hyper sens

28 réponses à “hyper sens”

  1. auddie dit :

    Celle ci sera un ether brut ou un brut d’éther

  2. auddie dit :

    Il y a à quatre heure une averse. Je tourne ma tête à gauche et je vois à travers la fenêtre les arbres bruisser, derrière il y a la tour de verre. Je tourne la tête vers mon ordinateur et j’écris ça. Puis je pense à ce texte, si j’ai bien décrit l’arbre et pourquoi j’ai choisi tels mots. Puis je me demande ce que je pourrai rajouter, mais sans être dans le style. Espère qu’il n’y en a pas.

  3. bissecta dit :

    Les hirondelles ne sont pas encore là, je les attends pourtant. Toujours le même qui chante et je n’ai pas envie de le nommer. En regardant vers l’Est, le corps se détend, histoire de lumière et de fraîcheur surement. Faut-il vraiment suivre cette consigne pour toucher son idée de but éthéré ? J’inspire en agitant les clochettes de ma cheville. Elles commencent à crier, les hirondelles, elles vont arriver.

  4. Anonyme dit :

    je tourne ma tête à droite je vois une rangée
    tout ensemble sur la table
    inaccessible

  5. bissecta dit :

    L’ongle entre les canines
    et derrière
    c’est toujours si présent
    attendre le frisson aux côtelettes
    ça s’entend un peu plus haut que la nuque

  6. Norisuke (SPAM - corrigé) dit :

    f4: Ce texte est un SPAM (dont je me demande s’il est un vrai faux ou un faux vrai), approuvé et corrigé par mes soins (auddie / f4)

    Edouard21 juillet 2010? Cher Thierry, Vous avez raison : le niveau des debats sur le post tutoie le neant. A la décharge des internautes, il existe d’autres agora, plus respectueuses des faits et des opinions. La liberté d’expression totale que permet le net est une nouveauté. Dommage qu’elle embarque avec elle autant de Proc8s de Moscou. Of… Celui qui parle sera jugé en fonction de ce qu’il est (supposément) et non de ce qu’il dit. Gageons que la liberté demeure un apprentissage et que nous essuyons les plâtres avec le net. Surtout, ne blâmons pas le média, mais l’usage trop hâtif qu’en font certains, et qui ne demande qu’à murir. Amitiés, Edouard.

  7. moi même dit :

    ah oui l’hypersens ouioui bien sûr pas super, pas méga mais hyper oui ça me parle oui je je crois que c’est dans mes cordes ça sinon c’est trop facile et probablement très con il y a juste ce truc qui saute dans ma tête et qui m’empêche d’accéder à l’hyperdimensionalité je dis truc parce que ce n’est vraiment rien d’autre qu’un truc un sautillement à la limite un retour chariot oui, c’est ça en fait, c’est un retour chariot il y a des séquences de réel et soudain retour chariot et ensuite c’est où en étions nous ? oui l’hypersens ouioui mais j’aime également les rapports de police et je me dis mais qu’est-ce que je fous là ? la police, c’est pas hypersensuel, mais ça a son charme le charme discret de la police sans police, pas de poésie, pas d’hypersens il faut aimer la police elle est là, elle nous emmerde, nous l’emmerdons, tout le monde s’emmerde, c’est très bien comme ça et nous accédons ainsi à l’hypersens ne pas confondre avec l’hypermarché cependant non ça c’est hyperdur

  8. jerome dit :

    http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=50&ved=0CFsQFjAJOCg&url=http%3A%2F%2Fwww.ville-pont-audemer.fr%2Fdata%2Fphotos-videos-publications%2Fpublications%2F17-doc.pdf&ei=vpVMULfkG-fD0QX494GgBg&usg=AFQjCNH704bwZijUgmaQ1DBLb9dcSxv14w&sig2=yIKA0TLRuSeplX0IwuVO4A

    Les pénalités de l’enfer (Miro)

    Manque ce qu’on a pas pris le temps de rechercher,
    ce qui a tout son temps,
    et qui attend,
    très patiemment
    la pensée, ramassant a brassé le don,
    qui coule ses perles de rosée
    dans la corolle déployée
    d’un dit absolument définit…..
    Image cherche liant, trajectoire sans ciel,
    mouvement sourd de l’ombre,
    canonnière sans projectiles,
    projectiles sans visée
    cracheur de feu et de térébenthine.

    L’extase du temps
    au seuil de la mort
    livre son secret d’amour secret.

    La pureté du motif ne peut-être qu’en Dieu.

    Les oiseaux noirs de la recomposition
    qui picorent des souillures d’astres au bords de l’insignifiance
    ne sont que des malentendus dont on ne se défait pas entièrement par l’emploi unique du doute…

    …mais qu’on lave par le repentir du peintre,
    de l’artiste s’approchant de la vérité d’un autre voir
    avec lequel les significations du passées n’ont plus a voir….

    Manque le temps perdu du désir,
    devenue dans la mort,
    a son tour insignifiable pour un esprit crée,
    tout déliée de lien
    incertie du serment qui forme la torsion du cep
    lorsqu’inoccupé de parole éternelle, de parabole infrangibles
    la racine se délite dans l’inadmissible,
    se chamaille en boucle,
    et que l’union des contraires par le transcendant incompréhensible
    qui traverse toute lumière
    est oubliée a jamais
    et que la vigne tombe hors le cep dans l’éternelle ténèbre de confusion.

  9. jerome dit :

    coquille: n’ont plus rien a voir….

  10. google dit :

    30.1.
    Acheter toison pubienne
    30.2.
    Salaire d’un ninja
    30.3.
    Manger du requin sur metz
    30.4.
    Fabriquer casque bioman
    30.5.
    Comment contenter une femme
    30.6.
    Récit dressage de travesti
    30.7.
    Je veux rejoindre Al-Qaïda
    30.8.
    Hélène Roch Voisine contexte socioculturel
    30.9.
    Photos des cuisses de mamies
    30.10.
    La mère de M Pokora fait quoi comme métier
    30.11.
    Les villes du monde se trouvent dans quels continents européens
    30.12.
    Sodomie Auvergne
    30.13.
    Cri de guerre clan de poulets
    30.14.
    Sympathique prothésiste dentaire à la tranche sur mer
    30.15.
    Chef de produit Tampax
    30.16.
    Raffarin + Darth Vador
    30.17.
    Un site pour les films dont le nom termine par le mot trip
    30.18.
    Photo d’un mouton et d’une boule à suspendre
    30.19.
    Devenir pute en 10 étapes
    30.20.
    Ménopause homme
    30.21.
    Partouze à Dinard
    30.22.
    Est-ce que le soja accélère la repousse des poils ?
    30.23.
    Chanson française contenant na, na ,na, na, na
    30.24.
    E.T. l’extraterrestre + fellation + vidéo
    30.25.
    Gastro avec mon chat
    30.26.
    Tetons célèbres
    30.27.
    Vidéo d’un enfant remplacé par erreur contre un poulet dans le four
    30.28.
    Comment tuer sa femme sans laisser de trace
    30.29.
    String pour enfant
    30.30.
    CM2 méchants

  11. michel dit :

    monsieur straight aime la publication de madame nuts. madame nuts n’a de nuts que sa virtualité sans objet. je me suis crashé dans le dossier de ma synthèse projectile. dieu est un has-been, je ne veux plus en entendre parler. je lui préfère le tremblement abrasif des contacts épileptiques. et la rivière de diamants que transporte l’animal tortue hors des catacombes des édifices vertueux. je préfère me noyer dans la vodka ou dans le caca des biotopes marginaux, desquels n’émergera pas l’être nouveau – clarifié mon cul -, mais plutôt Nefertiti, Lao-Tseu ou Thelonious Monk. pendant que l’apocalypse normal étendra son empire suffocant de merdiatiques chiures de mouches vibrionnantes dans l’azur pourri des déchets radioactifs, multicommenté par des cascades de profils à la polarité inversée. je préfère méditer devant ma prise électrique et faire la grève de la fin. ou me perdre dans les paysages minéraux, dépeuplés d’humanité rendu folle par l’accumulation des chocs contre les parois de verre du cube paranoïaque de la conjoncture actuelle.

  12. Crut Le dit :

    je suis au courant de tout.
    écoutez
    voyez
    les hommes jouir comme des femmes
    et l’aurore ne plus
    être une horreur
    suspicieuse
    sentez
    la rosée du nuage
    le rock progressif
    sentez cela
    le lyrisme des pauvres
    l’optimisme des terre oristes
    sentez cela
    partout
    la lente
    lente
    vitesse lumière

  13. michel dit :

    oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui
    oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui
    oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui
    oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui
    oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui
    oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui
    oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui
    oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui
    oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui
    oui oui oui oui oui oui oui oui oui non

  14. jerome dit :

    je pense je pense je pense je pense je pense je
    pense je pense je pense je pense je pense je pense
    je pense je pense je pense je pense je pense je
    pense je pense je pense je pense je pense je pense
    je pense je pense je pense je pense je pense je
    pense je pense je pense je pense je pense je pense
    je pense je pense je pense je pense je pense je
    dé pense c’est pensée dés pensées est pense je
    pense a pense jeu panse je pense je pense j’ouit
    chien le chien le chien le chien le chien le chien
    parts a parts a parts a parts a parts a parts a parts

  15. Michel dit :

    Je pense que vous croyez et j’imagine que vous croyez que je pense, or je sais que vous pensez en croix tandis que moi je crois aux lois, je crois aux liens et je pense en étoile. Et alors même que je pense en faire des phrases, je crois toujours que les phrases finissent par me penser. Et c’est ce qu’elles font je crois, du moins j’ai réussi à m’en persuader. Et je ne veux pas être pensé par des phrases qui appartiennent à des histoires, dont la finalité m’échappe complètement. Je pense que les phrases sont éminemment douteuses, je les soupçonne de vouloir nous entraîner dans un beau merdier. C’est pourquoi ce passe-temps m’inquiète tant.
    Une pensée à la limite de l’inarticulé, c’est ce qui me guette, je sais. Je pense évoluer vers un langage empreint de borborygmes, que j »accompagnerai de grimaces plus ou moins simiesques pour me faire mieux comprendre, si besoin est. Je ne veux rien de plus intelligent en ce qui me concerne.
    (Là, il faut m’imaginer en train de rire comme un débile, je tiens le bon bout)

  16. manuel dit :

    SI SIIII

    parece mentira

    muertes de perro, el ciclo chungo de la vida

    escrito en la frente, como la luna en el cuerpo

    yo canto mi murmullo a Satan cuando la parroquia vecina incordia de campanas la tarde del sabbath

  17. manuel (love care) dit :

    Commentaire pour Conférence : Des jouissances permises et des réflexions défendues / Laurent de Sutter

    @ knight (ça fait combien de temps que t’es ici, tu rentres quand dans ton pays Manou ? tu nous enverras une carte postale hein ? un truc bien moche comme vous aimez, tu sais avec un torero en drag queen tout en rose là )

    Tu penses me faire rentrer comment ? Laisse-moi deviner… avec des mecs armés de kalashnikof sous les ordres de… ? …de quelqu’un que j’ai cité dans un poème ?

  18. jerome dit :

    C’est effectivement très singulier votre état……vous voulez qu’on contact l’AFP ou un scoop dans Nature peut-être?…en tout cas vous m’avez vraiment bien fait rire, gracias

  19. jerome dit :

    Une pensée a la limite de l’inarticulée….je sais pas pourquoi mais ça me tue de rire, ?. bon stop bye , a plus
    dit avec les dernieres forces au dernieres limites de l’effort de conceptualisatuon….désolé j’imagine la scene..je pense évoluer vers le langage simiesque ou le braille…mes mains ont la parole…en tout cas une chose est sure vous avez un humour génial….bon j’arrete la parce que rire pour les fumeur c’est tuant.

  20. manuel (love care) dit :

    Commentaire pour Conférence : Des jouissances permises et des réflexions défendues / Laurent de Sutter

    Je vous prie de ne pas prendre compte du commentaire posté il y a quelques heures. Je l’ai rédigé dans une crise de panique ou plutôt ce que j’appellerais un état de manie de persécution (plutôt que délire). Je profite, nonobstant, pour répondre autrement, puisque l’envie d’écrire elle elle ne passe : j’ai enfin acheté Théorie du trou et aussi Pornostars (autre oeuvre de Laurent de Sutter) et j’en suis content, le mélange de modestie et orgueil intellectuel dont il fait preuve me convient et le rend agréable. Je trouve un je ne sais quoi de Spinoza.

  21. jerome dit :

    Pris de panique je me réveille d’un bond je fonce sur mon armoire en sort mes plus beaux habits, c’est a dire, les plus rutilants, les plus dépareillés ceux qui me font semblable au dissemblable, identique au lazure du formica imitation noyer, encanaillé au tenaille des soutes caméléon pleine de maquisards rangés en mangoustes a pinces violette ouverte comme le bec des oisillons nichant au coeur du ramage d’or, et cours me fondre dans la glu ou la vermine dévorant les sacro-saintes projections sociales de la raison m’élève en me jetant hors des lois; mon sarcophage bée son calcul des viscères du sacrum ; je fais la sourde oreille et m’enfonce dans l’évaporation sociale ; l’effacement des identités de substitutions sur le dos ailées de la sang sue des sueurs froides me jette des regards de braises et me bave son placenta visqueux dessus ou déjà brille l’isocèle nettoyé de la volubilité du souffle tenant toujours compte de tout dans la nasse bigarrée de la masse des matières en bordel ; je m’habille et me prépare comme on se jette dans un bain de confusion prêt a recevoir en détail sur mon tout désirant l’électrode du démentie qui électrocute les vivants et ressuscite les morts ; je peigne mon souffle d’un gré tasseau sur lequel était assis Job, je me le noue ou cou comme un fétiche talisman, comme la biche peigne ses yeux des heures durant dans le miroir des cuisines ou elles épiles ses cuises pour mettre a table les aveux du désir ; je chute avec ma monture la ou l’ordre social n’est plus qu’une chimère absurde comme un moyen de suicider le desir d’avorter spirituellement dans la soupe aux esclaves, de me faire parler de dire et de dédire l’intention du désir sans jamais parvenir a son terme ; résolu je mélance a travers un premier cercle d’illusion reflexive qui se brise comme des reflets au supports complice et les bris m’entaillent de culpabilité ; il fait plus sombre encore ; je ne perçois plus ni père ni mère ; ni commencement ni fin ; le temps et l’eternité se noue dans un orgasme horrible ; ou l’angoisse d’un instant dure une eternité; je continue pourtant vers l’ailleurs la ou plus personne ne peut plus rien pour moi; l’ordre du monde s’est évanouie et mon vertige me lessive et m’agite comme un grelot dans les ténèbres ; le froid est plus intense, mes dents claques je ne perçois aucun reliefs ; aucune saison n’a jamais percer l’orbe de ce mystère ; tout est tétanisé dans une béance qu’aucune raison ne pourrait remettre en ordre ; je sens que je m’approche de Dieu ;; penser devient une pure souffrance ; l’être est bien donné, toujours la, mais dans un tel démentie d’idealité qu’iinstinctivement je sens qu’aucune science humaine ne pourrait en formuler la présence ; je cesse d’être au monde un être cohérent ; je suis dans le magma des matières tourbillonnantes et sans dimensions remis a moi-même a mon néant ; ce n’est pas d’une science dont j’ai alors besoin, mais d’un être dont l’idée soit tellement inconcevable qu’on ne peut le définir que comme Celui qui peut tout ; mais c’est ma monture maintenant qui s’emballe ; elle tente de me désarçonner et de me projeter dans le vide ; un immense regret me monte au coeur comme un souvenir de la terre ; je ne peut m’y attacher il ne peut me soutenir ; je sent soudain que ma monture se désagrège ; elles perds ses ailes unes a une ; la selle flotte dans le néant ; c’est finit….le calme revient….mes yeux a nouveau perçoivent la lumière je suis vide intérieurement fleurit de la confession de ma propre intention désirante ; gros d’un désir informulable sans la grâce de dieu ; le renversement est accomplit ; ma langue colle encore au palais des chimères abstraites mais au coeur des marais asséchant les deux ourlets des mes lèvres savourent le silence comme jamais auparavant. Une fine pluie d’antimatière filtre dans le soleil comme les lettres d’une annonciation de l’attente qu’on ne peut en bonne logique se faire a soi-même sans avoir reconnu sa sublime mort. La transparence est la matière de l’alphabet du parloir ou les connexions réfléchit sont établit sur la table de la totalité du désir qui sort du feu croisé comme un corps éviscéré plein de lumière ; taxidermie mentale, saut sur place, bond en soi-même ou se jettent les constellations comme les sabots des chevaliers de l’apocalypse ruant sur leur unique victime sauvé d’un coup de faux sculptant sa vertèbre; la moelle se lèche comme un chat qui se lave par la langue du venin des mesures ; le vin salut les éboueurs des citerne d’esclaves ; le banquets des silhouettes s’abandonne au baiser de la mort sur l’envers du vertige chancelant vers la rencontre du double par son trou béant de démolition chaste ; aucun reste de la fête, aucune trace du renversement objectif du courant des efforts vains en flux indéterminé du don proche des sources de la création ; rien je reste toujours le même plouc mon secret bien conservé dans son néant ; je reçois en vrac l’indétermination des pierres qu’aucun père ne donne pourtant a ses enfants ; je ne sens plus les déconvenue parce que mort je n’attend plus rien du monde ni des hommes ; je passe a travers ma victoire sur le temps, sur l’avenir qui s’enroule et se masque dans ses redite mythologique du souvenir pour ne pas affronter sa mort et son effroi ; c’est lui, le temps que j’ai vaincu dans le combat nécessaire de l’angoisse ou s’annonce le retournement de la victoire dans la victoire de la parole qui traverse son fil décousu ; mais cette victoire n’était pas inscrite dans le temps mais présupposée par le mort qui devient croyant ; tout désormais est don ; mes caries mon lumbago mon futur cancer et toute la litanies des souffrances des plus connues aux moins visibles et insoupçonnées ; chacune est un barreau de la gloire qui abaisse dans le renoncement absolu a soi ou tout alors redevient possible a l’être nu touché par Celui qui peut tout ; il ne faut se méfier que de ce qui réussit ; ce qui fuyait derrière l’horizon se tient maintenant auprès ; maintenant que je suis a l’envers et que l’interdiction de toucher, de voir, d’entendre ce qui donnerait joie au désir, s’est lui-même offert au mort et donné a toucher, a voir, et a entendre ; mais raison? Juste une apparence sociale qui doit se denier en ce qu’elle a projeter pour que la monture de la sang sue s’explicite en vertu de l’Un transcendant intérieurement. La friche se couche dans le souffle du jardin ou le sillon retourne pourrir le germe de ce qui ne peut se dire et être en vérité et en esprit qu’en étant absolument mort au monde, aux hommes et a toi même ; un dieu sensible au coeur est cacher derrière le monde ou règne la confusion dans l’esprit des hommes ; son souffle est un mécanisme délirant, détachant, arrachant l’es fruit de l’un au monde ou il se sont formés pour l’éternité, délivrant la plante interne qui germe dans les friches de l’extériorité ou l’un n’est pas, et s’accroît de se perdre constamment au-delà des scories a travers les écorchures et le sang qui baise son mouvement des lèvres ; son mouvement est la contradiction même et sa contradiction est la mue qui glisse lentement vers le néant pour ne laisser que l’éclaboussure dans la lumière ; c’est le siphon intérieure de la myriade des feux réfléchis dans notre folie de la source des lumières ou il n’entre pas ombre de variation ; le renversement de la subjectivité a quitter ce monde depuis éternellement ; elles n’y rencontre plus rien qui ne viennent d’ailleurs ne descende d’en haut comme un don excellent et parfait ; elle vit tête bêche le coeur faussement révulsé mais réellement joyeux d’être contrit ; non pas mue par quelque sainte colère mais éternellement mort et apaisé dans sa commotion logique ; mais dehors tout est tellement différent, tellement organisé tellement direct que seuls les serpents y rampent allégrement ; pourtant Pan et Dionysos et Phusis étaient déjà des crabes délirants mangeant le foie des hommes comme des cancers ; ils étaient trop aimer pour n’être pas ordre du chaos et trop amer pour ne pas les pousser de la confusion vers la clarté revenue de l’ailleurs ; qu’on nomme sa présence au sein des forces directrices et l’on croit voir rêver par quelques brèches encore ouvertes le monde ensevelit dans d’archaïques truismes ; le décors est un terrain vague toujours en ruine florissante, lacéré de rues et de boulevards dépavé abandonnés depuis des lustres, gonflé et vertes comme les veine évanouies des junkies ; tout est en ordre pour l’hémorragie quotidienne des fluxs excrémentiels du paradis ; mais je n’ai qu’une vielle chemise de coton peignée et un jean qui commence a s’éclaircir aux genoux; je m’habille et m’agenouille devant l’autel au reflets ; l’hypnose a cesser de fonctionner et c’est déjà une merveille qui s’ouvre en moi ; elle n’a pas jaillit de mon coeur anéantie ; je ne l’ai pas inventé ; je l’ai reçu d’ailleurs et d’Abraham qui le premier l’a formulée ; aucun homme ne donne la foi a un autre ; la littérature peut bien user et abuser du paradoxe et de la théantropie qui en découle ; si elle ne rend pas a César ce qui appartient a César elle ne rend pas service a la culture ; parce que c’est seulement quand chacun lit sur un etre cette structure du désir comme totalité signifiante qu’il peut a son tour y pressentir qu’elle est aussi la structure interne de son désir d’être, a moins bien sur qu’un quelconque parmi nos auteurs contemporains particulièrement doué en jonglerie paradoxale ne soit l’auteur d’un livre sacré et lui-même un dieu sur terre ; mais la ce sera sans moi. Je regarde fasciné le déroulement des opérations….apparemment il faut prier sur un tapis rouge, mais je n’ai qu’une vieille serpillière; il faut des projecteurs et beaucoup beaucoup de lumière….je me relève encore, saute sur tous les interrupteurs de la maison, allume les bougies qui baignent mes yeux dans mes temps de porcelaine rose et bleue….et me retourne sur le temps figé de ma vie qui se décolle comme un papier peint du mur des maux ou tout a coup les autres motifs enchevêtré des vies inconnues m’apparaissent comme des vides comblés de sens et d’amour, des négatifs du monde en plénitude d’elles-mêmes sans parcelle de faille, des cordes a sauter dans la lumière bleue d’un sel que je devine parce que j’ai soudain envie d’y goûter sans le voir ni le toucher ; c’est finalement beaucoup mieux ainsi, sentir dans l’ombre que dieu nous a aimer le premier, et toucher « ainsi » a celui qui nous touche finalement….Amen.

  22. auddie dit :

    Nous n’irons plus au bois,
    plus rien dans la casserole
    ni plus rien dans la nuit noire

    Nous n’irons plus-haut quoi
    et tombe le poing si molle
    comme le faisait un vieux soldat…

    *

    beau luciole
    toise au toit les choses, ces choses
    qui savaient déjà bien mentir

    Au plus haut [des cieux]
    bien-sûr, que la nuit s’en va.

    *

    Brieuc
    Koh Panghan
    Thailande.
    25/1/2001

    re edit jui 2013
    re edit april 2023

  23. Manuel dit :

    chanvre traître chambrage

    chambrure carbure brune

    odyssée rural à Paris Montpellier Givenchy

    faux faux j’insiste démon sortie exit

    envie de pénal football la troisième dynastie

    ground control to major tom

    ground control to major tom

  24. etel dit :

    magnifique

  25. brieuc dit :

    Il avait les mains dans la mélasse, souvent lorsqu’il travaillait, il avait cette force particulière naturelle, une vivacité qui annulait toute forme de protestation. D’outrés, ils s’avouaient vaincus puis en devenaient complices; et c’était joli cet embrasement des coeurs, cette fusion dans ses fréquences ; ils riaient maintenant à son rendu sauvage, puis, là, à son hurlement animal. Oui, ils en riaient, ils s’étaient habitués à ses manières j’en étais sûr désormais, quand, juché sur un tonneau, qu’on aurait dit qu’il était né dessus, bien que ce n’était pas de la vigne qu’il en fût mais plutôt du roseau peau de blé, il manquait de s’écraser la tête la première en remuant trop sur sa chanson. Oh il ne connaissait pas toutes les paroles, mais un court instant, la ligne du temps… était oubliée.

  26. Rouge à neige dit :

    La viande divine demeure dans le domaine
    En dôme des mots
    Ce dôme Haut!
    Ô Dôme!
    Au derme murmurant la prise de vue
    modelée par le perroquet émeraude avec une touche écarlate lorsqu’il pédale avec la tête
    sur sa bicyclette spongieuse, spumeuse, spasmes des gâteaux prêts à le remercier
    d’un croissant de lune mielleux qu’un sénateur à discrètement déposé là pour mélasse sismique,
    en oubliant… Heu… Heu… Heu… Comme une blonde^^
    L’avenir spirituel déjà écoeuré de la luciférine, non pas des lucioles,
    mais des champignons magiques menant grandement leur ronde sous ce dôme haut des maux
    maudits
    au domaine maître damé du damier des Dames clitocybes, pleurotes, presque agaric des algarades
    olivières.
    Lamer les mots
    Laver les maux
    Latter les taux
    Layer les Yo! Yo! Yo! Yo!!!!

  27. Yvon d'Anjou dit :

    Animal de ville sanglé à l’imposture, coagulant dans le refrain des pompes salopes, on m’expédie à la chaussée au revers des sabots de la sauvagerie. Je n’hennirai pas.

    Y.d’A (c)
    Dans la carcasse du poème, ça saigne à blanc –

  28. Anonyme dit :

    Des qualités, comme de l’écueil, des définitions.

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