« Deux Mondes » (Panic in Berghain)

En librairie le 3 mars 2015.

12 réponses à “« Deux Mondes » (Panic in Berghain)”

  1. f4 dit :

    https://vimeo.com/120621340

    L’est Berlinois, ses marécages … D’où vient cette électricité qui se prolonge en tout par ici ?

    Et cette musique qui cristallise une Europe et sa liberté entre les murs, jours et nuits enchevêtrés.

    https://www.facebook.com/pages/Deux-Mondes-Panic-in-Berghain/414775585367651

    SIGNATURES, CONCERTS et RENCONTRES avec l’auteur;

    Tournée nord :

    3 mars = Libraire « Le Monte en l’Air » Paris / Concert ! et images
    4 mars = Chez la librairie Labbé, à Blois
    5 mars = Nantes, à la librairie Durance, puis rencontre au Kiosko le soir.
    12 mars = Toolbox, Paris
    13 mars = Les mots à la Bouche, Paris. Concert et images
    27 mars = à Urban Spree Berlin, perf image texte, signature

    Tournée sud :

    24 au 28 avril : Lyon (Le bal des Ardents)
    29 Avril : Marseille L’histoire de l’œil
    30 avril Montpellier, Sauramps
    1 er mai : Montpellier avec Lili Frikh et Bissecta
    2 mai : Bordeaux, « chez edith », galerie « chez edith » : concert et signature
    3 mai = Bordeaux, chez Mollat, rencontre avec le public et concert

    Tournée ouest :

    22 mai = Le Lieu Unique, Nantes. Live + perf image et texte

  2. Christine Dutertre dit :

    Je me suis sentie envahie par l’univers de ton livre, j’ai beaucoup aimé les descriptions de la ville, des hommes, des femmes, des gens, des milieux sociaux, de tes sentiments, du respect tangible et permanent, émue par la sensibilité musicale……………prenante et si bien décrite. Merci

  3. Charlie Favreau dit :

    Je comptais juste me mettre à la lecture et ne trouvais pas de style qui me correspondrait, et je suis tombé là dessus sur le magasine Tsugi.
    J’ai bavé durant 1 mois sur cet article en attendant la sortie du livre, et je ne suis pas déçu pour le moment.

  4. Elise Semelin dit :

    FIN
    Deux Mondes – Panic in Berghain… dévoré, englouti.
    Je t’y ai suivi, retrouvé, reconnu, découvert… à travers cette écriture foisonnante et brute. Ecorchée et sensible aussi. Une lecture comme une expérience : prenante, captivante, et très subjective car immanquablement teintée de souvenirs anciens… Merci…

    « Au bout de deux heures, le vent se lève de façon brutale. C’est comme dans mon coeur. C’est le moment. Le jour décline et c’est le temps que j’aime. C’est ce que je cherche dans la musique, dans l’ordinateur, dans la poésie de la plateforme, dans Michèle, dans Irina, dans ce Berlin trop calme qui pilote son Ber, qui était un « Berl », le lieu humide, qui vient du slave et signifie « Sumpf », le marais. « Dans le marais » s’appelle cette ville. »

    « Le silence est un instrument, toujours le début de quelque chose. »

  5. Mathieu Besset dit :

    Salut, Merci pour l’ajout. Superbe ce bouquin ! Tellement d’images s’enchaînent dans ma tête. Une certaine photo mentale de ce Ramiack.
    J’en suis à la moitié et je décroche difficilement.

    Bravo et merci encore.

    M

  6. MB dit :

    Une découverte, une plongée dans la ville. Un fascinant parcours à travers les petites anecdotes, secrets, une vie dans la géante qui vous avale, le tout à travers le périple de cet artiste.
    On peut facilement se dire que c’est le notre.
    On se demande jusqu’où cela va allez, et là, « Panic in ».

  7. Jeanne Sardou dit :

    J’ai lu ton roman en peu de temps, commencé dans l’avion, fini quelque jours après mon arrivée. Encore un peu de berlin techno dans ma tête était propice à mon voyage, révolution dansée , c’est pour ça que j’ai voulu te le prendre ton livre, curieuse de savoir ce que tu allais dire de ce temple qui m’a tant chamboulée et interroger (sont-ce des extraterrestres les mecs qui ont crée ce lieu ? Non ! Ils font parti d’une société secrète !) Je ne pouvais avoir ça qu’à la télé comme tous las bas, comme toi dans ton livre. C’est par la techno que je suis revenu à la danse, celle qui signifie, et qui va au delà de l’art, on parle bien ici d’une pratique chamanique, donc qui retourne aux origines des artistes. Donc voilà, j’étais curieuse. J’ai longtemps tournée autour d’une envie de rendre compte de ce qu’i se passe dans nos corps esprits triomphants, manuel à l’usage des techno danseurs, romans de science fiction parlant du centre de carburant à reves, j’ai créé une performance ‘clubbing », mais en fait rien de tout ça ne pouvait me satisfaire. Le mystère berghanien, après ceux d’eleusis, c’est dans la pratique que chacun peut la trouvé. Un nouveau savoir qui laisse paraître la vision d’une conscience nouvelle, disparition des égo, du temps et de l’espace, apprentissage dans le plan mental fait de ces formes géométriques en synchronicité avec les sons, tes mouvements, les pensées (-images-sons-mouvements), et là tu rentres dans la cour des disciples. Mais comment se fait il que ce lieu ait ce pouvoir là ? C’est qu’ne boite, enfoncé dans le trou du cul du monde, un marais magique pourquoi pas ! J’aime bien les créatures mystiques ! Et à coté de ça Berlin gris, les immigrée à Berlin, tu travailles sur les chantier, moi dans un call center. Berlin sans taboo, on chat et montre ses fesses tout les monde s’en fou, c’est même ce qu’il faut faire, de plus en plus pour exister dans ce bordel aux malices maintenant. La rave, la fête à paillette faut du noir et du hard, et bien posé surtout. La solitude à Berlin. Ta prose qui coupe dans la glaise des mots pour y mettre de la couleur, casser le monotone gris vert de la ville . Un peu trop à mon goût, mais bon c’est un style, quel avis ai je a donner ? Dans tes jouissances d’assemblage lexicaux je me suis perdue, a ne plus te sentir toi, mais l’écrivain qui explore, et me laisse au bord de la route du but de son roman. A par peut-être un grand mirage, un rêve… D’ailleurs, je serai curieuse de savoir comment quelqu’un qui ne connais rien à Berlin et à ce monde y a accès ? Et puis à signaler, c’est la première fois que je lis le roman d’une connaissance, du coup et par le thème aussi, j’ai eu un dialogue annexe qui s’est crèé une critique tout d’un coup car j’avais qqn a jugée, a cerner, visualiser, artiste musicien perché dans les sons, les corps, les têtes de lui et des autres héros-errants de cette ville aérogare. J’ai bien aimé que tu donne de la réalité à la ville, de la concrète des gens qui s’en fiche pas mal de la techno. Par contre, J’ai été embêter pas les nombreuses fautes de frappes et je veux savoir si c’est la fin du monde vraiment ? Mais tu sais, on sera au moins quelque survivant, justement ceux qui n’auront pas laissé filé les révélations berghinoises berghéennes berghoise du bas marais dans les poches de l’entertainment, en société…

  8. Maud Geffray dit :

     » J’ai adoré ton livre. J’ai plongé dedans immédiatement, à l’aise tout de suite avec le personnage. J’ai adoré être ce personnage. Et puis l’écriture où tout est question de rythme, de battements de coeur. Pas que des mots mais « de la chair et du sang » comme disait Carver. « 

  9. Camille Prin dit :

    « Si je dois mettre quelques mots sur le livre, je dirais… que je garde en
    > moi le plaisir soudain et profond de quelques pages, quelques passages si
    > forts, qui m’ont tant parlé que je ne garderai que ça,… d’ailleurs ces
    > mots sont en moi, ancrés, résonnants. J’en ai été étonnée.
    > Tout est là, sur 20 lignes tout est dit, c’est vif, ça laisse un goût dans
    > la bouche, c’est pointu, inconfortable et tellement proche de ce qui est
    > dedans…
    > Le reste pour moi est demeuré plus distant, j’ai même eu sur la fin un peu
    > de difficulté à finir le livre avec entrain.
    > Je me disais à la lecture que c’est comme s’il l’avait écrit d’un souffle,
    > l’énergie partie comme un trait, la suite du manuscrit dans le même
    > tempo… »

  10. Pierre Raquin dit :

    Un petit mot en passant. J’ai été très étonné par le lyrisme moderne de ce roman que j’ai lu d’une traite. J’ai été parfois dérangé par quelques bizarreries, quand ce n’était pas parfois de vraies coquilles dans le texte, mais rien qui empêche le déroulement de l’action. J’ai apprécié lire une histoire réaliste autour de Berlin que je connais un peu, comme Berghain. L’esprit critique, et même acerbe m’a rassuré car c’est clair qu’il n’y a pas que du rose et de la joie dedans, ça c’est sûr! J’aimerai également savoir si ce Rhamiak existe vraiment, et quelle part d’autobiographie il y a. Bonne chance pour la suite. Pierre.

  11. Jean Rodriguez dit :

     » Deux Mondes – Panic in Berghain de Brieuc Le Meur, voyage oscillant entre réalité froide et fiction spirituelle au coeur de la géante nord européenne, Berlin. Le style y est extrêmement contemporain. A la manière de Debussy pour la musique, Brieuc Le Meur tisse une toile lyrique fusionnant parfaitement avec les ambiances et émotions retranscrites dans l’ouvrage. Tout au long de l’épopée on est transporté par un témoignage de vie prenant à travers des personnages tout autant autant attachants qu’intrigants jusqu’à se faire littéralement absorber par un mysticisme extrêmement puissant plongeant au coeur même des réalités physique du lieu. La synesthésie lyriquo émotionnelle couplée aux énergies esoterico-nordiques créent une véritable faille spatio temporelle sémantique ou magnétisme synapsial, plaisir intellectuel et frisson imaginaire ne font qu »un. « 

  12. Anonyme dit :

    Mon manuscrit… est toujours en plages de Poésie…. Autres temps, autres vers, peut-être trop de vents en synapses d’hier….. bugg en correction, je vais p’têt entrer en religion, nulle vexation, et patience de rigueur…. J’ ai adoré l’expo « solaire » sur Berlin, les plans troublés, opaques, et capricieux, traversés d’émotions fugaces, et bavards pour chaque âme…! je vais m’ atteler à la lecture, mes temps étant en Stand By…. l’être n’est qu’un pas qui s’ apprend… Patience de Mise… Je crois à la mesure de mes… raisons! A propos, si tu as des infos, je suis preneuse…. Lise.

    Contact: Plume.aux.vents@gmx.com

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