ça a cogné
contrôle brutal au clair de lune
je vérifiais, oui c’est une chasse au clair de lune
c’était des images et des idées qui tombaient
pour riposter, pour reprendre les forces, et moduler l’argot
Métropolis je traîne par chez toi
mon arme est une lumière qui chante
je dévalise la nuit de tes cris
de tes murmures
j’entend la lumière qui tombe à chaque seconde
Métropolis, je traîne dans les parages
mon arme blanche c’est la lumière qui chante
Je vais me coucher tôt
Tout ça pour parler au vide entre nous deux
En attendant le sommeil
Je guette depuis ma tour
Cherche comment faire le roque
Et protéger la reine
Je gravis la pyramide à l’abri du soleil
Et des regards
Car je brûle vite
Pas assez rapide à mon goût
Les paliers deviennent flou
Ma flamme vacille a chaque bourrasque
Je réaffirme ma prise
Jette un coup d’œil à ma cordée
En contrebas
Je ne vois toujours pas les nuages
Plus jeune je regardais la vie près
Des feuilles d’automne en macro
A la rouille sur la balustrade de ma fenêtre
Avec le temps j’ai pris de la hauteur
Sans penser à me couvrir
Je prends froid
Bien entouré mais sans racines
En terrarium
Hey beach boy (en chemise) :
regarde mon costume de nuit.
Vérifions à propos de l’homme sauvage :
que pense-t-il du cosmos ?
Qu’est-ce qui ne va pas avec l’osmose ?
Qu’y a t-il de drôle avec cette cause, papillon?
voler vers le bas en frappant à la fenêtre ?
Faire une visite à l’ancienne veuve ?
Un monde en quête, une chasse au clair de lune
C’est la lune, j’ai vérifié, c’est une chasse au clair de lune
ça active la convoitise. ça a déclenché ton vol.
Je suis un papillon de nuit dans un troupeau d’abrutis
je suis un hippie dans cette fausse aristocratie
et je chante au clair de lune,
battement rouillé grincé, collé
le battement de mes ailes sur la vitre de ta cuisine
je prends du recul
Je sirote une vodka sans m’énerver.
Je ne veux plus reprendre là où j’ai commencé.
je peux me défaire des mes pensées.
Je veux être un homme souple et droit.
Je veux te voir sans tes accords mystères.
Je veux une histoire plus douce que la pierre.
Drive, drive, drive your car
Gently down the street.
Merrily, merrily, merrily, merrily,
Life is such a treat.
Je retiens mon souffle quand je passe à côté de quelqu’un
Comme si j’avais peur d’être découvert
Comme mon esprit est ailleurs
J’hésite entre m’effacer et laisser une marque
Sans surprise
A l’âge ou j’ai fait le tour de moi même
J’ai arrêté de souffler sur les cendres
En espérant faire le bon choix à terme
J’écris par réflexivité
Me démarquer aux yeux de cette fille avec un carnet
Qui couche deux lignes avant de tourner la page
En face de gamins d’âge indéfini
Regard dans la distance je n’ai pas de collègues
Jeune cadre fait de l’escalade après le bureau
Je frotte les taches d’ombre de mon âme
En vain, je dois sans cesse changer d’éponge
Après avoir arrêté l’incendie pourtant
La vue semblait se dégager
C’était sans compter les vielles habitudes
Qui se rallument quand je les souffle comme des bougies magiques d’anniversaire
Je ne les compte plus d’ailleurs
Ne pleure pas dans l’under
Quand j’ouvre la porte de notre appartement
Huile de lin et désarroi
J’écoute le griot faute de grillons
Seul a la table ronde
Je restaure quand même les chaises vides
Et puis
C’est moi le problème
Il y a un peu trop de moi dans moi-même
Peur d’être pauvre ou de l’apparaître
Au milieu des buildings
Je vois la mer
En vagues de tissus bleus
Déclinés
Dans la zone du dehors
Comme une voiture à la sortie du garage
Je perds de l’argent
Pensée
pour mes enfants imaginaires
A défaut d’amis
Sans point de référence, je navigue à vue
Embrumé par le fog
Quand j’ouvre le panneau de mon ordinateur
maison où vivre ne se dit plus
j’écoute le flot de haine et de disputes mises bout à bout :
une collection des carrières des autres
le sexe se mélange au professionnel
et puis
c’est peut-être lui, le problème
le type qui agit
le type qui se défend
le type qui dit non
dans la friture
huile bouillante
peau brulée, yeux gonflés
doigt cassé
par la bête
la Logae
je me renverse
je me maudit
et tiens,
il n’y a plus de bruit
et il n’y a plus de moi du tout
des cordes
des têtes qui tombent
des désirs profonds
pas d’accords
des têtes et des corps
qui pendent
qui sommeillent dans le bleu profond
tiens, il n’y a plus de bruit
du tout
Je quitte le bureau au coucher du soleil
En hiver c’est donc très tôt
Pourtant le métro est rempli pareil
Le stress ronge mes heures de sommeil
Transforme un 8 en 3
C’est donc ca le poids du privilège
27 ans bientôt 28, déjà je n’aime pas dater mes textes
Les objectifs atteints pourtant
Propriétaire avant les parents
C’est surréaliste
Coincé dans un cercle vertueux
Difficile de se plaindre quand on a déjà tout
Tout seul
A la sortie du bureau
Je presse le pas comme pour
Éviter la mort aux trousses
Je traverse sans regarder
Au milieu des sirènes mais loin des mers
Comme de la mienne
Plus j’avance et moi j’en ai besoin d’en faire
Gars cool je ne regarde même plus si ma carte passe
Je te parle mais pas sur que tu comprenne
Les pieds dans la boue
Faute d’enlacer des arbres
Car c’est mal vu
Quand le feu se colle à toi
Un soir tu picolles, et puis plus rien
Mon sang circule, ma tête saigne.
Mon corps se fige à l’écouter.
Sur les sentiers de jungle tiède,
seul sur la piste, d’un club côtier.
Les lettres du diable sont une rumeur,
des demandes, des amitiés forcées.
On entraine un jeune homme aux toilettes du café pop
un mercredi.
On se presse au chevet de loques.
On essaie aussi de vivre sa vie,
mais c’est sans compter que Berlin applaudit
aux usages défaits, aux ordres mous,
aux paroles sèches sans message,
aux lettres molles.
Oh ! G-C-K
Reines et rois de l’alphabet.
Traverser les époques
Comme le solitaire
Est ce que le jeu en vaut la chandelle?
Dans un trou d’air chaud
parler beaucoup pour rien dire
C’est fou ce que ça paie bien
Écran de fumée
Je m’éclipse aux heures creuses
Sans conséquences
Je tire sur la corde
Si flexible qu’elle ne casse pas
D’un côté un peu déçu
Que même ma psy me trouve sensé
Trois fois par semaine
Je soulève le poids de mes regrets
En manque d’attention
J’oublie les anniversaires
Mes plans sur la comète se réalisent
Pourtant pas sur que c’est la bonne
Par tout les moyens
Je continue d’avancer
Bientôt trente ans,
Sans enfants parce qu’il n’y a pas de planète B
Mais il y a un plat net, ah !
Tout mangé, lêché le plastique
rongé le formica
et rayé l’ardoise
pas payé la douloureuse
pas rangé les verres
la terre se folle
la mer se meut
la porte colle
sur mes yeux
Pourquoi, autour de ma dune
coule le sable et le temps qui passe
n’aime pas me voir en deçà du niveau
rangé dans un couloir, crevant de forme obscure
maître de mes pas
capable de courir bien au delà des rêves
mais pourquoi,
pourquoi
ne pas arrêter ce sable dans l’encrier
l’encre dans le sablier
oh je vous écoute et n’ai pas d’autre offre promise
attendre comme il se fait
un potentiel raté, ou une recette de vieille
attendre qu’une lettre décimente mon nom
pris dans le passage
où suis-je?
j’attends
Manque de perspective
Ma mélancolie
Passagère mais pas conducteur,
Je nous perds dans des méandres
Peinture, moulures, coiffeur
On se frôle sans frisson
Journées en demi teinte
Pistache ou artichaut
Sans signal,
Dans le tube
Les mêmes visages
Façonnés par le tunnel à vent
Se ressemblent tous
Plaisir dérivés
Chercher la beauté parfaite
Ou une copie conforme
Au final quelle différence ?
Dans l’avion
Ébloui par le soleil
mal habillé pour l’occasion
Comme hier soir, à cet anniversaire
Malhabile, seulement à l’aise lorsque je titube presque
A force,
les événements deviennent la routine
Thérapie de groupe dans un hangar, fond de musique semi nostalgique
On essaie d’oublier comme ça passe vite
Pas bien regardé les petites lignes
Quand j’ai signé pour cette vie-là
Les passe-temps c’est bien,
mais le sablier fuit
Lampe torche sur mes zones d’ombre
Petit à petit
Je gagne du terrain
Récession dans l’hyper doute.
Force est de constater que l’été arrive.
Ni lavande, ni romarin,
mais les bougainvilliers et la fine fleur Nike (pink)
coupes rases, et blancheur saisissante
elle me regarde si souvent
en écarquillant les yeux, ses pupilles toute « locked-up »
une petite odeur de vieillerie derrière un teint d’argent
une rondeur presque gramaticale
impraticable
qu’y puis-je? sinon tester, encore et encore
le chemin vers l’envie
sans me retourner
des ombres suivent en hurlant à la mort, au scandale,
à la trahison poétique.
« Mais laissez moi deux secondes faire ma vie ».
Dans le fond dans l’genre
on fait du bruit
et les casseroles sont ramollies
les oeufs au plat ne fond plus le poids
et cette princesse
oh ! petits pois
pas grosse pas roi
sur son lit d’ange, au fond du fait
tout l’aspire à rien l ‘aspire à tout
le bruit l’ennui
de la brioche dans les poches
retour au four
manger des cendres à s’en reprendre
un pallier de honte,
une chose en suspension
et puis tout s’effondre
la vie s’arrête.
Sur le chemin, le décompte :
Il n’y a pas d’objet, pas d’art, et pas d’explication.
Ou bien quand elle repart ?
ou bien quand tout va bien
quand tout va bien c’est autre chose.
une fin de l’hiver
c’est plus rien à raconter que des choses sur ses sentiments
la honte qu’on peut ressentir.
Pensez à ces heures inabouties
à ces lubies d’automne
à ces défloraisons,
de grandes déflagrations, dans les cœurs et la peau de celui qui dansait à reprendre souffle
qui voulait creuser et même
tout détester
contenu dans un film
filmé dans un bain
de soie verte et de guigne
commuté d’embonpoint
Je me meus, être ouvert
au clair de revers
empire du peu de chose
comme disait la lune
duras ou souris
que certains se censurent
si bien
(et sans prix)
que je sais que le temps est dur
que la courbe est molle vers nos soupirs
Est-ce encore ça la vie, en ville?
Avec un peu de tout, un peu de rien ?
le sort est doux
tout de même, tout de même
je ne suis pas si rien !
mais qu’au soir des tropiques, deux mois plus tôt, rincé de rhum et de soleil
de cigare et de salsa clinquante,
mal mixée, quel son de breloque
sans geste plus haut qu’un autre
sans quelque chose qui signifie
l’autre espiègle rêve
Où suis-je ?
qui suis-je ? Pour œuvrer ainsi ?
De quelle chose suis-je le nom ?
Dans un silence la minute t’appelle
celle de la vie dans un tonnerre de non
la force calcaire, langage offert
qui se couche, de me dire :
gomme la façon dont tu fonds
t’efface, disparaît des radars
De ta famille : le langage
De ta famille : le nom
De ta famille : le poème
De ta famille : énervé le jeudi
Exogène : la pierre de logique qui brille des mille feux de Sirius, dans ton ventre et sur le plat de ta main.
Le ventre plein
Mais l’esprit vide
A la bordure du cercle
L’opposé de l’attraction qu’exerce un chien dans le métro
Pizza napolitaine deux jours de suite
Tout ca parce la peur de se défiler
Du mal à assumer des choix qui isolent
Pourtant de loin
Le mieux loti,
Jour après jour
La ville sape le moral
Pourtant tout le monde s’y presse
En manque de tonic, de piquant, de saveur
Orange et gin
C’est ça ou la ferme au Zimbabwe
Fantasies de riches désœuvrés
Mental fragile
Comme si j’étais mené d’un set
Sans adversaire pas étonnant que je ne gagne pas
Si le mieux est l’ennemi du bien
Alors je suis les deux
A la fois en manque et en surplus
Je cache bien mon jeu
Les fissures n’apparaissent que de très près
Alors j’évite le sur place autant que possible
Le mouvement comme remède
Je me sens différent
Sentiment d’urgence, destinée ou simple somatisme
Combattre ou fuir
Trouver les bons mots devant les futurs enfants
Qu’est ce que papa fait comme métier
Il ne sait pas vraiment l’expliquer
voir ces séries continues de « stories ». de théatre de bidule. bodybuildée des attitudes. montages. formats. déversoir de danses. de paroles mimétiques, crues, connes, connards, miettes, quignons, trognons, grotesques choses de l’internet. instagram, facebook, tik tok. même la critique ne porte plus. l’eau monte. tout est recouvert. immondes plastiques. comiques troupier. services de chambres bien éclairées.
mais, les personnes libres ne s’en vont pas
On cuit à l’étouffée
Dans cet autoclave roulant
Tiers payant et microfibre pour les vacances
J’essaie de raisonner le paternel,
Recadrer ses a priori, juger sans connaître ça n’a pas de sens
J’ignore ces poussières sur ma pellicule
J’isole la base du bruit
Préfère discuter bois sculpté
Et poterie enfumée dans bidon d’huile
Plutôt crever que de pas faire tout ce que j’ai en tête
Encore un lundi
La montagne ne toque pas à ma porte
Alors c’est moi qui doit bouger
Pile ou face pour la couleur du sable,
En touriste agnostique, je cours après le thermomètre
Comment ne pas être optimiste
Quand on passe à la banque trois fois par semaine
Je fais les comptes de manière machinale
Cherche dans les sommes un réconfort
Au travail je suis comme déconnecté
Passe le temps jusqu’à la prochaine paie
Avance par à-coups d’obsessions temporaires
Isolé sur une ile, c’est le récit d’une vie banale
Pourquoi aller voir un psy
Alors que je me connais si bien
Prochaines paies d’homme à homme maudit
Prochaines haies de tête dans le train du lit
Certaines avancent péniblement en contre jour
d’autres reculent. Deux métro se frôlent, parralèles.
Prochaines haines d’honneur. Peur de dire en ombre les choses.
Photographier la lumière, yeux fuyants, peaux lisses, corps défendant.
Prochaines peines, deux soeurs joyeuses, ne comprenant pas la chance
d’être de là-bas
mais tenant bien en place
une ancre de Berlin.
Bateau de rêve, la grande école, vaisseau aux mêmes sirènes
aux même cloches laïques.
qu’il est étrange d’éttayer son parcours d’accents civilisés
quand d’autres franquins décident encore
de raison garder.
Compte le corps du sort viendra s’abattre à nouveau sur ceux qui refusent les frusques ou les solus.
Des songes différents.
aller travailler dans les banlieues nord
garer sa voiture, énervé
en retard
à huit heures du matin
voir un truc
sortir la caméra
sortir le flash, ajuster, alors que tout le monde t’attend
faire la photo
des herbes folles
humides de rosée
comme si elles avaient mangé ma roue, ma mouvance,
trouver que quelque chose cloche
attendre une semaine
poster la photo
trouver ce qui fait sens :
la fraicheur, l’insoluble irrésolu, aveugle, sourd et muet, de la nature
qui s’en fout de toi.
Petites victoires
Peur d’être pas si bon
Alors je le suis juste assez partout
Je parle souvent trop
Pas assez de l’essentiel
Au quart de tour
Je tente d’assurer mon futur
Pioche des pièces pour un clochard
Le change de mon passage chez le tailleur
Comme tout est connecté
Je me souviens
Le son à fond dans la voiture direction la plage
6 ans, 2 chats et un appart plus tard
Tellement peur d’avoir plus rien à dire
J’en manque parfois a nous deux
Seul dans l’enfance, seul
force à s’ouvrir
Seul dans l’enfance seul,
se force à mourir
poste en force se fend d’attente
fonce dans la porte
tombe sous mes repaires
d’homme à tout défaire
Dans les tumultes
Les annonces en cascade
On se serre les coudes
Hésite à mettre les bouchées doubles
Si loin des terres
Je reste à vue de la falaise
Sans risquer le coup d’œil
Brique par brique je construit mon futur
Ou plutôt le notre
Même si ça fait peur à dire
Tu me demandes en mariage
Je te remercie
M’immerge dans le bricolage
Comme pour prouver
Je me suis fait moi même
Je pense à nous, chacun sur une île
Tu m’as rendu meilleur à moi de te rendre la pareille
Pour la vie