Demander à des non-croyants d’écrire en nous faisant croire qu’ils croient.
R recents T texts & P pomes
- Mura dans Du sensationnel
- B LM - Anatomie d'une chute dans Critiques
- carton dans L’enfer
- auddie dans Du sensationnel
- BLM - Evoque l'éveil dans Politique et Ville
- B LM - Santa Barbara dans Abstraction
- B LM - Gaza dans Politique et Ville
- B LM dans Politique et Ville
- blm - Ridley Scott dans Critiques
- Anonyme dans L’enfer
- Brieuc Le Meur - "Transit" dans Critiques
- auddie dans Musique
- Anonyme dans Politique et Ville
- mura dans Du sensationnel
- Anonyme dans Musique
- Anonyme dans Lyrics (english)
- Anonyme dans Musique
- auddie dans Du sensationnel
- Anonyme dans Théorie
- Anonyme dans Music & cities (english)
- Anonyme dans Musique
- Anonyme dans Musique
- auddie dans Du sensationnel
- mura dans Du sensationnel
- Anonyme dans Poésie (français)
- Estève du Bailly dans L’enfer
- Estève du Bailly dans L’enfer
- Mura dans Du sensationnel
- Anonyme dans Du sensationnel
- mura dans Du sensationnel
- mura dans Du sensationnel
- auddie dans Du sensationnel
- auddie dans Du sensationnel
- auddie dans Du sensationnel
- Blm dans Recherche
- Trudy Labienheureuse dans Du sensationnel
- auddie dans Du sensationnel
- Anonyme dans hyper sens
- mura dans Du sensationnel
- mura dans Du sensationnel
- auddie dans Du sensationnel
- Anonyme dans Du sensationnel
- mura dans Du sensationnel
- Anonyme dans Du sensationnel
- Anonyme dans Du sensationnel
- Anonyme dans Du sensationnel
- Anonyme dans Music & cities (english)
- Mura dans Du sensationnel
- Mura dans Du sensationnel
- Anonyme dans Music & cities (english)
- voidcaïd : berlin dans Traductions / translations
- auddie dans Du sensationnel
- mura dans Du sensationnel
- Ben Coudert - tu t'appelles comment dans Critiques
- BLM - Yves Michaud (réaction) dans Théorie
- Anonyme dans Music & cities (english)
- Pascal Nyiri Brévard / album Lili dans Critiques
- Anonyme dans Music & cities (english)
- Anonyme dans Poesie (deutsch)
- Estève du Bailly dans L’enfer
- Julius dans Poesie (deutsch)
- auddie dans Poesie (deutsch)
- auddie dans Poésie (français)
- auddie dans Poésie (français)
- auddie dans Poésie (français)
- auddie dans L’enfer
- Duprato dans Poésie (français)
- Anonyme dans Poésie (français)
- Estelle - deux cygnes noirs dans Poésie (français)
- auddie - dead show dans Musique
- techno was dead dans Music & cities (english)
- auddie dans L’enfer
- Anonyme dans L’enfer
- Anonyme dans Music & cities (english)
- Anonyme dans Music & cities (english)
- Jean-Philippe Salabreuil, Chant du chien (extrait) dans Poésie (français)
- Geka - Low-flying dans pomes (english)
- blm - bombes dans Politique et Ville
- estelle dans L’enfer
- estelle dans L’enfer
- estelle dans L’enfer
- mura dans Du sensationnel
- auddie dans Amour
- mura dans Du sensationnel
- mura dans Du sensationnel
- ColemanVen dans Du sensationnel
- auddie - Paris dans Politique et Ville
- Eli - an unreal encounter dans pomes (english)
- auddie - l'Est de l'écume dans Poésie classique
- Sarah Nevada dans pomes (english)
- auddie - dance floor sweeper dans pomes (english)
- Silbia - hope dans pomes (english)
- Advicemaster dans pomes (english)
- auddie - Woh the Shadow dans pomes (english)
- auddie - un morceau de toi dans Musique
- auddie - in the venue dans Lyrics (english)
- auddie - dans la salle dans Du sensationnel
- voidcaïd - you are not a product dans pomes (english)
- Kalinka dans pomes (english)
- auddie dans pomes (english)
- Aki - Awakening dans pomes (english)
- Comarunner dans pomes (english)
- em no - you dans pomes (english)
- Geka - Emptyfull dans pomes (english)
- Geka - The dancer dans pomes (english)
- Cellarmaster dans pomes (english)
- Geka - Runners dans pomes (english)
- La vicina non vicina - The bird dans pomes (english)
- auddie - la fenêtre de ta cuisine dans Du sensationnel
- crotale - the moth fly dans pomes (english)
- mura dans Du sensationnel
- mura dans pomes (english)
- mura dans Du sensationnel
- auddie - facebook dans Discussions f4
- Vic - dream.not dans pomes (english)
- auddie dans pomes (english)
- maledetta4insonnia - (no) doubt dans pomes (english)
- maledetta4malinconia - zombieland dans pomes (english)
- auddie stalker - rogue beat dans Du sensationnel
- maledetta4malinconia - ghosts dans pomes (english)
- auddie - killer dj's dans City, politic, to create, critics (english)
- mura dans Du sensationnel
- bri - planche dans Du sensationnel
- ser _ man dans City, politic, to create, critics (english)
- estelle - pantheon dans Discussions f4
- auddie dans Du sensationnel
- mura dans Du sensationnel
- mura dans Du sensationnel
- auddie - 2020 dans Music & cities (english)
- Maria Soledad Otero dans Poesía en Español
- david cain - earthlings dans City, politic, to create, critics (english)
- Merwenn Hadjadj - Belleville dans L’enfer
- Translation. ITW . Film "For the Daemon" dans Traductions / translations
- Pasolini - jeunes hommes dans Politique et Ville
- auddie - berlin dark aestetic dans City, politic, to create, critics (english)
- Deva Cavayé - 43 dans Textes courts
- auddie - 2010 dans Du sensationnel
- Raffaël Enault - surface de la vie dans Textes courts
- auddie - misanthropie dans Recherche
- auddie - temps dans Poésie classique
- auddie - kraftwerk dans Philosophie
- Justin Morey - meth dans pomes (english)
- auddie - Berlin dans City, politic, to create, critics (english)
- Patrick Dreux - Entre les rives dans Poésie (français)
- Nicolas Moulin - vider paris dans L’enfer
- auddie - covid ghost city dans Music & cities (english)
- Lise. O². dans Poésie classique
- Lise. O². dans Poésie classique
- Lise. O². dans Poésie classique
- Lise. O². dans Poésie classique
-
Sign in
je me souviens quand je dormais
profond profond
profond
dis-moi, l’ange, as-tu déjà dormi comme moi ?
profond profond
dis-moi, l’ange, as-tu déjà dormi?
Dieu en toi et Dieu en moi
Dieu comme une perspective idéale
Dieu comme le ciment primordial
Dieu, pdg de Connexion (si ça existe encore)
Dieu lorsque tu regardes le ciel et que tu trouves ça beau
Dieu lorsque tu pratiques la divination devant tes bouts de cartons
Dieu, parce que la science est une vieille taupe aveugle
Dieu, parce qu’il faut bien un putain de point de départ
Dieu, parce que la matière inanimée bouge des fois
Dieu, parce que c’est flou, vague et inquiétant
Dieu, pour tout ce que l’humanité a investi en lui
Dieu, pour Jésus, le prophète de l’amour universel
Dieu, parce que j’ai besoin de m’envisager meilleur que je ne suis
Dieu, pour faire du vide et créer un appel d’air
Dieu, pour la musique, la littérature et le reste
Dieu, parce que les signes, parce que les singes
Dieu, pour Jérome Ruffin et sa langue sublime
Dieu, pour rafistoler les êtres écartelés
Dieu, pour réanimer les êtres abrutis
Dieu, comme un code secret perdu quelque part
Dieu, comme une martingale gagnant-gagnant
Dieu, pour tout ce que je ne comprends pas
Dieu, pour l’athéisme, ne nous exaltons pas
Dieu, pour ne pas réduire le monde à sa surface
Dieu, pour le décalogue et parce qu’il a tout juste
Dieu, pour la bible, the best book ever written
Dieu, pour mettre un mot sur ce trouble contagieux
Dieu, pour le folklore, la fiction liminaire
Dieu, pour la beauté de l’oeuvre collégiale
Dieu, pour les anges, les démons et les barges
Dieu, pour le show, quand même c’est extra
Dieu, pour relier et régler tout ce merdier
Dieu pour tout ça et pour tout le monde
Eau et gaz à tous les étages
Eldorado obsède
le respect pour le jeune
la fuite en syntaxe
mes seules larmes
foutaises dites
crème et crème du crachat d’amour
je voudrais dessiner comme Dieu l’a fait
si moderne, si vrai
le caprice parfait, l’ovale
et l’escalier qui se tresse des caresses
d’un claquement de cils
J’ai perdu en gare, toutes les pages de tes cahiers,
elles crissaient comme des roues de fer sur les rails,
et mon sommeil dans les cactus, est encore accroché aux branches des correspondances de trains qui ne te trouvent plus.
J’ai dormi sur les banquettes usées de mes banqueroutes,
comme un pleur d’enfant bercé par des chansons d’ivrogne.
In-fante je voulais dormir sous les grandes failles de l’oubli,
mais a la fin, au meilleur moment, la lune en rêvant avala mon sommeil.
Alors je l’ai supplier de me rendre ses merveilles…
Elle m’a refusé ses jouets, est restée muette comme un vieux livre de comptes ou j’étais déjà né entre deux lignes d’acompte et de souffrance, comme un ange enroulé d’un parchemin de soie.
竜が居ないことは誰も証明できない
tiens, un spam venu d’en haut
De l’amour né d’une défaillance de la raison.
(Subversion et inversions des contrastes qui donne au concept plus d’amplitude, voire toute l’amplitude d’amour que chacun désir.)
L’inhabituel montreur de chevaux se tient aux frontières, il équipe la page indisposée, d’invitations d’auteur s’adressant a ses personnages réels. Son calcul tout réfléchit, est mort né, il le connaît par coeur, il en avorte comme on crée une absence , comme on accouche d’une mort, une faille absolue d’ou une sente de ronces s’étale sous ses pieds,comme une trouée parfaite dans l’aire prénatal de la raison, un vagin mental par ou le sens s’est envolé, une visée toujours déjà congédiée, condamnée a son retour au crane des cavernes avant même de paraître toute achevée incarnée . Le désespoir est une maladie de la raison, l’origine dans l’impossible conception du bois ou Diane repose, et tient entre ses doigts l’instrument du miracle désiré. Elle espère un Sinai de tribulations, un ciel de douleurs, une immersion dans la cruauté et le sang, un livre, un miroir ou apprendre l’immense leçon des douleurs, elle désire, tracer des routes de brises voies sous les furoncles du bonheur et les étains tout crépitant des goétie, et renverser la fascination du mal, ou, trop humain, elle apprend d’abord a lire l’absolu.
La négativité est première dans l’ordre de conception, forcement absolu, d’un esprit crée.
Et ceux qui les montaient, avaient des cuirasses couleur de feu et d’hyacintes, et leurs galops rechaussaient le foyer de lumière dans les yeux des pollens de sang, essaimant la hantise des cotes viagères de la raison dans l’océan ouvert du mal, la forge éternelle de son oubli, fascinante volupté et matrice des rêves ambigus, le synaptique siphon de la raison le seuil entre irréalité, ou l’amour s’éveille et conçoit l’idée qui enflamme les vapeurs d’océan, mais brûle aussi ses rêves et condamne l’amour de l’inconnu, qui est seule réalité pouvant surgir d’un tel fond de négativité.
Dieu n’est pas un être, mais le comment on se rapporte a Lui.
Le paradoxe du mal, en une force d’éclatement subjectif absolu, d’arrachement, a la fois, l’essence et la matière des yeux destinés a contempler l’origine et les fruits de la lumière.
Le ciel de clémence, se nourrit de lui-même, d’un éternel silence, qu’incarne la nature, dans sa lente absorption d’elle-même, hors les pépins consubstantiels aux trous noirs, les déjections de nos projections imparfaites, qui percent la lumière d’un filet qui ne prends jamais rien, et pourtant il est verbe , amoureux, pour l’entente de ceux qui s’allonge a son flanc, comme aux bords de l’Illynnos pour y puiser la force de chasser la graine du désordre, qui germe comme des furies, et qui siphonnent le miroir des réflexions, en tromperie des glaces, de toutes image, évide l’âme et l’immixe a son propre néant, car c’est sans représentation pré-conçue qu’on écoute le silence véritable, et le verbe s’évider, en son fond, nous portant a comprendre et a penser, notre trahison pourtant déjà bien délavée par des pensées sans teints faites sur soi-même, et d’autres désolées de ne pouvoir rendre a l’image qu’une densité pourrissante d’un être qui ne sait pas être dans un monde plein de sens.
Que restait il du reflet de singe, tellement égal a lui-même, devant l’armoire a glace?
Un vieux pardessus délavé d’age, et tout mouillé de vermine, trois bellâtres cachés au fond de leurs chapeaux de misère, et un mat de lumière accroché aux escarpements des douleurs, un éclat de chair, une inaccessible écaille, comme une tension accoudée au compte de ses fautes.
(Ps: Physiologie? Pas physiologique? A mon avis Auddi, la chose est indiscernable parce que le Christianisme est une langue étrangère, ou tout est nouveau en Christ, surtout nos anciennes catégories…)
Je plonge en l’enfance gagnée aux dames, je t’ai prié. Je me suis langui.
Meurtri Je t’ai conquis dieu cheval génisse lézard mulot.
Dieu suit les flèches en haut des toits,
peu m’en fallait pour dénigrer, rompre un mouvement du cou, lever la tête, enfin, grandi.
Mon dieu, je ne le faisais plus.
Essence de l’air enfance de charme, curieux rhyzome, à chaque pouls, défense de mère, vaisseau fantôme.
Nous nous sommes comptés,
à l’air marin, ordure des mules, jamais content, désordre de quatre murs,
tout petit de rien acide. pédant, acariâtre, volontaire, auto-mutilé, comme on en fait des découvertes.
Moi, dieu des désastres, mon inconnu c’est la prière.
J’ai touché de l’ongle un automne savant.
J’ai saboté l’hiver en ville, comme un poumon, de pleurs nerveux, de corps, dévisse.
J’ai craché mes poumons. J’ai craché la haine.
hiver de merde mon dieu, et toi tu savais, juché sur un rocher, toujours le même, ô poète suranné, et pourtant bon, que la colère la pose,
le néant déboule.
Angle caché. Mon dieu tu savais.
Ruiné. En vie.
Printemps arabe, réalité, porté par des instruments stables,
métronomes voyant la course dans les hommes, les yeux pleins d’or, contre le feu.
Claudiquant. Cravache! J’ai comblé mes lacunes.
Eté.
Lisse. Plein de femelles mon dieu. J’ai baisé comme on en fait plus. Vengé tous les autres.
Automne, Tu es là.
Automne, Tu es là.
Automne,
Tu, es là.
Antiphonaire.
La matière recycle les réveilles-matin
qui remontent le murmure d’âme
au chant des fillasses sans terme
depuis le chevalet de la terre jusqu’au bacille du vide en bénédiction.
Mais l’instrument graphique des torchères légumineuses
ovulent des nidations harmoniques a grande échelles de plan
qui ravagent l’univers gastrique des atrabilaires grumeaux cosmiques.
La viole enroulée d’une friction spermatique
défibrille du psychique caché
en dansant sur la théorie des cordes.
La volonté est un parmesan saupoudré de miel alcoyle hullullante unijambiste, borgnesse chaussée d’une paire de moulins a vents,
déboulonnant les écrous du derviche vissé dans le mythe.
Épluche jusqu’à l’ovaire la trompe jouissance des femmes,
ou soufflent les prêtres leur busin d’offertoire
sur l’autel des cris fossiles de l’église post politique érotique et roumaine.
Colle aux hydres de mars le dépôts des limaces
et les poissons d’avril
songeurs mensonges brassant les éphémères dunes de fables a travers les chants de poix.
Tes yeux coulent dans les décombres mental des incorporations du sang
Ton cerveau plonge dans sa mère morte, l’immensité de sel désorganise le scintillement des formes.
Tout juste, pour la table des matières cillées, trois samovars électro-statiques
sifflantes fumées d’alouettes sans troncs subatomiques
versant du lait de ciel chimique dans des tasses d’interactions frauduleuses.
Fi! des vagissements flous de parution incertaines du monde
tout cela n’est qu’un tremblement
une conflagration première des gerbes d’incarnations discontinues
dans l’enfoncement des densités de l’être ou nous commençons tout juste de pénétrer
déjà nous voudrions voler.
L’enfance des chimères, cavalcade jusqu’au noyau
par la baignoire d’archimede sur le dos des furoncles et des grosseurs cancéreuses,
indomptées, par le siphon du tao, entre les défi a l’esprit, sous l’arche des souffrances
gouverne sans dérive, la quille du mal dans le sillon
entre les écarts de lunaisons,
les monstres plus effroyables encore,
nous portent sur leurs plaies
a l’être jamais contacté.
Ô profond silence, cils d’or sur des pieta païenne,
confond ce ciel expliqué pour les bienheureux,
suspend le cosmos sous quelques princes,
rend aux trous de serrures ses capiteuses odalisques
et le lait aux louves.
Ô profond silence, emmeraude de foutre byzantin,
pose les éléphants sur leurs trompes,
qu’ils souffrent plus pour tous.
Chair de christ et croix d’ivoir
tous ce que chantent les rousses au lavoir.
Ô profond silence, amazones dans une trousse,
pour un coup de dent elles t’avalent les yeux,
quand dégringolent les ténèbres géométriques
laisse hennir le cavalier, pas le cheval,
bercé par ce beau Christ qui roucoule.
La souffrance de la disparition de l’être-vrai, comme incompréhensible et invisible parution de l’être-vrai redonné.
Semblable aux noyés d’amertume
par tous les pores de ma peau
miaulent des bancs de poissons qui s’échappent en s’enroulant
dans de grands braseros de chlorophyllienne encre
et de serres d’aigles, ou de poulpes, échevelés par de grands mystères brassant l’insomnie de l’oeil et les crampes de la retentions rêveuses et furieuses, de la mains et de l’iris voyageant en plénitude des temps a travers le naufrage sans borne de la vue.
Ils écartent l’huile sainte reversée sur les griefs.
Ils approchent borgnes aux mires de flottaisons des confins, et sapent le vertige.
Ils boivent l’iniquité comme de l’eau,
et la liqueur de toutes les légions du tonnerre
caille étincelle au formol des relaps.
Ils crient: « Clouer le pharmacien! Le faux apothicaire!….ses soins sont inutiles, le bien et les maux dont il parle sont fables et chimères, aucun d’entre nous n’en a jamais souffert ni ne les a jamais connu! Clouer le pharmacien! Le faux apothicaire! Avant qu’un mal nouveau ne se répande sur la terre a cause de lui! Son fiel envenime déjà les moissons de l’année, si vous l’écoutez il ne vous restera rien pour la moisson éternelle! Clouer le pharmacien! Le faux apothicaire! Chaque homme né avec la faculté de discerner son bonheur tiendra son langage pour folie qui veut embrasser plus qu’aucun homme ne peut tenir! Clouer le pharmacien! Le faux apothicaire! Rien de nouveau sous le soleil, nous connaissons déjà toutes les souffrances des hommes, tout est faux en qui est pris d’illusion souveraine! Clouer le pharmacien! Le faux apothicaire! Avant qu’il ne se repente! Avant même que son scandale n’ettouffe le désir d’en savoir plus!»
Mais déjà sa voie avait frappé aux portes des inconsolées,
dextrement saisie par la veuve emprise des mains
torves des désespérés,
mains des veuves
tressant leur vivante mort désenchantée
avec l’unique lien manquant en toute chose
leur folle douleur et sa joie absurde,
les muettes cavalières du tourment
en pâture au démon
n’existant plus assez pour vivre
et trop encore pour mourir,
dansaient sur l’océan de souffrance ouvert et déchiré
sur la raison ébréchée par une cédille au tympan d’église
illisible et fondue, sur d’autres plans
puis reparue au retable de leur vie,
avec le bas relief des cieux, sous le feu de la lampe a nouveau gorgée d’huile,
dans le secret de leur communication
avec Dieu.
Vacuum
Pressentiment du système nervomissant
et éléments de psychologie angoissée
pour une physiologie des énergies insensées
d’après un schéme de symétrie Holbachienne
des cosmologies comparées
de l’irréalité a elle-même.
1. Le langage
Les pommiers de basse résolution bruissent de produits scalaires
en extension d’espace inhabité, vierge volume d’ondes, sans écart de pensée, sans connaissance permanente de la création continuée, génération spontanée des tumeurs de l’esprit, du dissemblable et fuyant intérêt pour l’ascendante cascade étoilée, sur de scintillantes ombres tout aussi constellées, pour rejoint le non-donné en lui-même, scintillement d’amour sans lien, genèse de la subjectivité, aux sources non cachées, mais invariablement fourchue de dents proche de la somme des lois égale a zéro, qui ne les définissent pas entièrement sans que la chute des corps observée depuis le compas de tes jambes inguinales, ne disparaisse dans la doublure du vide, d’où revient sans oubli sous la forme du piquant nectar insensée, l’éperon, dans chaque aiguille de tes cheveux Lazaruré.
L’arbre de faible intensité, croît au bruit de crevaison des temps d’arrières saison, trop dense au pourquoi, tout harnaché de nuées d’espèces sans gravitation, de mots irrespirables, de murs de trop de poids de maigreur, de migrateurs sans atmosphère, capable d’asphyxier avant de violer le panaché de liane par sa racine torve du plus court trajet des conclusions hasardeuses, n’incluant jamais l’exclusion de leur contraire, ou perd, au commencement, l’esprit, la connaissance de lui-même, jamais retrouvée.
La liberté, est la pomme dont il faut prendre connaissance sans la dépendre de l’arbre, ni la fendre d’hémistiches en grand nombres imaginaires hachés boursouflés de fibres d’inventaire sans pulpe, vivante et une, la braise exsangue de circulante sève, pour ne faire science des fruits évaporés, mais gouttant sur l’écorce innervée l’inhibition des mains plongées dans le bain d’énergie insensée.
Des flaques de mercures coulent dans les nervures des marbres, et bercent les ramures des châtaigniers somnolants, la foudre effroyable est légère comme une plume dans des artères de ciel immensément inembrasées.
D’accord Jérôme, j’en prends bonne note ;)
One day my prose
if there will be prose in those days
will be made up in deep black
i feel this will come even from the ashes of my absence
the word nevermore be spoken
all dream broken and all book token
my sunday bed whispering pleasure melted in a measure of void absorving all possible weeks
All i appeared to learn was to break dreams
maybe i felt them too pink too bubblishistical too boring
and destruction was my best dream
J’espère que vous ne me dites pas ca pour que je vous fasse un petit rabais sur le miel!…Mille, et mille mercis cher Michel, gagner l’estime d’un homme est, dans l’ordre humain la plus grande des récompenses, mais quand cette estime se gagne sur les difficultés d’une communication indirecte sans la trahir, et qu’elle lève l’isolement et la solitude de l’incompréhension permanente, alors je crois qu’on touche au sublime…Je vous embrasse les deux joues et vous serre bien amicalement les mains. Bien a vous, jerome.
Je suis calme, j’ai dû pécher sans repentir
ma pensée médite, forcément assoupie par un toxique
mon coeur est trempé dans le baume de la transgression du dégoût
j’applique au crachat de la vulve malade et à la sueur de l’anus mon ultime amour
l’outil charnu de la parole et des arrière-goûts
le renoncement des gestes hilarant qui se blessent d’un bouquet d’orties
pour avoir d’autre chose dans mes mains que ce crâne qui veut téter
ma dernière goutte d’encre blanche et de lutte shoppenhauerienne
.
je voudrais dessiner comme Dieu l’a fait
si moderne, si vrai
le caprice parfait, l’ovale
et l’escalier qui se tresse des caresses
d’un claquement de cils
*
Sentir la beauté dans son relent de vulve
pour le poilu sobre aux tranchées du nombrilisme clitoridien
qui tourne en cage le lait caillé des dieux
psalmodiant de somnambuliques victoire du majeur
qui n’ont jamais eut lieu
qu’entre les mains aux fesses.
L’important freudisme des saumonnettes remontantes vers l’Alaska frigide
en expédition de luxe sans destination autre que le port brumeux
dans l’évaporation jamais claire des filandreux sillages de son propre remugle, ö douce clarté de ma vulve! Transi épidermique, fourguant l’âme aux cales a mites, l’âme prise au piège des éditions de luxe des poly-mére voluptés du cycle de l’angoisse, Ö bonheur des cruautés!! gloire immense comme un vide qui cependant ne lune qu’a contre-jour d’un autre cercle de même paradoxe, tout autrement contrasté.
Pas de canada-dry s’il vous plaît.
Ame des calamités, âme des baraques a frites, bain d’huile saucée, et fibre qui tendent a la pure transparence de l’oubli dans la circularité
monochromatique des hors-saisons sans invariant, ö le plus beau, mourir d’evanouissement vagal, pale copie burlesque du cercle igné de coruscante lunaison…..
2. Angoisse
L’idée inconnue aux pensées, se cure les dents de son propre fond, et n’en retire que des emmêlements de points de vue, dont elle ne s’extrait qu’en recevant la nuit le baptême tombée d’ailleurs. L’arc-boutant des bourres se dénude de point de vue, s’effiloche muet comme bête honteuse d’esprit quitté par le sens de l’entière parution d’amour, ou bien renonce a l’idée un jour de mardi gras déconcerté par l’élasticité pratique des masques monstrueux du désir en conflagration onto-poétique de l’Un , au vide nécessaire aux face a face libre, au diaphane éther nécessaire aux transparences d’amour, à la force des attachements indéfectibles, aux embrassements des nuées ou se forment le brasier originaire de l’inhabitable innomé, de l’insignifiance dans l’appel d’air soulevant leurs informelles poussières fécondantes à distances l’oeuf sans rapport de la totalité ou le narrateur clôture le désir de réalité, se prépare a le dire, et a porter à la conscience la connaissance de son ductile et dicible salut. Les pieds peut-être pris dans la boite a poudre des femmes, ou bien alertent sur le sable ensevelit du choix. Il n’y a pas de totalité sans rupture. La perruque en berne des caravanes glissantes sur le désert, assomptise l’apocatastase délirante du désir tombée des lettres d’Eloim; la foret d’épines ou s’évide le coeur de désespoir, déchire aussi la langue du sens, pour que le sens soit un libre choix, malgré la grande profusion de fourches et de boucles aux noeuds du narrateur asphyxié et muet comme un incendie recomposant ses flammes parmi ces cendres et son tas de fumier, disqualifiant ses pensées, et son coeur, pour s’élever en excavant le désir d’habiter l’innommable souhait. Le besoin de Dieu est la perfection. Son voeux ne cherche aucun nivellement des contradictions dans l’ordre des raisons, puisqu’il dessine le reliefs d’amour, la corde pour se pendre, la sente sous les pieds du bonheur, toute creuvante d’ambiguïtés, de pierre de lune, dans les jade et l’ivoire des reliques et des fétiches précieux qui renferment dans la lumière des boues tout le sens de l’ailleurs. On radio-activa les boues résiduelles en grosse éponge à concept flambant neuve l’essorage des cerveaux. Des lors il n’y eut plus de penseur plongeant son coeur dans son propre océan mental. Plus de noyés, tel était la coutume, héritage que l’on tint pour plus sacré que l’esclavage au soit-disante divinités de l’être-vrai scientifiquement relevées. D’ailleurs le nouveau vient nu comme est nu Eve qui contre-écarte l’être à venir au coeur. Qu’il vienne ainsi qu’il aura été dit s’empaler d’éceuils aux récits du voyage, ou que la tragédie de toute l’histoire le revête des atours de l’accueil. A contre dire la pensée, vient la réalité d’une idée inconnue des pensées.
Interlude facétieux.
Les paralysies faciales d’une vitre de librairie, griment des accords effacés et précis, des visées majeures comptables d’inexacts réalités, contant leur drame géométrique a coté d’illisible auteurs a bascule sur la tranche des étagères, mais la grosseur des grelots laisse deviner une écriture comme l’arbre a ses fruits; l’incertitude remâchées de lignes inégales, ou tout goinfré de certitude malhabiles, je préfère claudiquer entre les chausses trappe qu’y rendre aveugle et sourd le voyageur édulcorant son âme de tout esprit de tromperie, préférant au voyage de menterie, saisir un livre, et a la réitération des mauvais jeu de mots du sabordement fictif, lire d’un auteur, la provocation insensée, le scandale qui pousse la vie, qui provoque légèrement la mort du lecteur et le rattache a l’auteur de l’impulsion croissante se dépouillant de son désir revêtue de sa réalité parvenue, toute cheminante a grand tirage de fumée débordante d’entéléchies au ciel sans bout suffisamment vaste pour choquer la voile fesayante des amers esprits dubitants, l’eau trouble de la passion criblée de dettes dentellières perdues au puits rejaillissant d’obscures échos de rémoulades sacrées, frappant au hasard des rues le sorts du voeux formulé dans sa course naissante. L’existence est une contradiction dont le monde se croit dépourvue par essence et ignorance. Comment un accord y serait il possible? L’import export des contre-façons punies par la loi, suppose l’enracinement des identités singulières dans l’ordre universel globalisant. Au passage, les douaniers effacements d’orages ont coagulés la syntaxe dans d’incroyables effrois amoncelés d’avenir chaotique. Et la taille des virgules a beau se contracter en uni-vers, la faille ne courts jamais le long de la blessure, qui panse la bouche d’hémorragie linguale. Et la cabane grince d’essieux, la jasserie poly éther du rêve ou trempe l’acier des harpes qui doivent transpercer Mobbie dick, au coeur de la mélasse irréelle du corps blanchie par la neige des mers, sureffective au solitaire ensevelit, trompant les couleurs dans la douleur des tons qui rendent plus incertaine encore l’harmonie que les paralysies faciales d’une vitre de librairie…..
Les salles d’attente,
les unités absorbantes
où le faire trépigne
sur lui-même,
s’annihilant
la plante verte m’invite
à adopter sa posture
le porte-manteau
me réifie
Et je regarde les gens
qui regardent des magazines,
qui regardent les gens.
Les satellites projetés hors de moi s’en vont sonder le cosmos.
Je me retrouve en face du vaste mouroir métamorphique. J’arpente les contours de cette contradiction spiralée, qui s’étend au delà de ma compréhension. J’interroge ses façades muettes, ses sublimes surplombs, ses effroyables dépressions, ses hypothèses surréelles.
Une pluie fine de particules anciennes recouvre, pénètre et engramme le golem à la bouche emplâtrée que je suis devenu.
4.Théantropie
L’azyme clarté des lampadaires poudroyant les leurres non levés du désir, le nourrissent de leurs détournements, mais l’angoisse est un retournement, une aufhebung ratée, un redoublement infini, ou l’idée du salut se lève comme le soleil inconnue d’un savoir que l’on a pas du bien, dans la crainte et les tremblements de l’enfer noétique de l’effroi, la révélation de l’onto-phagie absolue de toute volonté, de toute sensibilité, et de tout entendement, si l’incompréhensible n’est pas l’objet un de leur trine accord avec elle-même, entre elles et par elles avec L’absolu s’il doit avoir quelque réalité transparente quoiqu’incomprehensible pour lui, si sa propre réalité en dépend, puisqu’elle se délite dans le temps, que le souvenir forgé par langue tend a recomposer éternellement. Mais l’aube crépusculaire d’absolu pillé comme une terre émiettée de sécheresse sémantique immanente, n’offre encore aucune fermeté sous les pieds du pèlerin. Elle le pousse a se transformer dans le sens du salut. Pour faire le premier pas dans la lumière absurde il ne suffit pas d’avoir succomber au délitescences de toute immanence, d’avoir effacer du tableau toutes nos représentations objective, de s’être ressouvenu de l’idée de l’être inconnu, la terre promise n’appariait pas non plus par simple aufhebung puisqu’aussi bien l’idée de l’être dont l’angoisse est grosse, est aussi une idée dont l’être angoissé n’a pas connaissance, une idée de l’incommensurable différence absolue de l’absolu, auquel cependant il importe de se rapporter parce qu’il en va de notre salut et non d’un obscur de la pensée qu’on pourrait relire en gréce, ou dans l’histoire si celle ci n’a pas volontairement était informé de cette différence; encore faut-il que l’idée du mal ne soit pas absolue si on veut pouvoir agir et aussi qu’elle le soit si le salut est une grâce; encore faut-il accepter que l’égalité ou la compossibilite des contraires , les antinomies, aient pour l’esprit un sens comme sa déconstruction ou son dellittement qui pose la limite, les confins de l’esprit, sa finitude essentielle, ou se donne a la conscience l’espace de lisibilité de la grâce dans le temps; encore faut il rompre avec soi-même, accepter que le delittement se résorbe dans une création nouvelle, un être redonné a lui-même en accord avec lui-même et avec la puissance qui a l’a posée et a laquelle il se rapporte et bute les pieds au mur du langage, face a l’innomé, ou le rapport entièrement relatif se rapporte aussi absolument a l’absolu, et que cette pensée impensable, mais dévoilante la contradiction principielle de notre condition, dévoile aussi la différence absolue et le rapport a la transcendance qui se niche au coeur de l’absolument relatif.
Et que l’impulsion indiscernable de l’origine qu’on ne peut éclaircir dans aucun présent immédiat, devienne l’impulsion d’une éthique clarifiante et édifiante selon le sens du ressouvenir anticipée de l’espoir, selon la langue on pourra se dire qu’on est entrée en Dieu.
Il faut faire la vérité pour parvenir a la lumière.
On ne peut faire sans projeter l’espérance du ressouvenir.
La syntaxe précédant le narrateur a venir, se forge aux huiles saintes de l’angoisse ou le rien en se réfractant infiniment devient un lien sémantique désespérant d’où l’angoisse délie aussi mais seulement dans de grands transports de joie, ou au fond elle reste, inchangée, liée a elle-même, sans jamais rien offrir de solide en échange de l’effroi. Sinon une espérance de fer et de diamant produite par le désespoir, comme le souhait absolu de ce qui manque a ce qui est absent. La foi retourne le désespoir comme un gant, parce qu’il est la condition noétique de la sémantique de l’espoir. Et l’espoir la langue d’un être qui a terme et être en Dieu éternellement, malgré l’a venir encore de la clôture dans la différence absolue. Ou le solide semble bien inconsistant, hormis au hommes qui auront sceller des tribulations du doute religieux, l’antinomie antinomique par excellence, qui remonte au principe immanent et contradictoire de l’esprit, et interdit aux hommes de se penser créateur de la langue, sans perdre a jamais aussi l’espoir et la possibilité de renaître au fond de ce néant qu’ils chevauchent scellés au cheval d’angoisse qui les portent jusqu’à la Foi. Ou cesse le vertige et la liberté renais de sa syncope, lorsque le sens du présent s’enracine dans la lecture du ressouvenir éternel du sujet existant, tant que le sujet ne se dit pas son existence, dans l’espoir narrateur du souvenir de celle-ci dans l’éternité.
Si tu t’effondre elle t’éleve, si tu t’éleve elle t’abaisse.
La syntaxe de la foi opère la rapport synthétique de l’esprit, produit l’accord, comme on produit un nouvel organe.
Aime et fais ce que tu veux.
L’avenir est l’héritage de la langue.
L’être s’appartient éternellement par le souvenir, qu’exprime la langue, de soi.
La langue forge l’être dans toutes ses tendances.
Mais seule la langue ou je me suis éternellement transparent et libre, compréhensible entièrement a de l’importance pour moi.
La sobriété du souvenir est ce qui travaille l’avenir de la langue.
Tant que la langue ne travaille pas a jeter l’intime dans la confusion.
Le désir du ressouvenir est la foi.
Un ressouvenir en avant.
Il n’y a pas de nom
pour le chant stérile des apparences
ou se blesse la totalité en fuite,
pas de totalité
pour ce cloaque liquide
que de se déborder sans fin,
sinon de l’attaquer par un plus grand débordement encore
celui des confins
d’une totalité, portant un nom,
d’où l’on ne revient pas inchangé
ou l’on se perd dans le danger et la menace,
qui ne néglige aucun des chemins les plus secrets
de la terreur
pour rendre scandaleux d’aimer.
Grave, ajourné,
la date suspendue de la mort
sur les compressions des registres de ton étendue
d’où se retire le dernier degrés
au front des d’hippocampes d’or
traversant le néant pédagogue ontologique,
jusqu’à la moelle des os,
effaçant leur marche
au lac désaltérant
et que dis-paraît l’amour.
Vois, les cédilles de lumières, claudiquant
d’amour blessé
boire leur souffrance comme l’eau des lacs,
l’intelligence du ciel
dans les inversions réfractaires des plaies suturées.
Peut-on dire l’être,
la résorption des blessures?
Qu’est ce que j’ai dans la main?
Un livre?
Un corps de mouette morte?
Une indéfinissable illusion qui s’étire comme un infini A.D.N d’interrogation?
Un cloaque infecte, dont l’idée du contact me remue?
Un effroi qui fait trembler toute lucidité, de savoir exactement ce qui la tiens dans la confusion.
Oedipe est mort noyé sous la torture dite de la « baignoire ».
Oedipe est mort narcisse
fleurissante lucidité
dans la conscience tragique des dispositions surnaturelles
et divines
qui lui maintiennent la tête dans l’eau des illusions.
A t-on idée de la souffrance de l’âme
qui rend le flux sémantique des oppositions noétiques possible?
et de la portée et de la force de la certitude de l’évidence
qui agrège la distance du rien
retourne l’incompréhensible
en ciment aussi souple que les palpitations du coeur?
Un chat n’est pas plus un chien
et l’eau pourtant n’est pas moins que le feu!!
Le gel des spéculations au matin
suppose aussi que ce que nos yeux cherchent
dans les feux de l’aube a plus qu’une réalité sémantique
mais une satisfaction physique
qui traverse le corps d’impulsion
qui sont autant de suspend théorique
dévoilant l’intégrité des souffrances.
Le langage déchire l’animal spéculatif
et révèle un dieu métaphysique et transcendant
s’exprimant dans un langage vulgaire et commun.
L’esprit
ne peut revenir a lui-même
sans se comprendre justifié
par ses souffrances oubliées.
Le programmeur
de substitution
vous assure que vous serez
satisfait de son serveur.
L’encodage des données inconscience
dans le corps de transit abstrait des satisfactions suggérées
se fait sans douleur
et est déjà une satisfaction
que nous vous garantissons
d’un paravent deflecteur du rapport a soi
qui ouvre de nombreuses et radieuses perceptives
d’introduction des bourses dans la société
ou vous atteindre,
avec plus de certitude que le Prince de Machiavel
la faveur du public
l’unique autorité
a pouvoir donner l’illusion d’être quelqu’un
dans le système général des vains verbiages
ou l’or a toujours fait autorité
sur le coupe circuit sémantique
qui rend la souffrance insensée
et le tout théorique
illusoire.
Le désespoir
picore un oeuf de laine
nidifié sans suite
la mort iconoclaste de l’esprit
la fuite des signifiants,
le non répertorié
aux pieds des astres morts,
convulsif brouillon de lumière vaine
et grumeaux cosmiques
termes insignifiants
terrier du lombric fogateur de trames
avec un besoin de feu,
le monde n’est rien devenu
et tombe a double versant
la traversée du seuil illusoire de parution
en ressemblance psychique, analogique symétrie consolatrice des analogie
pour les mains veuve de l’esprit
retouchant du doigt l’impression du tout
plus angoissante encore, sous les désastreuses recherchent des lumières aux impossible assemblages non-synchrones,
(puisque toujours lumière trace l’espace de la différence ou paraît manifestement le manque du tout en chaque être)
la rapière théorique des Matamort spirituel
lutte et échoue
aux morsure vipérines de Gorgonne
toute oblitérant l’unique sagesse d’amour
le consortium payant des révélations propres a l’adoration éternelle.
Fais don de ton existence
a ta pensée
et de ta pensée
a l’amour
ou il déploie la corolle intégratrice des cercles de la donation originaire
a l’etre qui s’appartient
et qui se dépasse,
et est par le don.
je tiens a faire remarquer auddie que mon texte original comporter des cessures que votre traitement de texte a supprimer…
Holos et solus ipsé
1. Il n’y a pas de nom
pour le chant stérile des apparences
ou se blesse la totalité en fuite,
pas de totalité
pour ce cloaque liquide
que de se déborder sans fin,
sinon de l’attaquer par un plus grand débordement encore
celui des confins
d’une totalité, portant un nom,
d’où l’on ne revient pas inchangé
ou l’on se perd dans le danger et la menace,
qui ne néglige aucun des chemins les plus secrets
de la terreur
pour rendre scandaleux d’aimer.
Grave, ajourné,
la date suspendue de la mort
sur les compressions des registres de ton étendue
d’où se retire le dernier degrés
au front des d’hippocampes d’or
traversant le néant pédagogue ontologique,
jusqu’à la moelle des os,
effaçant leur marche
au lac désaltérant
ou dis-paraît l’amour.
Vois, les cédilles de lumières, claudiquant
d’amour blessé
boire leur souffrance comme l’eau des lacs,
l’intelligence du ciel
dans les inversions réfractaires des plaies suturées.
Peut-on dire l’être,
la résorption des blessures?
2. Qu’est ce que j’ai dans la main?
Un livre?
Un corps de mouette morte?
Une indéfinissable illusion qui s’étire comme un infini A.D.N d’interrogation?
Un cloaque infecte, dont l’idée du contact me remue?
Un effroi qui fait trembler toute lucidité, de savoir exactement ce qui la tiens dans la confusion.
Oedipe est mort noyé sous la torture dite de la « baignoire ».
Oedipe est mort narcisse
fleurissante lucidité
dans la conscience tragique des dispositions surnaturelles
et divines
qui lui maintiennent la tête dans l’eau des illusions.
3. A t-on idée de la souffrance de l’âme
qui rend le flux sémantique des oppositions noétiques possible?
et de la portée et de la force de la certitude de l’évidence
qui agrège la distance du rien
retourne l’incompréhensible
en ciment aussi souple que les palpitations du coeur?
Un chat n’est pas plus un chien
et l’eau pourtant n’est pas moins que le feu!!
Le gel des spéculations au matin
suppose aussi que ce que nos yeux cherchent
dans les feux de l’aube a plus qu’une réalité sémantique
mais une satisfaction physique
qui traverse le corps d’impulsion
qui sont autant de suspend théorique
dévoilant l’intégrité des souffrances.
Le langage déchire l’animal spéculatif
et révèle un dieu métaphysique et transcendant
s’exprimant dans un langage vulgaire et commun.
L’esprit
ne peut revenir a lui-même
sans se comprendre justifié
par ses souffrances oubliées.
4. Le programmeur
de substitution
vous assure que vous serez
satisfait de son serveur.
L’encodage des données inconscientes
dans le corps de transit abstrait des satisfactions suggérées
se fait sans douleur
et est déjà une satisfaction
que nous vous garantissons
d’un paravent déflecteur du rapport a soi
qui ouvre de nombreuses et radieuses perceptives
d’introduction des bourses dans la société
et vous assure d’atteindre,
avec plus de certitude que le Prince de Machiavel
la faveur du public
l’unique autorité
a pouvoir donner l’illusion d’être quelqu’un
dans le système général des vains verbiages
ou l’or a toujours fait autorité
sur le coupe circuit sémantique
qui rend la souffrance insensée
et le tout théorique
illusoire.
5. Le désespoir
picore un oeuf de laine
nidifié sans suite
sur la mort iconoclaste de l’esprit
a la fuite des signifiants,
du non répertorié
aux pieds des astres morts,
convulsif brouillon de lumière vaine
et grumeaux cosmiques
termes insignifiants
terrier du lombric fagoteur de trames
avec un besoin de feu,
le monde rien devenu
tombe a double versant
la traversée du seuil illusoire de parution
en ressemblance psychique, symétrie consolatrice des analogies
de la compréhension
pour les mains veuves de l’esprit
retouchant du doigt l’impression du tout
plus angoissante encore, sous les désastreuses recherchent des lumières aux impossible assemblages non-synchrones,
(puisque toujours lumière trace l’espace de la différence ou paraît manifestement le manque du tout en chaque être)
la rapière théorique des Matamort spirituel
lutte et échoue
aux morsures vipérines de Gorgone
toute oblitérant l’unique sagesse d’amour
le consortium payant des révélations propres a l’adoration éternelle.
Fais don de ton existence
a ta pensée
et de ta pensée
a l’amour
ou il déploie la corolle intégratrice des cercles de la donation originaire
a l’être qui s’appartient
et qui se dépasse,
qui est par le don.
@ jerôme.
c’est le problême majeur de ces pages internet. Elles ne permettent pas de respecter l’exacte disposition des espaces entres les mots. J’essaie, depuis longtemps de trouver un plug-in qui permettrai cela (surtout pour la poésie), et qui proposerai la mise en page « carrée » (un bloc plein), ou « calée à gauche », ou « calée à droite », ou « centrale », muni des onglets de mise en page adequat, comme dans word. Vous pouvez cependant appuyer sur la touche « preview » pour voir ce que cela va donner, puis revenir en arrière.
ma foi, c’est une contrainte litteraire qui en vaut une autre…bye, mais c’est vrai que c’est chiant, la formulation graphique est du coup tres limitée
@ Jerôme
Quelle inspiration vous avez en ce moment ! Vous avez une de ces verves, et un sérieux en toute circonstance. J’admire ! Puis-je, par espièglerie, vous rappeller vos mots : « non (la poésie), ce n’est « pas ma came » ». Eh bien, on dirait que vous êtes devenu accro :) . Tout le plaisir est pour nous. Encore (de l’espieglerie): l’amour remplace dieu, le grand tout est remplacé par un grand vide (la chimie et ses canaux anarchiques (l’amour) ne sont pas toujours affluent d’un fleuve, et ne retournent pas à chaque fois à l’océan (s’évaporent peut-être, et la redistribution sentimentale soupoudre nos terreaux bavards d’une pluie salée, divines toxines et pleurs sechés); mais n’est-ce pas le ton exact de nos métaphysique solitaires? J’entend, ici et là, nombre d’assertions à propos de cette fameuse solitude de l’être, et blah et blah et blah. Pourquoi ne pas plutôt parler de foule intransigeante, de nombre infini, d’accompagnement immense? Je veux dire, notre corps est seul, à regarder, à écouter, à se regarder lui-même. Ok. Mais sinon, ne sommes-nous pas irrésolument « pas seuls »? Les chanteurs l’ont tellement dit. Bien-sûr, et quoi qu’il arrive, le chant de la mélancolie et de la solitude est plus joli et salavateur que la parole pop et démagogique. Mais alors, quid de la transmission ? Les jeunes pousses ont bien besoin d’averses solides pour que leurs beau temps tienne, anticyclones guerriers, d’abord dieu, ensuite l’amour, ensuite la force, qui n’est pas toute rose, mais.. on ne va pas se laisser marcher sur les pieds non ? Bien le bonjour chez vous. Gonflez vos muscles et vos poumons. Tapez (en pensée), du poing sur la table.
Il faut je crois, continuer inlassablement d’incarner humainement notre animalité. La métaphysique s’oublie vite. Et on apprend à construire (enfin je crois).
Un être
Des croix s’allument, éclairs zébrant la nuit – étoilée de milliers d’âmes, perdues à jamais.
Des feux, aux mille queues léchant les murs, souillés de nos pleurs, secrets à force de haine.
Des soleils rougis aux passions des sens, cheveux mêlés autant que les corps lacés.
Des mains sanguinolentes – christs ou prophètes, désenchantés des mensonges de l’Ignorance.
Des regards illuminés, mais froids sans lueur pour condamner les meurtres de nos pères.
Avant la fin du jour, la nuit observe avec son amie la lune, le soleil-jour meurtrier.
Avant la fin de la vie, la mort observe avec son amie maladie, le règne de l’au-delà.
Des femmes aux corps de pêche s’offrent aux mâles, hérissés de pieux sales.
Des enfants aux visages d’innocence voient la lumière se ternir au fur et à mesure.
Des hommes, non sages, non adultes, préfèrent vivre cent fois leurs vies même si injustes.
Des couples aux liens tressés disent amour, sans actes de plaisirs pour perpétrer.
Des amants indociles rêvent de jeux aux raffinements subtils pour mourir.
Avant la fin du jour, la nuit observe avec son amie la lune, nos rêves s’éteindre.
Avant la fin de la vie, Dame Blanche voie s’oublier son amie maladie sur des corps trop blancs.
Et dans ma tombe imaginaire du Monde sera ma dernière volonté de vous dire…
Et dans mon ciel de rêveur infatigué, seul, je serai à vous plaindre de votre martyre.
Et dans ma nuit silencieuse, attrapée à un virus, vous direz des mots douleurs sans comprendre…
… que Demain est inutile !
(juin 91) A mes fantômes.
L’hôte du fantôme
1. Le saint homme éjectait des passo-doble contre mutin, qu’il digitilalisait par la trappe ouverte de ses cavalières insolvables, comme s’il avait jeté chaises et tables au rien, a travers son air de crabe interstellaire par les fenêtres toujours ouvertes aux veines pulvéreuses des fins de saison, par une béante aspiration avide du parfum des fruits de l’inexistence, des moissons de la mort, du ciel de l’esprit, qu’un vent soulève et apporte comme un instinct a rebours, avec une dernière bouffée de chaleur et de sucs automnale, par laquelle la nostalgie chasse l’odeur de paille des murs les plus dense, au lieu de s’y rependre en pure perte.
Les fruits s’étagent dans la lumière, ou l’on ne parle que la langue de dieu, qui ne dit pas tout et son contraire, comme les langues humaine, mais, par Dieu, dans l’effroi suprême, te juge et soupèse ton bien, avec celui de tous les noeuds défaits.
Lève les yeux au ciel
toutes ces choses qui nous dépassent
auxquelles nous ne pouvons rien
et contre lesquelles nous luttons vaincu dans l’idée
parce que nous croyons que ce qui nous dépasse
ne connaît pas mieux que nous
notre bien
notre unique
notre existence.
Toute cette lumière qui passe
et repasse entre les orbes magnétique de nos perceptions contradictoires
toute cette lumière
qui tisse et trame
la condition de se voir
n’est jamais vue
jamais perçue pour être jugée
autrement que comme une menace indéterminée.
Jamais perçue,
on peut cependant s’en faire une idée
comme d’une déliaison de toutes la tourbe dialectique
qui s’achève dans la parousie d’une vérité
et non dans une hyperbole démoniaque
de la mort
ou une sur valorisation de la réalité du néant.
Tant de choses devant lesquelles nous ne pouvons rien.
Contraint par impuissance aux choses de l’esprit
qui jongle,
auprès de sa découverte
avec l’absence de l’être
l’idée du fondement,
la connaissance de soi
librement contenu
en elle-même,
dans sa propre dialectique
ne se dépasse pas,
est une nature qui ne sait rien de l’effroi
un animal qui habite la subjectivité non religieuse
comme un cancrelat qui la déchire de l’intérieure
l’éjaculation des souffrances
projeté dans l’univers
ébranlant la voie lactée
qui tire la langue aux hosties de sang.
L’âme doit traverser tous les univers
et les transcender tous,
la petite monnaies comme les grands déballages,
pour que naisse en elle un désir de l’absent
qui relativise les conditions
accompagne de science
l’être qui se construit
par le savoir sachant qu’il est su,
la part d’indétermination reste,
mais elle cesse d’être menaçante
et le pathos
mûrit,
comme un alcool se condense
de vie à trepas
a l’abri du jour et de la lumière
asphyxiée,
la terre
libère ses parfums.
jerome. puis corriger « avec une dernière bouffée de chaleur et de sucs automnale » … en …. « avec une dernière bouffée de chaleur et de sucs automnaux » ?
Oh saigneur doué de larmes
non tu n’es pas sorti d’affaire. Je
Plonge en l’enfance (gagnée aux dames)
impénitences forfaitaires.
Je t’ai prié, langui, meurtri…
[ rampe d’école, commune ivresse
rampant sous l’eau véni vidi
vivié l’air pur arboricole
un véhicule, livrée livresque –
désir clinquant, petit voyage
– mais n’as-tu pas omis de Paul
qu’il, se singeant, Jacques a dit Pierre
vivantes – et moi qui me fiais aux décolles
plus toucher terre
bien dans mes grolles ]
…puis ai placé des mots de masse,
sur ma vitrine ensevelie,
comme une trace je t’efface.
Magasin blanc, sort infidèle
Apointance sur-réalisée
ça gaze et blotti dans l’appel,
frèle séjour, coeur irisé…
Mon bel outil…
n’a pas eut le fort
ni la belle
Le mental dort, c’est mes oublis!
jusqu’au précieux bord
sous ton aile
J’étais un conte virulent
un enfant va, jusqu’au sapin
les cadeaux du nord vont d’un ciel
jusqu’au sort-écrin de ta main
Issu de la Mélasse, tu retourneras à la Mélasse.
Bien sûr dans l’intervalle, tu pataugeras encore dans la Mélasse.
Ton origine, ton but et ta justification seront toujours dans la Mélasse.
Basés dans le mas des adieux
Les gisants gavés de manne
Puisent dans la brune trame
Quelques nœuds de dentelle fanée
Loué soit le trône ailé
Qui égayent nos vies évidées
D’animaux fâchés
Et tristes végétaux
S’il vous plaît permettez-moi de me présenter
Je suis un homme d’honneur et de goût
J »étais ici bas durant une longue année
vous savez, pour voler l’âme et la foi de milliers d’hommes
Je n’étais pas loin lorsque Jésus-Christ
a vu sans doute, sa dernière route, la douleur ..
je me suis bien assuré que Pilate
S’en lave les mains, et qu’il scelle son destin.
Ravi de vous rencontrer
J’espère que vous devinez mon nom
Ah je crois que ce qui vous choque
est la distribution des rôles …
J’ai hanté Saint-Pétersbourg
Quand j’ai su qu’une nouvelle ère approchait
J’ai tué le tsar et ses ministres
Anastasia pouvait bien hurler…
J’ai emprunté un tank
me suis promu au rang de général. C’était
lorsque la guerre éclair faisait rage
Et que les corps puaient…
Ravi de vous rencontrer
J’espère que vous devinez mon nom.
Oui, ce qui vous chagrine
C’est ma nature, et son dessein…
___________________________________________________________________________________
Please allow me to introduce myself
I’m a man of wealth and taste
I’ve been around for a long, long year
Stole many a man’s soul and faith
And I was ’round when Jesus Christ
Had his moment of doubt and pain
Made damn sure that Pilate
Washed his hands and sealed his fate
Pleased to meet you
Hope you guess my name
But what’s puzzling you
Is the nature of my game
I stuck around at St. Petersburg
When I saw it was a-time for a change
Killed the czar and his ministers
Anastasia screamed in vain
I rode a tank
Held a general’s rank
When the blitzkrieg raged
And the bodies stank
Pleased to meet you
Hope you guess my name, oh yeah
Ah, what’s puzzling you
Is the nature of my game, ah yeah
(the rolling stones . mick Jaegger / Sympathy for the devil)
Traduction personnlle.
Permettez-moi de me présenter:
Homme d’honneur et de goût
je suis parmi vous depuis de longues années
vous savez, pour voler l’âme et la foi des hommes
Je n’étais pas loin lorsque Jésus-Christ
a vu sa dernière route, piqué de douleur
j’ai tout fait pour que Pilate
scelle bien son destin, et s’en lave les mains
Ravi de vous rencontrer
J’espère que vous devinez mon nom
Ah je crois que vous refusez
la distribution des rôles
Quand j’ai su qu’une nouvelle ère approchait
J’ai hanté Saint-Pétersbourg
J’ai tué le tsar et ses ministres
Anastasia pouvait bien hurler
J’ai emprunté un char
et des gallons de général. C’était
lorsque la guerre éclair faisait rage
Et que les corps puaient
Ravi de vous rencontrer
Je crois que vous devinez mon nom
Et ce qui vous chagrine
C’est ma nature profonde… et son dessein
***
Le pardon : il faut voir la grâce partout pour le demander abusivement.
Car il pense que si il est demandé juste pour s’en tirer,
comme ça, avec une vie en mieux,
il mérite la demi-vie et la mort en double.
***
Starfallah !
Valve de nacre,
violée par le vent,
que l’enfant-feu foudroie.
Ô Artémis !
Prémisses de l’explosion,
à toi la foison de baisers que j’ai cachés.
Au laurier-mère,
j’irai pleuré la sodomie
pour vos pères,
en regardant sécher le sang des épouses.
Âcre vulve
chaste et sèche
que le père dieu humidifie.
D’un coup de laisse
Détachés Vît et Valve restent comme des fils
Orphelins du cours dans la nuit.
Prédictions jalouse et mesquines
à toi la moisson des baisers que j’ai montré
Au laurier-mère
J’irai pleurer l’assaut dommage
pour ce faire
tendance floue, je respirerai.
voodoo
moi croc
toi sangle
toi venin
ton regard drapé de haine
sorcier véreux au milieu du carrefour
car j’avais ri de ton manège
et de ta réclame photocopiée
« fait revenir l’être aimé »
déjà loin
je lui avait ri au nez à cet abruti
et lui, au milieu du carrefour de la gare du nord
il m’avait jeté un sort avec ses yeux
on eut dit qu’il poussait. Dessin de gosse? : cheveux hirsutes, globules exorbités
il était sévèrement constipé
« Du jour où l’homme a cru que la vie était un devoir, un apostolat, une mission, il a eu honte de sa propre puissance d’être vrai et, poursuivant des fantômes, il s’est renié lui-même et s’est éloigné du vrai. »
»Renzo Novatore’
http://fra.anarchopedia.org/Renzo_Novatore
Nous atteignons à présent un palier déterminant de notre progression ontologique
Votre mission – sauter par dessus le gouffre des siècles rédimés
Putain oui c’est raide, et plein de caca là dessous
De plus on ne distingue pas très bien la rive à atteindre
S’offre à nous une double alternative
On my right hand l’accès au multiplexe vernaculaire émergeant des brumes philosophales
On my left hand la dislocation métalogique sur fond de rédemption freudienne
On my right hand: Hampp & Doccle, Shop’n’hour and the Swinging Power
On my left hand le tri selectif des ordures
Tout est une question de déséquilibre
Tu hésites? voici mon conseil Rica Zaraï
Keep on going straight ahead, just grab what you can
Méfiance aux abords des flans théologiques
Montagnes flageolantes avec finalement très peu de chocolat dedans
Artung avec les kapos de la normalitude
Névropathes flagellants qui liquéfient à tout va
Il est avantageux de considérer les voies de traverse
Telle la voie sublime et audacieuse du fusible coupe-circuit
Avec ses réserves de trahison
Ainsi l’être noble fait briller lui-même ses dispositions lumineuses
Pas de blème
Whisky cigare sur la coursive supérieure
Jackpot
J’étais aveugle,
ses yeux et son témoin
J’étais sourd,
ses oreilles et son témoin
non-né
j’étais son souffle
Toute proportion gardée, voyage a travers tes disparitions, traîne ta mort au tribunal de l’oubli, cherche et traverse tous les déserts, tous les vides, empoigne tous les paradoxes, )passe de liane en liane au crochets des contradictions, et tu penseras mon fils que cette flamme sur le visage des délatrices, qui t’éveilles dans la haine, pour retrouver auprès d’elle le repos, est une flamme qui a besoin d’air, pour qu’elle respire, transpire et bave parfois, sans jamais cesser de danser comme le feu jamais connu, jamais oublié, mais toujours en train de coudre ton sein en suturant l’ombre et la chair de Peter Pan, l’esprit d’Odin et la pensée des nuées du Géant d’où fut extrait le monde. La vision est une aiguille qui perce l’illusion en rétablissant la vérité du non vue de l’ignorance traînée devant le tribunal de l’immédiateté, ou c’est l’angoisse de l’innocence qui se lit sur son visage. De la plaie d’intrusion, coule un fleuve noire et dense, sinueuse ondes qui claque a l’horizon, tombe en terra incognita, et en nous crée l’indécision. par un gain incalculable, donné dans un atome d’amour, qui est mer des logiques et de tous les arts, l’amour régisseur du réel , qui voit sans être vu, qui resplendit ou te terrorise, s’affermit ou t’efface, te concentre dans l’apparition progressivement réduite de ta disparition certaine, (sent tu, la dalle glisser sur ta tête, l’air froid de ta tombe, les vers dévorer tes chaires et remonté dans tes veines. Pourront ils grignotent tes voyages en ailleurs sont ils mémorisables?) disparaître dans son apparition, et apparaître dans sa disparition, « manifestation », « manif et station », le trou du tao, qu’on ne peut bien évidement pas comprendre ni saisir, mais vivre et penser et comprendre. En un certain sens pour vivre, être et pensée, il faut rattacher le tout a lui-même, se transcender, dans la vision ou la production d’image, qui re-itere l’organe de la vue aussi neuf qu’au jour de la création, lorsque les montagne était les corolles de la lumière déposant ses oeuf évide de miroir en vision, sur les pollen de la matière, lorsque le tout rattaché a lui-même était encore cohérent, avant l’apparition de l’homme, qui introduisit la déchirure du cosmos par son incompréhension et son ignorance , conseillère de la sagesse des princes de ce monde, devant lesquels on traîne l’innocence au martyr puisqu’elle ne peut reconnaître aucune faute vraiment. Esprit vierge de toute réflexion sur lui-même, que la repentance ignore, non par dédain, mais par logique, l’existence de celui qui sans réflexion ne se sait pas même être, volatil innocence..ssssssssffffffflllllllllssssstttttt…….insaisissable volubilis s’échappant de la ramure du chêne d’argent ou il s’ébroue de joie et de liberté en sautant de branche en branche, sous le couvert de la foret comme l’était la pécheresse devant lui, lorsque Son Regard éclipsa la réalité des Pharisiens qui la jugés, (il n’y a pas d’ombre au tableau vierge de dieu, pas d’image représentant Sa face, et au mieux, un art qui pose les impasses , comme on pose des pièges pour attraper dieu…..Elle éclipsa les jugeant, les relaps au travail divin, les Eliphaze de Théman, les Bildad de Schuach et Tsophar de Naama, l’esprit de Job était devenu trop vaste et trop profond pour l’accepter. Bois au porte, dors sur le vent aux fenêtres, baignes toi dans les germaniums publics, urine le long des trottoirs, ou aux bornes des lacs monumentaux, les bourlets de la couture, les ourlets de clair obscurs peuvent a chaque instant resplendir comme des épaves de lumière, luire du fond de l’invisible, retenue au fond de ta mémoire, comme un poème épique, in mente. Couleur et parole assomptives, d’esprit renfermé sur l’univers et ses concentration de chewing-gum-gum gum cosmique, pate a mâcher, brouter , endive c’est selon…. L’amour de la femme honnie et délatrice, qui accuse l’innocence d’étourderie et d’oubli, de ne pas la reconnaître est faux comme le jugement qui condamne l’innocence. La peinture sonne un la harmonique. Honnis elle ne l’est pas. Elle est objet de pitié, pour les retranchements qu’elle s’impose, l’air irrespirable qu’elle respire. Parce qu’elle comprine l’air de son jour, comme celui de la mer, tuée pour être rédemptrice, du feu-naufrage qu’elle a allumer en vain.
Il n’y a pas, dans ce maudit
Volume, de tentation
Pour une femme – Ars amandi,
Pour une femme – toute la terre.
Le coeur – des philtres d’amour,
Le philtre – le plus sûr. – une femme,
Dès son berceau est un péché mortel,
Pour l’un ou pour l’autre.
Le ciel est loin ! Les lèvres
Sont proches, dans la brume…
– Dieu, ne juge pas ! Tu n’étais pas
Une femme, sur terre !
Pour respirer
le plein jour au dimension du désir, et être comme on aime, et que masque la surface de parution quantique,
comme le reste secret, le non manifeste de l’incommensurable,
une clarté s’inscrit au dos des cartes, dans les mains poissonneuses des
joueurs inattentifs, au rhizomique jugement de toute constitution
apodictique de fin de parcours, dans l’obvie comparution des démesures, ou, nue de l’évidement d’effroi nous sommes appellés a être,
redoublé,et vibrant comme L’étoile tombée sur la tête des amants qui s’enlacent
et qui ne la voient pas?
Pourtant c’est ainsi que parlent les hommes,
d’eux mêmes.
….la science décrit quoi? Parle de quoi?
Le stéthoscope capte les battements dans la glaire informe
mais il est sourd, aveugle éternellement,
comme un organe de verre.
Le discours amoureux est aussi cohérent, infini
que l’est l’obvie mathématique
dont on ne peut que désespérer qu’il nous rende
un jour
l’essence spoliée de la réalité
quant il conspire a nous faire douter
des qualités réelles des baisers descendus des cieux
il ne voit que les glaires.
Bouche les
oreilles des feuilles dans le vent, entend comme tout respire, aspire
et souffle, dans la poussière l’île mage, bascanique construction,
porte de sables et de vents, d’eau et de feu mêlés, pour que
l’instable , la perspective nidifie au foyer des pollens de sang,
l’air et la transparence rejetée aux germinations du temps.
Colle ton oreille aux tympans des cavernes, aux failles des montagnes, aux vagues qui chuintent dans la lampe des phares, les bouilloires volcaniques écope en écho ton songe d’équilibre sur l’index d’éternité saillante, de tout son relief en toi, qui sur l’échasse de clair obscur ouverte aux îles-barges bascule entre les marges des images, par les voies de traverse, toujours fuyante, indécise leur chair d’aube, toujours orienté vers le chaud a mesure qu’on revet le nord sur le dos, jusqu’à évoquer la lumière, provoquer le vertige, et l’alternance d’éclipse et de rayonnement. Frotte le silex entre les faux tunnels de taupes grattant vers la lumière, éclaire le trompe l’oeil qui traverse le ciel aussi vite que la pensée, le secoue tant qu’elle le perds, et sans retenue lâché par l’innocence, tombe sur la frontière avec la mort, plonge dans le trouble, l’océan du néant, debats toi dans les limbes premières tant qu’elles jettent encore des ombres en travers du chemin, pour nous retenir, nous renoncer s’y enfoncer, s’y perdre, y souffrir, et apprendre a mourir, pour qu’un degrés soit franchit dans la maturité croissante de la conscience éternelle.
Et rebondir comme un atome perdu dans une pluie d’étoiles. Le ciel retrouvé, colmaté de tous les terriers creusés dans la lumière. Enlève ton doigts! Sinon l’effroi va te croquer…et plonge dans la lumière plomb des eaux-forte, jusqu’aux bas relief de la vie, palper les antinomiques briques du non-sens, du bain d’énergie insensée, qui te soutiennent et dansent en berne, le bacille du verbe en suspend des bénédictions du vide ontologique. Habites ton désir, ton esprit vrille ton origine sur ta fin. Secoue tes yeux de leur poussière de paille, les murs s’abaissent a mesure que tu progresses a travers les abîmes, voit! Une constellation est née. Puis rendort toi si tu le veux, sous le couvert des lactances et du sperme sacré. Et rêve encore si tu le veux, de la même félicite, d’extase de la vision toute transpercée du labyrinthe cartographie de tes désirs. Puis jouis du détachement , du suspend, du survol intérieur des assises de la contemplation libérant leurs ressorts, dans la puissance de ta vision, qui t’emporte en rédimant l’infertilité convertie des cloaques étouffant ou mue l’infini nécessaire au mandorles et aux flammes des yeux. « Mais n’oublie pas! dit le roi aux longues oreilles, que toute ta volupté innocente n’est qu’un carnaval de confettis, si on le compare a la douceur de mon règne. » L’innocent traîné jusqu’à lui, par les pouvoirs qu’il commande, ne peut s’en libérer qu’en subissant leur joug; accusé il se réveille, enchaîné au leviathan, qui affubls les contraste de dechirements moraux supplementaires, semant le trouble dans l’ame consciemment, pour que les contraste irréel qui scindent colorent l’esprit du prédicat réel d’immortalité accusée d’immoralité, de contrevenance a l’ordre des vies pleine d’ignorance et de sommeils sans repos. Entends tu la voie de la mort mettre en ordre de bataille les pièces du tableau? Elle est l’effroi, et tout aussi bien ta félicité, elle te berce quand tu dors, te cache quand tu jouis. Mais qu’elle puisse jamais te consoler! Cela ne se peut ni ne se pourra jamais sans mensonge….
Et si au fond chez socrate la logique de l’ignorance été destinée a refonder l’éthique de la reconnaissance de l’ignorance du bien, comme connaissance de soi,rendant possible, chez hades, le beau risque a courir, que cette ignorance soit l’appropriation du rapport au bien comme tel, au sens ou pour devenir chrétien en pays christianisé mieux vaut commencer par penser qu’on ne l’est pas, au sens donc ou pour pouvoir se connaître juste et bon, bienheureux aux champs Élyséens, il faut commencer par reconnaître qu’on ignore pas ce qu’on cherche, la béatitude de l’âme en Hades, tout en vivant dans une société qui n’en a cure; mais d’où sait on ce que l’on veut et désire? La question de la vie bonne n’a aucun sens si elle n’est pas rattaché a celle de l’immortalité de l’âme, l’immortalité n’échouant qu’aux âmes qui ont bien vécues, c’est a dire qui se sont soucié de leur félicité, et qui ont sues ressusciter en elles le savoir de dieu. Cette idée de la vie est l’élément hétérogène a une conception strictement mondaine de la vie, elle introduit le facteur idéal de l’ironie, le surcroît de réflexion qui surplombe et prend au piège dans la lumière autopsiante de l’idée, que l’on pense sans pouvoir la connaître, les confusions noetico-psychologique en lesquelles les âmes déchues oublient leur origine céleste et l’ambiguïté subtil de leur croissance, ou pour parvenir au but, il faut commencer par reconnaître qu’il n’est pas présent. L’ironie démêle l’écheveau du désir plein de constipations filiales, de mimétisme sociale, qu’appâtent la matière fécales des honneurs et des mérites que les hommes s’entre distribue de manière tellement fausse, qu’une vie bonne, non seulement doit être comprise comme exempte du soucis de l’éternité, mais encore, tyrannique comme la veut Callicles. L’ironie elle redonne une bouffée d’air au synapses comprimé et affolé des êtres sociaux, les plonge dans une rédimante et salvatrice impression idéale de la compréhension de soi d’un etre grandit au proportion de sa propre lumiere rattachée a celle du dieu inconnu; et cela est un fondement cognitif comme le sera plus tard l’onto-theologie cartésienne, puisque l’ignorance est la noese du noeme, dieu; l’intrus au coeur du dialogique qui n’est saillant qu’en ironie; les hommes parlent de leur vie sans se soucie des cieux devant un socrate qui n’est habiter que par ce soucis, ce qui produit le chiasme de l’ironie; l’ironie n’est pas un jeu, mais le sérieux de la vie soumise a une conception plus haute d’elle même, l’ironie elve a l’idealité de l’absolu cette realite qui nous colle a la peau puisqu’elle est nous-meme. L’esprit de l’ironie s’il s’appuie sur une schisme ce n’est que pour mieux remobiliser toutes les forces de l’individu prisent au piège de la substantialité relativiste de l’Etat. L’éthique ironiste ne connais aucune satisfaction objective, mais repose en elle-meme, dans une certitude subjective dont la forme est l’incertitude objective absolue (disons la surface quantique de parution prise au piège réfractaire des metamorpheme de la mathematique fractal?), dont le plan noetique n’est pas comparable aux jeu de langage Wittgensteinnien.(car la thèse de kierkegaard souligne la ressemblance dissemblable entre socrate et christ)
L’ironie est la maturité de l’esprit qui prend conscience du schisme entre l’idéal et le réel, qu’induit la con-science de soi, et la nécessité pour celle-ci d’élaborer un concept de l’être paraissant dans sa propre intelligence de l’être, pour qu’une limite soit posé au redoublement déformant ou au refoulement pur et simple de celle-ci, pour que du fond de l’idéal l’existant puisse revenir au réel par le désir de l’un ou il se projette et se comprend. L’individu gagnant entre temps le cadre conceptuel de la connaissance de soi, cesse de s’illusionner sur les finalités absolues que lui propose son temps, ordonne sa vie sous des motifs idéaux, et vierge de contenu, comme est vierge de résultat l’efficacité de l’éthique socratique voulant faire saillir la valeur éternelle de la conscience depuis son fond d’ignorance, dans un monde plein de sens ou pourtant l’accord ne se réalise jamais autrement que sous la forme extatique de l’intelligence remontant la source coulante du désir jusqu’au noeses fondamentaux, principe premier de l’esprit ou il apparaît que raison est et a toujours était connaissance de dieu. Et l’éthique , comme connaissance de soi, de son vouloir, de son telos, s’éclaire dans l’évaporation des contenus objectif qui occultent cette connaissance, empêche de la faire descendre en conscience dans la forme de vie de toute l’intériorité, par la dialectique du désir en jeu dans l’ironie, dévoilant, l’indexation abusive des normalisations sociales qui l’éloignent de son sens interne de parousie de soi devant le dieu inconnu, ou il apparaît que le paradoxe de l’ironie est bien de mettre en relief la vie intérieure devant dieu, dans la dislocation des rhizomes relatifs qui masquent l’absolu, comme on dialogue librement avec d’autres hommes,de dieu dans le secret du discours indirect ou les ânes n’ont d’oreilles que pour les propos de bouche.
bien a vous, jerome
Socrate n’est pas l’inventeur de la science des définitions,
il découvre le concept dune science dont l’être est l’enjeu: la subjectivité.
et un outil difficile a manier,
de pure transparence: la dialectique
Cependant toutes les branches de la philosophie contemporaine se sont passées le mot : dépsychologiser!
Comme si au fond les philosophes ne savaient plus quoi faire pour chasser l’ennui.
Ils ajoutent l’inutile a l’indifférent.
Dépsychologiser les mathématiques,
C’est une blague? Non.
Accédons aux process de la raison pure
objective et sans sujet!!
Or le désir est la raison
une vérité, non abstraite, mais un être de la vérité
qui doit faire la preuve de son amour
pour s’assurer de sa propre réalité
a chaque instant plongée et mélangée
avec sa tentation.
Le désir n’est pas moins cohérent
que la raison mathématique
mais il est plus logique
avec lui-même dans ce a quoi il se rapporte et se comprend
et plus réel si par réalité on entend autre chose que la suppression du sujet.
Nuit gravement a la santé
nuit grave,
ment a ta santé,
l’individu excentré
est fou, abominable.
Panne générale.
Abolition de tout vie intérieure
extériorité sans projet d’histoire
crise du capital des désirs
l’être et sens
Lingerie sèche des limbes inhabitées.
Mais meurt donc putain de société!!
vermoulue jusqu’au trognon de ta bêtise immuable.
Déjà d’autres jours bleuissent
sous ton ciel de furoncles
purulent étincelles de joie compréhensives
a la surface de tes bonheurs frelatés.
Freud est un crétin
ce n’est ni le monde ni la société
qui refoule le désir
c’est le sens de l’exister
que de refouler l’être
tout au bout du projet
ou le désir conserve
dans son anthropophagie
la pureté du sens
du coeur
de l’intention d’aimer.
La foi,
est l’accès a la raison.
Débouchons plutôt tout
les vins de France
avouons nous ivresse absolu
au lieu de la masquer piteusement sous les vocables les plus ronflants:
la raison objective, la logique analytique…
toutes ces dernières avancées de la philosophie sont du plus haut comique
et les frege et autre Quine seraient infiniment plus intéressant
si moins imbue d’eux-même
ils avaient considéré leur travaux
comme une propédeutique a une pièce d’aristophane….
Fini le temps de la critique de la raison,
la raison est devenu un mythe
une faculté détaché du désir
une musique sans musicien
aux boucles d’intemporelles ouïes
creusées en trous de mer
aux passages angélique rebouchée et comblé
de fraises tagada hautement technologique,
immergées de crécelles passementières
et peuplé du cruels pincements
d’une dignité de cadavre
de buveurs d’épaves en goguette apostolique
ébréchés et goguenards comme une cloche a plongée
sourde mais fêlée a même le soulèvement des jours
désoeuvrées et débordant d’ennui, comme la canne des cyclopes
fouillant, lasse comme nos mots creux, le mouton quantique, mort et vivant a la fois,
semant en fin de compte la confusion absolue
la ou le désir seul recèle la science et la clarté d’un monde plein de sens.
Poétique moi esprit d’incognito!!
en tâtant du soir la lampe fumeuse
comment rejoindrais-je le port?
Si je ne marelle mes pas
sur l’esquille des foudres
ou baleinent les parapluies
de l’échiquier qui entoure loupes
mes estuaires chimiques,
du grand rebond des astres
par le ressort du vide
ou je réverbère les rues
frappé de hasard d’esprit sabrant pour la première fois, l’haleine des ports amarrée depuis le fond des nuits ou Saturne inattentive et flasque répare l’outre sans songe, et le parfum des poisons, cuvés aux ventres des galets, leurs comas de porcelaine et d’astre nacré échappé d’un cil des huîtres siffleuses jusqu’à la lie, l’équimose des leviers par ou passe sans lendemain, a travers toute la machinerie rouillée des pores, le cours indifférent des mots comme des constellations nubiles de lièvres avortés et pris au pièges de leurs cris sans roman. Et les dunes, et la neige, et la cendre et les épines des pins, crissent en choeurs une fable, un dénie des montreurs de revue en livrée sous une pincée de paille, jetant le boa au cou du somnambule, et toute la lingerie des limbes en remorque des ménageries des visses épinglés au bouquets de leurs frasques traînant dans le bordels en hymne de toutes les tables des matières. J’écris et c’est la mort qui respire, qui sauve la partie, et l’âme des corps s’exorcise dans un coin du miracle.
Deleuze dans un essai éponyme sur la « Philosophie pratique de spinoza », dit une chose intéressante que l’on peut rapprocher du « wake » de Joyce, dont la pratique « intellectuelle » est d’un autre ordre que celle des Bouvard et Pécuchet de la science encyclopédique véritable tombe des intellects morts:
« Car a force de rencontrer n’importe quoi sous n’importe quel rapport, croyant qu’on s’en tirera toujours avec beaucoup de violence ou un peu de ruse (c’est moi qui souligne), comment ne pas faire plus de mauvaise rencontres que de bonnes »
p.143
Il est tres remarquable que Deleuze ne voit pas l’alternative au problème de la rencontre avec de l’inconnu. C’est précisément que le comment du rapport a l’inconnu, lui manque. Sachant l’importance vitale du mélange affectif avec la connaissance de la cause qui augmente sa puissance d’agir, on se demande comment le conatus pourrait connaître la joie, s’il devait un jour rencontrer et se mélanger a quelques chose de nouveau. Car alors il lui faudrait ou bien déjà connaître ce qui se révèle dans l’affect, ou bien considérer que ce qui s’y présente est nouveau, et dans ce cas, provoquer une rupture avec soi-même, qui n’est, a ma connaissance jamais évoquer dans l’Ethique comme elle l’est selon la christianité, ou pour devenir soi-même il faut devenir un autre. Ni comment le conatus pourrait découvrir du nouveau s’il ne risque pas une présupposition du sens de l’être et s’empoisonne d’une faiblesse?. De ce point de vue le « wake » de Joyce est absolument illisible, insensé, décomposant. Par contre, si on considère que le désir est autre chose qu’un conatus, quelque chose comme un désir de sens dont wittgenstein dit:
« Le sens du monde doit se trouver en dehors du monde » thèse 6.41
alors sur l’horizon de ce rapport a cette transcendance, tout devient nouveau, et le « wake » boucle et frise comme les cheveux d’un ange au sortir du bain.
Aussi contrairement a ce que pensent Spinoza-Deleuze, le rapport a l’indéterminé de l’avenir, devient source de composition et de joie pour celui qui pense
que tout est a chaque instant nouveau et indiscernable, que de la connaissance des effets on ne peut remonter a aucune cause, puisque c’est par cette angoisse que chacun peut se penser, se comprendre lui-même dans la parole d’un Autre, lorsqu’il répète ce qu’aucune languie humaine ne peut exprimer en vérité que « tout profite au bien de celui qui aime dieu. ».
que « tout profite au bien de celui qui voit large et aime dans l’étroitesse de ses sens »
autrement, je méditerai votre théorie de la rencontre, mais je n’ai pas lu ce « wake ».
Moi non plus je ne connaissais pas. C’est Manuel qui en parle sur son blog, et c’est surtout l’utilisation comme catalyseur créatif qui m’a intéressé. Ici le langage n’est plus image-monde, mais plutôt image-désir, ou mieux révélation d’une non-vérité du désir, de son déchirement dans l’incompréhensible miroir du monde, ou cependant s’assomptise le lien, la totalité en lui, comme un langage manquant, le besoin d’une metalangue (le wake) capable de parcourir la hachure du monde insubstantiel ou le désir souffre de son inintelligibilité, ce qui, m’a de suite fait penser au Wittgenstein du Tractatus et a l’invisible parution du logique sur la sémantique d’une langue qui ne peut se représenter elle-même, et de fil en aiguille, cela m’a donné envie d’écrire (pour rire bien sur) une sorte d’anti-tractatus, une logique du désir a laquelle je travaille en ce moment en me détournant un peu de la poésie et en ressassant mes vieilles lunes (mais il me faut un peu de temps parce que les gosses m’ont refilé l’éternel gastro des cantines…et je suis complètement a plat…)
Au demeurant j’aime beaucoup vos dernières productions avec Bissecta. Et peut être le Wake pourrait vous ouvrir non pas tant de nouvelles pistes ou de nouveaux thèmes d’écriture, mais une nouvelle « méthode » d’écriture, qui sans être une écriture automatique, impose un éclatement de la langue et une clarté accrue du désir comme visée de transcendance, enfilant les perles les plus inattendues sous la pression des paradoxes ou la sagesse consisterait a assumer une folie, et oblige le désir a devenir sensée en concevant son non-sens.
Vous qui, si je me souviens bien, vouliez définir une nouvelle forme de poésie, vous ne pouvez faire l’impasse d’une telle lecture. Je ne l’ai pas lu en entier, aussi ce que je dits est soumis a caution, mais il me semble que l’écriture passe ici de la mise en abîme a la réverbération fractal, et en un certain sens, de la perdition, au salut.
bien a vous jerome.
je me méfie un peu de ces poésies complètement niquées en tant que système. Le poète s’y perd, et perd surtout ses lecteurs. Il devient plasticien, et son public se transforme en public amateur d’art contemporain. Bissecta est bien plus persévérante et talentueuse que moi dans ces directions, qui sont des techniques « à muscle » qu’il faut travailler. Si ces méta-langues ou comme vous dites « révélation d’une non-vérité du désir, de son déchirement dans l’incompréhensible miroir du monde, ou cependant s’assomptise le lien, la totalité en lui » et que la musique ou l’impact macro-sémantique, la juste révélation d’un indicible qu’il nous faut à tout prix dompter ou « rendre », pour en rendre compte, alors je préfère utiliser la musique. La difficulté de ces travaux est qu’ils sont difficilement partageables et commentables, sauf par d’autres textes du même accabit, en qualité de « réponse », de monde humain dans l’inhumain qui soudain devient saisisable, saisit, réduit, contrôlé. f4 y contribue un peu dira t-on. Comme ça fait plus de vingt ans que je travaille comme ça, et tant d’autres ! tant d’autres! je me dit que ces facteurs devraient être pris à bras le corps et théorisés, mais… la théorie est peut-être plus simple qu’on ne la croit.
mais peut-être que bissecta voudra bien nous énnoncer quelques principes personnels qui prendraient alors la forme d’une partie de la vérité. Personnellement, j’ai déjà écrit sur la question, mais… je ne suis sûr de rien, alors…
ça pourrait faire partie d’une nouvelle rubrique de critique poétique… théorique. Je vais mettre ça en place.
Si la langue est nomade à la pragmatique communément acceptée, alors la poésie de bissecta est un média comme un autre.
Certes une métacommunication est possible par le biais de formes mouvantes afin d’obtenir un feed back émotionnel et jouissive ment inconscient. Car tu vois petit, ce sable, c’est toi qui l’a ramassé seul.
L’engrenage des lettres y grince quelques transcendances à peine subliminales qui encage l’égo, véritable bête furieuse. Bissecta n’est pas là. C’est avant tout un personnage fictif, un outil qui s’aiguise de désirs refoulés, un coquillage où l’on peut entendre vos mèr(d)es de lamentations.
Dans tous les cas il faut de la pratique avec ou sans trique sémantique: tout se remet inévitablement à sa place lors de la fugue de nos langues symbiotiques avec cet entrainement maniaque des femmes hommes sur l’enfer du choix avec le ricanement de Diotima. Du vagin à la gueule le saint axe ne sait plus où donner de son gland fertile. Croire au miroir tout comme croire au romantisme des Dieux, si et seulement si c’est durant l’ultime orgie laborantine que taquine l’illusoire passion d’être libre de soi car nous sommes la soie des formes pénétrantes de ce qui parle incompréhensible mais que nous savons tous en secrets radins.
Embrasse ces fragments/
Dieu à la césure…
C’est alors que : Hurlent !!! Les hauteurs à coups de lignes alexiques——————————————————————————————————-
—————————————————————————————————————–
—————————————————————————————————————–
—————————————
– SACHE FUIR –
L’anorexie de l’encre/
Mémoire menteuse du hasard !
L’aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaammmmmmmmmmmmmmmmmmeeeeeeeeeeeeee (élastique)
Détonne la gravité des ***************************************************
Et croit coucher le
8—————————————————————————————————————
——————————-Vestiges amollis de
l’écho——————————————————————Folle
effervescence————————————————————————————————
———————————————————————
– SAC RESTE –
Putain, mais la théorie, c’est la pierre à aiguiser!!!!
Je croyais qu’ici c’était la forge…
Cher auddie, je n’ai pas de « théorie » personnelle du « don », je le répète, j’essaie juste de transcrire, d’approfondir dans la clarté, une expérience de la christianité. Que le christianisme ait a voir avec la poésie cela va de soi puisque dieu est créateur, or je pense que dans tout acte créateur, mais plus particulièrement dans la poésie, ce joue la répétition, la science du « comment » de l’acte créateur. Voir l’incompréhensible, le donner a comprendre au désir assoiffé des hommes et ne pas le leur soutirer sous prétexte qu’une quelconques science l’aurait reconnu absurde( la piètre découverte en effet, compte tenu de la nature de l’organe qui porte le jugement!!). Si une seule fois dans la vie d’un homme, celui-ci pouvait s’ouvrir a la compréhension de la réalité paradoxale du lien, a la compréhension de l’incompréhensible, et s’y livrer comme on subit un accroissement de conscience a mesure qu’on reconnaît l’objectivité d’un monde réfractaire au désir, en approfondissant son désir selon les vecteurs de l’infini qui touche au paradoxe, en comprenant qu’on ne peut pas comprendre, et sur cette antienne, faire paraître l’acte créateur et son sens absolu, alors je crois qu’en cette vision, ou il n’y a rien a voir, de l’acte absolu du nihil a l’esse, mais tout a comprendre contre tout ce qu’on a cru deja comprendre, et a désirer jusqu’à la souffrance ou s’incarne ce qu’on désir, on redonnerait aux hommes une idée et une impression d’eux même qui les étonnerait eux-même (et la est l’objet de la poésie, rendre l’intelligence de la création, de l’acte créateur aux hommes; concept tellement asservie a tout ce qui n’est que tripatouillage et branlette de chantier dans nos temps de créateurs de richesse et autres tas d’ordure a mettre au pilon de nos haines pour s’en moquer…)
Tranchée, détachée sous le feu
a la hauteur obscure ou tu m’apparais,
la vie auréolée par la mesure des mesures
qui s’envole des que tu veux la saisir,
dépoussiérant les perles dans la méditation des flaques
et le flaire des pierres agiles
dans le souffle incarné des boues
en ignorance,
mais avide instinctivement de l’idée,
qui rassemble l’espéré en vrac
et l’offre en don,
voulu,
seule et unique clôture du sens
qui nous cerne lorsqu’il échappe
et resserre le lien a notre endroit,
dans un avenir de précision du reliefs
comme on s’avance dans la lumière sculptante de l’Acte.
La main tendue jusqu’au rivages des confins
ne caresse jamais que le sable du parcours,
l’absence du monde sous la fontaine du désir
les jets perclus d’idéal dans le placards des nuits d’étoiles filantes entre les doigts
et la réitération du feu de l’être perdu
est le linge des Parques, que ne resserre aucune armoire des sciences
d’où tombent en pluies géométrique et rangs bien serrés les cadavres
que la mie des astres n’a point nourrit
sans profit, sec comme une cep écrasé par le replie de toutes les dimensions
ou ils s’enivraient en buvant aux verres des sciences
l’oubli de la sustentation parfaite
d’un corps
plein de sens et déchiré de désir.
Le poème est science
dont nous avons oublier l’objet.
Elle est science de la vie même
du devenir concret d’une impossibilité,
la science du souffle de la boue envisagée dans ce qu’il restera d’elle.
Devenir poète c’est comprendre comment Dieu est créateur
c’est refaire, abstraitement,
et dans les limites de notre finitude
le mouvement de la création
l’ex-nihilo étant inconcevable
on se rabat sur l’impossible.
Mais cette science déchire notre être
et alimente la perception du lien
par notre propre sacrifice.
Aborder le théorique c’est aborder le polémique et les questions qui fâchent.
Aussi, ma position théorique ne concerne que moi seul, je ne prétend ni l’imposer ni la substituer a la mesure que d’autre se donne. Ainsi, pour moi, il est finit le temps des théories sur la poésie: le poétique (au sens large d’acte créateur) conserve
une vérité éternelle que vingt siècles de sciences ont verrouillée et embrouillé sous le fatras des bibliothèques et des rayonnage de commentaires, mais qu’ils n’arriveront jamais a effacer complètement : il n’y a de vérité que pour un « je », pour un moi, un sujet qui parle a la première personne et qui s’approprie le sens de ce qu’il en comprend de l’être. Fondamentalement ce qui se joue dans le poétique c’est le sens de l’éthique (critère infiniment plus important lorsqu’il est question de reconstruire un monde en ruine, puisque les projections abstraites qui n’émanent ni ne se rattachent au sens de ce qu’un sujet en comprend de l’être, ne font pas sens pour lui, mais servent au mieux a bâtir un monde d’angoisse et d’une manière générale a accroître la quantité d’angoisse qui pèse sur les épaules de chaque existant). Le poétique est l’autre du discours objectif sur la réalité; parce qu’il inclus, suppose toujours que le moi se possède dans l’Un, dans la conscience de l’éternité ou se réalise le poétique, et que le désir est la loi de cette possession paradoxale de soi. Nous vivons sous le règne de la signalétique absolue, sous le règne de la normativité toute puissante, qui loin d’alimenter le désir de sens, n’a de cesse de le tuer dans l’oeuf, et de maintenir le désir dans une dialectique de l’indétermination de soi ou le choix éthique deviens de plus en plus difficile a réaliser parce qu’il est démentie par toute la substantielle institution des signifiants mort-né que chacun doit répéter pour enter dans la danse sociale. Le déclin de l’engouement pour la littérature et la poésie sous nos cieux mathématisée ne fait que témoigner, non de l’invalidité des propositions poétique eu égard a la vérité, mais du manque absolu de « vie intérieure » de nos chers concitoyens qui certes manipules des machines et des forces qui auraient fait rêvé J. Vernes, mais au prix d’une déréalisation de leur propre subjectivité, qui se couronne partout des mots d’ordre a la mode de « mort au lyrisme » et « désubjectivation », que cautionnent certaines philosophies Vienno-allemande, ayant emprunter leurs concepts chez les pères de l’église en supprimant (ou ontologisant) la vie intérieure dont ils étaient les marqueurs intellectuel du paradoxal suspend en nous. Ce qui appartenait a la maîtrise du vide intérieure est devenue espérance de bonheur mondain, ou pur nihilisme. Mais ces alternatives ne sont pas des fatalités, ce sont des choix philosophiques contre lesquelles valent tout aussi bien les éternelles vérités de la religion. Certes la poésie ne guérie ni le cancer ni la tuberculose, et si elle est une science, elle l’est comme un monstre mathématique comme une équation intégrale des divisibilités infinitésimales, mais aucune chimio ne guérit du désespoir comme seul l’intimité du lien avec soi renoué avec et par l’acte poétique créateur est capable de le faire. Si les hommes étaient un tout petit peu cohérent, alors avant même de poser la première pierre de l’édifice de la société post-moderne qu’ils veulent bâtir, ils s’assiéraient et ils mesurerait la hauteur du bâtiment a venir, a la profondeur des fondations, la est l’acte poétique par excellence, le lien de la verticalité, le noeud subjectif qui ne doit pas être reprisé dans les cabinets des psychanalystes, mais être mis avec tout la certitude du roc a la base de toute formation intellectuelle capable de soutenir l’affrontement avec la vie et le monde. Sans cette compréhension, qui ne s’acquiert que part l’expérience poétique, l’épreuve du lien et de l’accord avec soi-même, tous nos mondes, ne sont que château en Espagne. Dans tout acte créateur le moi évide son rapport au vrai, évide le noyau de la vérité en laquelle il est tissé. Le problème n’est donc pas tant de théoriser ce qui se réalise dans le poétique comme arche subjective, mais bien de produire l’ensemble critique d’une société dont tous les produits intellectuelles vont a veau l’eau parce qu’ils n’ont plus la force passionnée de se raidir contre la spoliation scientifique du discours vrai qui appartient a la première personne du singulier. La sci-antification de la culture, alliée a la novlangue manageriale des injonctions incontestables proposant des normativités abstraites et générales, périphériques pas meme tangentielles au désir d’une syntaxe du sens a la premiere personne, qui trouve en elles l’assurance a priori de refouler toute souffrance en s’assurant mathématiquement une situation stratégique de rentier dans le monde, ont émasculées la subjectivité de son noyau fondamental. Relisez « La laitière et le pot au lait », c’est simple comme bonjour, le désir est l’assomption en nous, sous l’incognito du désir, de notre être dans le discours conjugué de l’Un par un esprit ou et seulement ou le monde devient pour lui plein de sens, qu’il soit post-moderne ou déconstruit. Que Perrette se casse la gueule c’est dans l’ordre, puisque il s’agit d’une assomption, d’un devenir, ou les représentations objectives de ce qu’on en comprend du sens de l’être seront socratiquement gommées pour qu’en l’idée se dégage l’intention transcendante d’amour dans son identité avec la visée de sens du désir, corrigé par le repentir, pur d’ilmage dirait Ekhart, jusqu’à ce que le désir répète l’intention, sans image, de l’intention d’amour qui transcende tout chose et fait advenir le néant a l’être en nous. Et il faut qu’il en soit ainsi au grand dam des savants, parce que la vérité ne leur appartient pas, parce qu’elle n’est pas une affaire de culture, d’élite, de progrès dans l’histoire, comme si les hommes de demains devaient être plus vrai que nous, mais d’éthique ou même le plus ignorant et le plus pauvre, le malade, l’infirme le moribond, l’incarceré, le crucifié peut être parfait comme le père est parfait.
Sysiphe souffrit condamné a n’être pas en somme.
Nonne déambulation du vide,
au surpoint des lunes blossies du mont crénelé des roues
évidant la pensée désemparée des naufrageux doutes
du bouillon dissimulé en elle
la couche d’une aporie fruituive et mortelle,
d’une rupture avec les séditions
une grappe de baies a l’épais taillis de l’un systématique
pendeloque d’oeil argousins maudissant l’esprit des mots d’ordre sans amant
mais reliant la sainte note
revenu de la soif de tout
relisant toute la nuit
quittée au port de la détresse
et incarmerer l’erroir du ciel sans erubescence
aux passes en blague a la fin du mauvais sang,
tant s’extirper rayé au versoir du soc
est-il tu sans crédit?
Ce serait pas de veine….
Tomer la librairie éventée
des pages incertaines
tout retourne a l’unité
fut il moins aimant qu’auparavant.
Mais si ton désir n’est qu’inventé
alors tout est perdu
et tu ravales les ages sans raison.
Le repas des scies
robe l’essence des vins fous
et le ciel en dragées
dérobe mes cyprès
sous terre excommunié
avec la lucidités qu’elle t’avoue
elle bats pouls de vérité
aux douanes du fort salé
enroulé dans le turban d’Abraham.
Est niait qui rit
de venir ou ruine
la raison science.
Attrapé doué-voué
séquelles ruses redouchées
du pardon des flammes
commensurable danse
étirant l’ombre inquiète…est-ce cette aporie, d’où rien a germé?
Catharsis et édification
L’elfe faisan perché
sur l’os nu éléphant du monde
et niché dans l’orbite cave
et noire de ce crane toujours penché sur la mangeoire vide du sablier,
errait comme une pensée entres les pôles
des mâchoires qui ne cernent que de loin encore
les premières lueurs de la réalité
de son effroyable arrêt
ou tout sera ce que nous pensons qu’il est,
comme nous le seront pour nous devant dieu
sans considération de seconde mains
le jour de la dévaluation des fausses monnaies
ou se resserreront les tours d’écrou,
jour qui n’est rien,
pour la conscience de l’éternité
puisqu’il est déjà tout
le train de son devenir
rattaché aux mamelles
de la lune tirant son lait
derrière les cris des encarts publicitaire
entre les murs de la nuit
qui masquent la moitié
de son alphabet
incomplet.
Ôte l’épine avec l’outil approprié.
Espère, parce que l’ontologie
de l’inconcevable ne contient aucun savoir sur l’être,
tu peux en penser la paix,
malgres la terreur
parce que sans ontologie,
la pensée s’infléchit en réflexion inquiète
jusqu’à produire une nouvelle
impression de l’être
ou la certitude de l’impossibilité
d’une compréhension immanente
innerve toute la conscience
toute appréhension
des êtres advenus depuis l’avenir
en un présent, un don
qui possède une qualité différente des cents thalers idéal:
la réalité
ce moment subjectif
idéal,
ou l’accord de la pensée avec son objet
qui n’est rien,
ne trouble en rien l’âme
consciente de son ignorance
bien qu’il met en lumière
les ruines d’un désir
gisant dans la poussière.
De quel songe habillerons nous l’animal?
De sa propre pensée, et connaissance de lui-même.
Il n’y a pas de cadavre au fond de la pensée…
tout s’y reflète harmonieusement,
tout y est vivant,
en symphonie systématique,
sans referent,
sans
pour l’animal parlant la langue de son etre
Sans intermédiaire est la lumière
empilant les vivants sur les reves
qui desserve le présent,
le leste
d’un vide et d’une incompréhension
qui est un nouveau pathos,
celui de l’éternel
(Ô homme de peu de foi,
profite pendant qu’il en est encore temps
de la compréhension toute relative et fausse
de ce qui est réel!!
l’après, se profile déjà
s’annonce en toi,
le désir qui a tout évidée
des insalubre hésitations d’Augias
est ta conscience éternelle
dans sa forme cachée a toi-même,
qui en diminue la qualité
la réalite sensée
de parution commotion absolue,
comportant l’index des conditions
relatives,
puisé et prise
dans le temps
comme on extirpe une explication
eternelle a partir de données relatives
d’un animal lavé et blanchi
des hybridations de son désir
qui le porte a reconnaître,
pour exister,
la valeurs réelle
de ces qualités relatives
qui infecte la certitude intérieure
et en trouble constamment l’intelligence,
pour que l’accomplissement de la pensée
dans son éternel suspend définitif,
puisse se rejoindre
comme l’essence s’enlève en passant
du possible a la réalité
pour que l’intelligence
puisse se comprendre en elle-même
en mourant,
comme on intègre un corps d’armé,
la société des poètes
la phalange des anges
s’accroissant d’une exclusion
d’une adoration inclusive
productrice d’une matière céleste
intelligible jusqu’à la transparences de l’identité de la pensée et du sentir,
lorsqu’elle a su se détachée de tout
et grandir en oraison
attachant son bien a son chant
voilant tout ce qui ne lève pas.)
L’oeil encore enfoncé par delà les brumes
et les alternances du coeur,
lapant la limpidité de l’air pur
et la vigueur de son effroi
toute contenue
dans une légère impression de fraîcheur
une jouissance sexuelle de l’esprit
se passant a travers,
la plénitude d’une d’ardeur s’évaporant vainement
si elle ne retombe en pluie sur les déserts
arides que le désir impose a l’esprit,
si elle n’est rejouer
dans le même cadre historique
que celui en lequel
elle a suggere le desir
revelée qu’une qualité nous manque
pour repeter ce qu’elle evoque
de pleinitude et de joie
dans son sévere régime,
ou au contraire,
selon le monde,
fond tout plaisirs et toute joie
d’etre.
Costard trois pièces
du complet renoncement
pour que paraisse l’esprit
dans sa matière
et un corps son âme
de l’incalculable témoignage
imposé par le désir
décapant et déliant
un besoin
jusqu’à la complète parution de sa raison d’être
manquante,
et qu’il faut donc chercher
ailleurs qu’en lui.
Elle était resté incrustée dans l’hémorragie du ciel lobotomié
la bleue rondelle du parchemin
des explications dans le chant du rouge gorge.
J’ai rendu tout l’ossuaire des agapes
avec le vin nouveau des apnées d’eau confite
a l’haleine croupie des fées mentales
des pèlerines certitudes ventriloques de la tautologie
marchant sur leurs pas (de) sage
guides d’impasses éberluées au gai-arpents des bogues a voie insulaires
numides et blanches comme des tueries isocèles
les nuits de saint Barthélémy des confréries de spectres.
L’esprit des colères me quitte
avec ses champs de bataille équidistant
ses racines hédonistes pourrissantes sans conquête
sans chambre d’écho, sans voix, sans odyssée
renversant le sens et la fonction du désir
matérialisant l’âme par l’insatisfaction d’un don
qu’emporte aux contrées immatérielles
d’idéal goélands chaussés d’or.
L’éruptive auto-destruction
dans l’oubli des natures auto-constructive
n’a de cap purée qu’une hélice bleue de poisses cumulatives
au sédimentaire solupsyché vivant la perte d’identité
des arracheurs de dents
comme on saoulage le vagualohms
par le restress des affres de la filiation
l’éther miel d’hiers ajoutés au sans lendemain apeuré
des cases en émoi d’avenir
mélangées sur l’échiquier du dédale
ou l’impondérable désespoir fomente sa destruction
pour inverser le sens
de ta vie.
La foulée oubliée
la plénitude vide
l’insouciante viduité
du pas de coté
des transfuges impressions évasées
du désir dans l’absolue commotion de parution divine
ramènent le tunnelier
a l’antécédence du concept a posteriori
de sa vie grommelante de runes
apophasiquement scellées
sur le bout de langue écartelée
mais libre des rapts muets du scandale,
des cellules alcoolique, ces mitochondries du vent, ou crève et se multiplie
la confusion de toute pensée d’avenir
dans le bouillon de son ignorance
sans ontologie possible
le présupposé du miracle
toujours présent.
Comprendre sans tuer le désir,
parler la langue façonnante
et abolir l’ancien pour rattacher le mêlé a l’incréé
sans confondre les temps
la condition et l’accomplissement
selon le parcours du givre
sur les volumes festonnés de neige prénatal
de la permisse impression de nos êtres éternels,
saisit d’impondérable
sidéré d’insaisissable
habité de la joie bâtie selon le plan
essentiel des souffrances,
renversé l’inhabité en plénitude inconcevable
de l’accord des êtres en esprit,
le corps même d’aimer investi de l’inexplicable conscience
du rhume des foins après l’hiver nucléaire
du sacre ou louvoient encore le train des soirs,
semblant moucher le miracle
autour de l’oeil de verre sensible
a l’émulsion baveuse des eaux louchées dans les bouilloires du thym.
L’essence des crues
décervelle l’inondation émondée
du ciel retenu par coeur,
en existence selon l’esprit qu’il appartient,
au désir de comprendre
pour s’élever au-dessous des profondes terres heurts irrésolues
a hauteur des douceurs de sublime paix
choisies et conçues inconcevables
comme l’involutive puissance de l’incréé
le shoot divin passe par le sang
du carrousel et dévale dingue
au trou billonnant du vertige
toute la fauconnerie des souhaits
ou se dissout l’appel unique
et sa défense
de ne rien tenir d’accompli
selon l’espace et le temps
qui ne contienne l’éternel mutisme
des souffrances ressouvenues,
des limbes trépassées de la douloureuse naissance
en pleine conscience ou le désespoir vivant
fut terrassé par l’increation d’amour
dans les noires orbites du déchirement
et ou fut enjamber la brèche des tentations
de se croire acquis et définit en ex-prit
(par lui-même)
et en vérité,
(désentraver par le désir)
parvenu aux transparences
(qui subvertit l’intelligence vraie)
d’un inintelligible interdit
(d’un être perdu dans la pensée de l’avenir)
par un être qui n’aurait pas parfaitement désiré
l’intelligence du désarroi
sous la dernière épilation de lune
employée a d’inexplicable halant
de boue noire
hochant la poussière des dunes
a la matière du ciment
liant l’un
finalement
par un éclat de rire.
mohair
Par le fleur de la mort
sapienphageant l’omerta
l’état nom hors de doute
du nom sans chose
au nom du Perd, du fil
et du sa pristi
turbulente monnaie de signes vapeurs
(s’en va l’heur absolu des nombres réels)
sapé d’étayage mandarins
fourré de singes affolés
jets de briques régressifs.
Eckir Bach,
jouiere de son art
ductile
provoquant
ses matières
selon le goûts de ses dons
sans représentation particulière définitive
jouer en marge immergée
toujours poissonneuses
comme une cascade
de limpidités ecailleuses
et froides qu’on tient mal en main
pleine de promesses,
pleine d’alluvions,
tentante comme des émeraudes
…….des bris!……..vieux débri fellateur des nuits reines!! face au miroir pilé,
l’incontinente image de l’absolu!! veux tu rire par les yeux, sentir par la mousse,
et etndre ta serviette
au val ourlet de chênes
par ou passe le fleuve couché comme un arbre mort
en étouffant une féerie naturelle
d’oiseau noire soulevés
par la pensée de la faim,
qui se dispose pathétiquement
nerveusement, comme on resserre une disposition affective
en changeant de structure logique
l’oiseau, se transforme en bête
a ne plus chercher que des proies
courant sous ses ailes
et dont il s’épouille aussi parfois
en piaillant sous la musculature des bois
ou ils pionce, et rêve
en débattant du sens
du spectacle pour lui,
sachant qu’il n’a rien a y savoir
que l’auteur indirecte de l’oeuvre
qu’il accomplit par Lui.
Les bêtes n’ont pas de religion
parce qu’elles sont religieuses
elles compensent un manque de connaissance
par de l’agressivité dans le plein,
nous nous avons une religion parce que
nous naissons comme un animal sans religion
qui a plus de connaissance
qui tend encore plus
l’hysterie d’une impuissance
a atteindre l’inacessible.
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=f52QasGl-KA
Après la solidarité entre les peuples, la solidarité entre les civilisations. Quelque-chose d’assez fort vous saisit à la fin de ce reportage, qui est peut-être capital. Il m’a emmené au delà de mes espérances. Il ne fait pas relativiser la courbe de l’histoire, ni nos histoires personnelles, encore que l’intime et l’égo ont là matière à se repositionner. Non, il nous dit que la science fiction, c’était hier.
1. Mon phallus, entre les buildings, vise les nuages. 16H46.
2. Les corneilles parlent le chat pendant le bleu.16h48.
3. Nos tabourets toujours ébranlés par la brutale fumée.16h49.
4. Décentraliser cette sonnerie du téléphone fermant ta porte.16h51.
5. C’est la voir chasser gentiment son cornu.16h53.
6. Le rat est en train de sortir de la gueule du serpent.16h53.
7. Mortaliser l’espace à coup de temps, une échelle en tête.16h54.
8. J’ai encore envie de t’attacher à l’infini.16h55.
9. L’ascenseur cherche sa nouvelle cliente.16h56.
Une mouche avalée par le papier, tue!
La forme que prennent les choses
qu’en sais-je?
L’éthique avait sautée l’étape du religieux,
et intimait aux spectres d’achever la joie
de réunir l’être par un désir
ne manquant pas de théorie,
mais d’une loi de l’inconsistance
que soit un gain d’éternité
que d’y défaire le noeud théorique
dans le risque inappréciable de la temporalité.
Mais en quoi devaient ils se dessouder entièrement,
faire chaire de mort habitée le sceptre de la victoire.
Narcisse chaire de soit!
Liant ta vie a un lac mort, ou gisant jamais absorbé en lui-même,
sous la clef de dieu
coulé par l’offrande spirituel de la raison,
dans la réalité de son salut,
dans la présence transparence de la mort
ou flotte le cadavre ému,
percevant le peu de vers en l’occurrence
sur le bureau
ce jour la.
….énième manquant.
Des choses,
qui ne sont pas ce qu’elles paraissent,
même a les décrire la page reste blanche? Est-ce
par nature qu’elles ne sont rien de descriptibles?
J’ignore ce que sont les fleurs
quoique je sache comment elles sont,
a quoi elles ressemblent
en générale l’idée se fout du reste,
car c’est l’ignorance qui coud le fil des êtres
dans la faille du temps.
Le charme de l’équilibre
ou l’écharde dans la chaire!
Il faut choisir.
La fascination du vide,
est le seul système d’information fiable
le corps a corps avec nos perceptions
le lien de soi aux autres
et leurs parfums étranges
qui nous dérange d’aimer
nous en parle,
comme si dieu se mêle incessamment entre eux.
et le cri d’un cors dans la vallée
réunissant l’attention
au nombre d’or de s abeilles
hivernant
dans leur cage d’angoisse
ou l’ombre
réchauffe et repose.
Le réel posé dans la présence de mon rapport a moi même, suit
aussi exactement la loi de la proportion
soutirée
en l’esprit en même temps que devient
par le visible
hors de l’idée,
incompréhensible
resté indéfiguré par le trop plein de soi évaporé.
Sont possible d’autres modèles de vie sans hâte éphémère,
parcourant l’inertie jusqu’à la sombre
étincelante et vaginale matière inffracturée.
Le mur de la prière,
le mur de la santé,
les cordons sanitaire,
sont la limite de notre langue,
elle ne peut ni chercher ni concevoir son dépassement,
autrement que comme impossible
aussi la cité se garde t-elle et se protège
d’abord contre elle-même.
Cette impossibilité première est le désir
autour duquel tout tourne dans le bon sens.
Par essence déchargé
de la compréhension de dieu,
mais vivant l’impossible dédoublement
de l’intériorité dans l’extériorité,
l’entre-deux, inter-essé,
est la matière même sur laquelle oeuvre la religiosité
Sur ce qui ne peut être envisagé comme un objet,
mais un esprit
soudé au sentiment de soi,
un caractère
une intégrité
retenue, détenue dans l’appréhension vide d’information venant de l’univers
a autre chose
qui n’est plus de l’ordre de l’univers.
Ce qu’on voit a l’autre bout du télescope
n’est pas moins le moment qui va venir
et qui n’est pas d’où on le perçoit venir.
Aussi désespérerons de la prolongation de l’instant,
parce que jamais n’arrive la fin du suspend.
Nous cherchons des lois qui nous donnerais l’assurance sur le futur,
mais le crédit nous manque a lui accorder tout,
puisque nous ne sommes pas prêt de bouger socialement.
Toute loi s’achève avec la mort,
dans les nuées de l’indétermination,
la pluie d’avenir déverse toute son angoisse sur nous.
Sortir indemne du face a face avec le temps,
est inconcevable,
le même l’instant d’après,
vouloir se faire autre
disjoint
pour accompagner le temps
âpre à nourrir
de mort la rose éternelle du temps.
Fleurira t-elle
l’instant d’après?
Par les deux bouts du télescope
le mort a soi,
se reflète dans l’abolition de l’avenir
la présence de toute ma réflexion
dans l’effectivité de la matière
et de l’angoisse vaincue
mon double
devenu un.
La religiosité a fait l’homme,
elle est la nature de la culture première,
et la première qualité de toute civilisation naissante,
parce qu’elle constitue le passage
de l’animalité a l’humanité,
l’être entièrement réflexif y pense et entrevoit sa possibilité
dans l’effroi des changements impossibles du tout au tout,
cytoplasmiques apocalyptiques,
de sauter pour vivre,
d’un saut qui est le dernier stade de la vie d’un homme,
une qualité que l’on ne devient pas sans laver tous les phares de l’animalité,
au sein d’une république
ou être intelligible a soi
est la règle.
L’axe de l’absolu
des visions dans la vision
d’être vu dans le voir,
de voir l’invisible mue
double peau du monde
l’incroyable bulle
de chewing-gum rose
ou s’élève quelque chose d’aussi
massif que Khéops
ne me permet pas de me convaincre que khéops ne soit qu’une horloge stellaire.
Car s’il y a le temps,
alors il y a aussi l’image et le son.
Toutes les matières, manières du possible.
Magnifique promontoire!!
Élevé par des rêveurs cosmiques
Civilisation sans légèreté disait voltaire, je crois dans son dictionnaire.
Ans bornes le centre
Khéops,
phare au bornage du temps!
Promontoire magnifique!!
surmontant le monde dans ses linges,
toutes ces matières
ses résilles qui s’élaborent un instant
et se brouillent aussitôt….
…parce qu’Il est toujours voyant le Pharaon d’Égypte!!
L’axe de l’absolu
des visions dans la vision
d’être vu dans le voir,
de voir l’invisible mue
double peau du monde
l’incroyable bulle
de chewing-gum rose
ou s’élève quelque chose d’aussi
massif que Khéops
ne me permet pas de me convaincre que khéops ne soit qu’une horloge stellaire.
Car s’il y a le temps,
alors il y a aussi l’image et le son.
Magnifique promontoire!!
Élevé par des rêveurs cosmiques
des champions du fantasmes,
les précurseurs d’Homére….
Le monde dans ses linges ils le virent en Khéops,
en écran géant et dolby sursound.
vécu dans la superposition des images
révélant que c’est l’imagerie superposable des images, l’entendement, qui bouge a chaque instant,
la cervelle du non-égyptien serait brûlée!
si elle voit le monde autrement
qu’en l’unique axe de Pharaon
autour duquel danse
le carrousel cosmique
qui habitue chaque tête
domptée puis libérée de ce qui la dompte.
Oui, de la science-fiction, comme tu dis Auddie. Ce qui fascine et que relève entre autre le film dans les élaborations de ces civilisations anciennes, c’est le mystère de leur rapport au temps. Face à notre temporalité minuscule, frénétiquement découpée, avec cette perspective microscopique, circonscrite à notre temps individuel, eux s’installaient dans des temporalités allant bien au delà de leurs individus propres (l’individu existait-il seulement ?), et traçaient des plans dans des perspectives cosmiques. D’ailleurs le film a lui aussi ce rythme speedé insupportable, des plans ultra-courts qui s’enchaînent frénétiquement, ne laissant jamais le temps au spectateur d’élaborer la moindre pensée et qui installe constamment un état d’urgence.
À chaque fois que je me trouve face à la cathédrale de strasbourg, je suis saisi par la masse orfévrée de cet énorme bloc atemporel, comme devant un objet extra-terrestre.
j’t’en foutrai, moi, de la poésie lyrique
de la sublimation de caca calibré
j’t’en foutrai, moi, des lignes de fuite
de la destruction de gaine de contention
du grand frisson devant la beauté paradoxale
des voyage aux confins de ton être en crise
j’ten foutrais, moi, des échappées belles
des sorties de troupeaux de clones décérébrés
je t’en ferai miroiter, moi, des ineffables horizons
loin de ton existence bureautique mise à jour
je t’en ferai écouter des symphonies lacrymales
je t’en montrerai des films commotionnant dont tu seras le héros
et des roman-mondes qui se dilateront dans ton néant
je t’en cuisinerai des plats érotiques
à t’en faire péter les fonctions supérieures
je ferai tout ça pour toi, pour rien, pour la vie
pour t’insuffler le manque, la quête et le désir
et lorsque tu identifieras cet accident en moi
je te reconnaîtrai comme l’un des miens
Les poutres,
La putain.
Les ailes que les garçons n’ont pas.
Double tranchant.
Don du ciel,
Le ciel à ne pas nommer, ainsi.
Apprivoiser.
Cette rousseur douce du renard.
Un froid de rose.
GESTALT.
Par l’odeur du fer, une assurance.
Par pression, les fluides trament une carte.
Et la complexion surgissant du néant.
L’assassin enverra mon palpitant par la poste.
Tu pourras te branler avec.
bien reçu le paquet
ensanglanté
suis resté figé
devant ton coeur mis à nu
la vie ne m’a pas attendu
ni ne compte ses ressortissants
ton organe est magnifique
vivant, mort, qu’importe
je projette de le faire plastifier
von Hagens fait ça très bien
confectionnerai un autel autour
pour rappeler l’esprit sur le monde
Le verbe aimante la chaire du fruit noué a l’arbre maïeutique,
la chaire transparente d’amour que soulève un baiser au-dessus de la poussière,
mêlant sa poudre d’or a l’aube qui suçait l’éther mauve de ses volets, et dans sa paume, crachait le serpent derrière la nuit. Le beau diamant scintillant, se remettait aussitôt a couver les lendemains désincarnés, des monstres informes, des véhicules du rien, et puis soudain, le monde avait perdu toute signification. Son vide était le mien, entre la tête et le coeur, qui se dilapidaient réciproquement dans la manne éparpillées en enseigne commerciale, qui, assurément conspiraient contre les pommes et les arrêtes qui avaient des psaumes dedans.
Les signes chargées de vide,
ne se transmettent rien entre eux,
ils figent l’albumine de nos eaux profondes au miroir de nos yeux
l’amour nous cache la nature du monde,
et de larmes avale les épaves des naufragés,
la voie fusillée du verbe qui jongle en silence,
les débris rose de l’aube sur la mer
les vagues rassemblent un seul visage décomposé,
et les violons de l’océan jette le filets doux comme un mauve,
sur l’écume de tous nos démons.
Ainsi le fruit spirituel prend chair.
Les nuits tombaient de précipices en récépissé d’astres déchus dans la neige, tôt fondue son éclat nacre a l’oeil de la lumière. Les jours avaient commencés a s’inverser, et au fond de la foret de flammes dont ils me rapprochait en découpant a chaque instant, la part absolu de mon existence, la mue tombait lépreuse, comme les feuilles en automne, prés d’une source qui épelait ses quartiers d’orange et qui cachait dans l’aube qu’elle n’était plus le soleil qui m’aspirait. Pieuse menterie du décalage. Hors cadre l’aube sucrée l’éther mauve dans la géode d’une paume de cristal, une poigne immuable, fraîche et verte pourtant comme une pomme avec des psaumes dedans.
A l’aube du syndrome,
la chair de dieu,
toute hérissée d’aiguilles braquées
sur nos cranes vissés a l’esprit,
nous transperce par le verbe,
nous fait perdre humainement,
ce qu’il nous donne réellement
son esprit le verbe
certifiant son amour,
cette confiance en nous
qui nous inquiète.
La coquille vidait son aumône ovipare, lucide sur la nature du serpent, du Léviathan des limbes, que l’on porte en soi.
Qu’il disparaisse donc complètement!
et ne laisse que la chair de dieu,
intacte hérissée d’aiguilles braquées
sur nos yeux en joue misée,
d’une visée dont nous avons l’idée,
qui travaille en nous,
mais qui nous dépasse,
prête a nous transpercer
du verbe
et de toute la conscience compte rendu
certifiant l’amour de toutes parts,
crucifiant l’étreinte cosmique de la beauté invisible a tous les intestins substituts des planètes, un oeil saturne l’autre Mars,
orbitant la mort dans la mêlée du monde
en une vue purement interne, comme une intelligence éternelle,
de sa visée éternellement vivante.
Que m’avait-on confier en garde?
Une peur immense de ne pas se reconnaître dans le vide?
Je m’accompagner donc en foret.
Quand aimer n’exister pas encore.
Tant que les abonnés entretenaient des correspondances anonymes,
que les araignées tissée des lien de néant,
avec de faux fil, des fil de rien,
tant qu’un homme n’est plus certain de vouloir mourir
pour un autre, on ne sait rien d’aimer.
L’ignorance laisserait planer la menace indéfiniment,
sur l’eau trouble de ses conjectures,
s’encourage en étant subjuguer par le sentiment que la révocation probable du vocable jugerais de soi, défavorablement et éternellement
rendrais l’amour de soi, impossible.
……..hors de portée,
rien ne trouble
la ou je peux donner ce que je n’ai pas,
je suis au plus proche de l’innocence,
du point zéro du sens, hors l’insignifiance de l’angoisse,
mais ce point est celui ou il faut aimer tous les hommes,
et me trouver, peut-être?
moi qui ne donne rien a personne,
qui suis un fléau, une vrai calamité
pour tous ceux qui m’abordent…je ne me donne rien,
ni certitude in incertitude,
je ne peux ni me détruire, ni compter sur moi-même,
seulement me troubler et aimer pour compenser
comme si j’étais monté sur des chevaux calligraphes recevant l’ordre inquiet de ne rien se promettrent, avant d’avoir soulevé toute la poussière du chemin,
sous le char qui peut bien n’en finir de s’effriter,
s’il mène au roc immuable.
Au parloir de la mort
ou je prie
l’eau et le pain sec
de la sobriété qui récolte
et ne délite pas le grain éternel, en le passant a travers les trous du parloir,
ou ils n’est formé que par le coeur qui mouche son incrédulité.
Est monté des sols invisibles l’amer virevoltant à décimer les prêts tête-bêche d’une aura diamantifère que calcule la médecine acerbe des bienvenus nécrophages à l’Ouest.
Et se sait l’irrépressible.
A bannir toute complainte.
A craindre le traumatisme raisonnable.
Qu’importe la décimale, puisqu’elle s’aère au méthane fortement pulsé d’intuitions gravitationnelles à même l’image dont ce magnétisme incisif grave cette aversion du monde par le monde.
Petit, patiente.
Petite patente.
Petit toi pour ce roi-esclave.
Lape l’ombre ; le fou, son détour ; la soie, sa proie ; l’onde sombre.
Flexibles, nous serons flexibles et sans envies parce que pratiquement acteurs des frasques vaccinées mais toujours quittes des ordres du dessus qui bénissent d’un bisous ces morales immunes mariées au sous vide neuronal immanquablement innocent.
Nous enfantons le pire.
L’avenir des laves intemporelles.
Par cadran d’éther à la valeur de la valeur de la valeur de la valeur de la valeur de la valeur de la valeur de la valeur de la valeur de la valeur de la valeur de la valeur de la valeur de la valeur, oubliée en labeur assermentant ces abysses spatiotemporels mièvres des essences primales où déglutit l’argent saignant de nos plaies empiriques, le mimétisme de nos rotations désaxées en pause du nous-même illusoire.
Silice un instant.
La vallée des leurres.
Triste trotteuse emballée.
Avec ce rebond sans but sur ces plages horaires sans aimer-faire.
Alors l’éphémère caracole dans l’intimité des rediffusions carnées contentes si se solde l’appétit falsificateur cossu d’angoisses nidificatrices, molles, lesquelles castrent les enceintes inverses du charivari absolvant quelques décompressions scéniques, vaines ivresses décongelées.
Le zéro absolu prophétise.
Les écrans se resserrent, réajustent leur ceinture.
Au son des strass, les crises reprennent leur baratin.
On n’y voit plus rien.
Dans le lointain, un bien tente de s’échapper.
Merci c’est magique!
c’est exactement ça.
Hamartigenia
Vigile au seuil des lois inconnues
connais-tu celle
du crépitement statistique de la nuit,
sa quantité de sel figé
incorporé au miroir gelée
des terreurs du néant,
aux ondulations nocturnes
du serpent de verre
qui les amasse
sous la peau de la lumière.
Habitude bête
de la terreur
pour éprouver a nouveau
l’impossibilité de fuir vers nulle part.
La terreur est le trou.
La langue percée du blasphémateur.
Elle se manifeste
séparée de tout.
Le serpent de verre
traverse le néant
tombe sur les cailloux
syncopé, écorche la jouissance
a la surface
des blessures caillées du gond
de l’éveil,
froid comme la mort du monde
comme une déréliction
comme un soir de planche disjointe
par ou filtre la lumière de travers
traverse tous les pores de la chaire
d’un incommensurable
et suscite l’amour,
le premier fantasme
ou personne ne peut attester
d’y rien faire miroiter
de ce que l’on aimerait voir en elle.
Cette lumière dont le règne
n’est pas autre lorsqu’il est détaché
de la croyance en la mortalité de mon corps.
Elle qui ne disparaîtra pas
lorsque le monde disparaîtra
dans la certitude
première de l’esprit éternel
qu’elle est nous
sommes toujours tel
que nous l’avons cru
lorsque nous lui étions totalement transparent
au point
que personne ne pouvez attester
du secret que nous y convoitions.
l’oiseau mort majestueux et le caillou
matiere et temps
viendra le temps ou le bourgeois arretera d’eduquer le populaire,
ou l’on remontera le courant à l’envers
comme une intuition religieuse du laique nous invitait à le faire
nous relirons les textes de la fin au début
elle est toute mignonne et fronce la vue sous mes lunettes
ma maîtresse puce sourit avec un seul atome
une seule prunelle qui s’ouvre comme une fleur indivisible
parmi les puces de mes somnolences elle est ma maîtresse
je ne sais pas pourquoi; elle est mignonne et je sais qu’elle est près de moi
Mon point de vue sur le fait d’être habité est que les Nâdis sont comme ces êtres divins qui dérobaient les filles des hommes, ils nous induisent le manque, nos nerfs
èn fait on les expulse ‘ délicatement ‘ par les narines, l’Ida et le Pingala, parce que c’est la même porte par laquelle est entrée la Neshamah
Le psychonaute et son univers qui rouspète des mots d’amour
le système gastrique d’une planète et la plongée dans l’âme
à peine, à peine je pense que je vais tenir dans cette atmosphère
la folie érotique est solitaire dans un non-lieu dépisté
le comprimés de la terre surgiront dans l’éther, écritures
malpropre cosmos qui nous fascine et nous purifie
chacun tourne vers son dedans et s’émeut d’une lointaine super-nova
le coeur du soleil est comme un sexe de femme
notre matrice natal est l’énigme et le précipice d’un vide astral
le manque qui fait ses pirouettes dans le réservoir de plasma
et la radio annonce les noces du corne et de la muqueuse, l’hermaphrodite final
Il est sous la lumière, hier aussi fissurant l’ivresse de la jade qui ondoie, doigte et pulvérise sa terre, Herne alors apparaît, rayon déboussolé, paniqué car pandémique d’extases, stases boisées que balbutie mon laurier dans les cheveux; veux-tu m’embrasser petit Pan, grand Faune, Satyre sympa pas sous les écailles de la pigne de pin, pince-moi plutôt les lèvres de tes cornes grésillantes antennes coronaires que pulpe l’espoir accroupi pis en position fœtale entre mes jambes ouvertes, verte si verte vertu, Elle croque quelques cailloux clonés nez à nez avec son silex à lui qui racle de ses sabots, bosse prête à perler, les sentes sibyllines de son coquin secret crève quinconce parmi la myriade corporelle hors champ de graminées naissant au quasi zénith, nitescence qui crépite alors rassurée par la garde royale, loyale, vassale, salle de concert des crickets à queues oranges, range-toi entre mes seins, sincère chasseur des ténèbres soulées au solaire, l’Ère, ton ère approche avec ses griffes laquées, quête de ma langue oubliée, liée que je te suis, suif de mes songes incendiaires, diérèse du sanglot coïtal argenté, tes lois incrustent mes fois syntoniques que je décide d’un coup, coupable cupidon, donc je décide d’invoquer à ce point l’Amour ourlé sous la lumière, hier aussi fissurant l’ivresse de…
Un liftier fureteur.
Soudain, la susdite gaîne spumeuse sourde, actinique.
Sacre des boursouflures.
Autant 120 fois par minute, un battement s’y reprend autrement pour aérer l’harmonie plombée du même.
A trop nous voir, y entendre croire, le changement surprend enfin.
L’ami dans la poche.
Ses notifications stimulantes, que l’on gausse.
Avec cet identique qui coule encore.
Parallélisme tribal.
Partouze des réalités sous le métronome indéfectible.
Paume privée.
Les battants s’ouvrent à l’or mais il n’y a plus de capteurs.
1. L’atome qui saigne du temple comprimé par le rasoir augural au mois d’où racine l’orbite d’une larme violine.
2. Des inflexions germinent de droite à gauche et ou de gauche à droite entre un avant et un après sans poil dans la paume.
3. Non-existence piquée, cousue, ourlée sur ces synchronies qui claudiquent au cuir des valves pulsées pour réminiscences massives.
4. C’est retombé en pleine ligne bouclée avec le dos en herbe et le torse fané à croire occire l’original orangé.
5. Oh putain de manque ! Néant immortel, petite aspérité toute glamour que l’on remise au sein des académies de comiques interstellaires.
6. Il est rejeté, sacrifié sur l’autel des projets, sex-toy serpentin, phénomène du fouet dérivant qui n’est pas encore, bien trop pratique.
7. L’information fugitive échelonne certaines photos fugaces, découpes de steaks musicaux dans nos zombis illimités.
8. Nulle symétrie sous les draps infinis d’une tribu torrentielle multipliant l’unique et unifiant le pluriel en cache-cache harcelant.
9. Rebelle du blanc au gré des marges malléables, l’œuf pond sa queue pour mieux calculer son nom sur la clé de oui.
vendredi 8 mars 2013
lettre à Catherine
j’ai expliqué à Claude que l’inimitié entre toi et Eve n’est pas tant une inimitié à cause de moi, mais que vous vous disputiez ses faveurs et que moi j’en avais marre de jouer le couple bourgeois avec Eve auprès de lui et que je préférais te retrouver toi parce que tu es artiste comme moi
Tomber de l’intérieur sous le poids d’une cascade insatiable.
Un téton dicte des « kiss me stupid ».
Le chapeau de paille couvre les moutons marins.
Quasi calcaire, la volonté tente une évasion égoïste.
Les fanfreluches du short mange-fesses.
Renvoyer l’horizon à ses trop rares raisons.
Une pincée de sirènes recrachent leurs attaches.
L’oursin violé, ses lamelles orangé goulûment gobées.
On a vu une gueule épineuse plus loin que la bague.
Maintes barques capturent les possibles de l’ombre.
Hésiter, tituber ou marquer l’air d’un claquement lingual.
Sous facétie saline, ce plexus scintillant.
Pas déjà, passe la baisse lumineuse du dard.
Les sentes poussiéreuses incantent le gel domestique.
Si tu le dis, l’ami, coince donc ses cuisses aux cieux.
Orbiter l’orgasme sonore des goélands d’un toucher évanescent.
Les vagues en témoin, le Y assurant la marche.
Tohu-bohu des galets fans du Levante.
L’aveugle maillot mouillé émoussant ces serres intimes.
Lorsque les montées promettent l’alpha sulfureux.
***
Je fais l’aquarelle
la plupart
depuis ma découverte
avec de l’eau presque bouillante
cette fois
j’ai peint à l’eau froide
je sais à peu près
me doucher vite
à l’eau froide
mais peindre
c’est pire
***
ouin oin,
azuré d’azur
s’inquentaît du cinoche
dover evanescent
cuisto savage
l’ado
à dos les sangs – rouge carables jusqu’à discorde sans doute nous nous allions dand la cimblicide et les cigalles empourprées d’un lo,ng talent gracile:
boum, les plis du licorne; les onglons imbéciles, le lou du sauvage
de clou du cintre
collé à l’estime, au plis qu’on lit
aux arbrisssudes, cambrée, incongurues déesses et des si tordere qu’on lira en dicible, lancé en l’air par des airons d’nvole, le qu’on y s’y retarde la sature du vol; tancé, retors, encombrable. je ne saais pas de quoi tu tirdre.
je suis un mystère cambré, inadmissible!
raté
insaisissable.
Il y a un truc qui fuit continuellement
un zigwiwi frétillant de frivole aménité
pulsant le chaos autour de son sillage
colorant la structure stérile du fonctionnement
oh ce truc joyeux et désinvolte
bordélisant le monde en variations indigo
jaune cintré pour les techniciens
drapé bleuté des femmes de ménage
déchirant le grenat des bergers à bestiaux
et ça bondit, rebondit, ça jaillit et ça fuse
et sardine à bouc et ça nique les yeux
c’est là, c’est plus là, c’est pas ça, c’est pas lui
un maillage furtif, quelques bits disjonctifs
déstocke ton steack aztéque élastique
fugace dans la nuit, se carapate entre les platanes
jamais, jamais ne se doit rattraper
L’opercule des reculs,
gage et dialectique de la mangeoire,
se métamorphose en cornée télématique,
au lucre du sucre des pieux pèlerins.
Et cette facture, notre grande fracture,
crypte la filiale reconnaissance.
Ego agglomérant.
Mère des glaires glanes,
minéralisation de modernes civilisations minières
et muettes de rationalisation
en dépit des calculs sur l’ambre gris
des maisons en paternité.
Nutriment de filament.
La toile sur le pas de vis,
avec cet Autre,
bouffeur de temps.
Mœurs obsessionnelles.
De l’autre côté,
sur la balance médiatrice:
La Matrice transpercée par l’azur.
Piste de braille quêtant la couleur de vérité.
Une syncope s’envole vers le monochrome
d’un froid absolu.
Saphir infini…
Au delà de l’hystérie multicolore,
l’arc-en-ciel des sages ictères
visant la genèse de jade.
nice one
penser a éteindre les lumières
et a refermer le gouffre en sortant
de l’impasse horizon
°o°
Des silhouettes inconnues
chantent des messes informes
à la lueur organique du seul sacrifice visible
dans l’ombre de leurs mots noirs
les danseuses moires le vertige
de torchères crépitantes
au pieds du temple fourmilière
ou les prêt nom des monstres tuent et mangent
la soie des vers aveugles
servit par d’éphèbes traces rhizomiques
en purulentes sauces d’aromates
dans des plats d’argent
au vide sémantique.
Dieu
festoie
l’ossuaire en offrande
la colonne décharnée des spectres
grandit d’une semence anticyclonique
et d’un ciel en germe de contradiction.
Nuit obscure des sens.
Lettres liées
au fond des sens
nagent en un cris
d’age saoul
plein de mer
vague noyé
lange sifflant
le corps fil ou?
du gros bouillon
éclair flamme
chevillées
nouées a leur poignées éteins
attire et pousse
sans abîmer
Finallement le mensonge ne revient que d’un dégout de la vérité bien naturel à tout être.
Dans la nuit, l’écrivain s’immisce entre lui et son double; il s’exproprie lui-même;fait le tour du propriétaire; s’arrête pour se baisser; tâte des mains la terre; la roule sous ses doigts; en hume tout l’arôme d’illusion; et la goûte parfois. Perplexe devant tant de différences qualitatives dans un aussi petit jardin existentiel, il n’attend pas que l’inspiration le visite, il ne se jette pas non plus a corps perdu dans le travail, il fleurit comme un pétale se dédouble dans un autre, semblable et différent; par vagues il laisse croître la mer en lui; et se dérouler le colimaçon qui remonte du fond du vertige jusqu’à la prise certaine du roc ou s’agrippe l’alpiniste comme à la vraie racine du monde en gravitation; il dédouble dans son âme l’unité de son corps vivant et pensant; il peut rester ainsi des jours durant dans son ascèse à écouter les fascinantes sirènes de l’effroi; il contemple de l’extérieur le paradoxe qui le constitue intérieurement; alors seulement il choisit ses mots pour ne pas assombrir la page; parce que l’essentiel se contemple dans le silence, mais seul le discours cohérent qu’il tient sur lui-même fait de son double son plus intime compagnon; il parle comme on referme une faille; or le seul discours cohérent qu’il puisse tenir sur son extase paradoxale depuis le point de vue le plus humain, ou il serait péremptoire de seulement signifier la souffrance et la misère universelle propre à cette bête étrange qui naît dépossédée d’elle-même, et de dire, plus profondément, et moins directement, qu’assurément une félicité en dieu doit être attachée a cet état puisqu’il est l’extase d’un espace de présupposition qui se manifeste par nos choix, dont la vérité absolue n’est pas en sa possession comme il le comprend en se heurtant aux limites du langage, et au grand absent de la langue qu’est l’aufhebüng, mais en un dieu qui démêle tout; un état d’extra-territorialité de la vérité; non pas tant un exil, qu’une forme de complétude qui est absurde pour elle-même, parce qu’elle n’a sa vérité que dans un Autre; une extase capable de comprendre qu’elle est tout sauf en possession de la moindre vérité sur elle-même; et que par conséquent si cet état n’était que le fruit du hasard alors la terreur et la confusion serait une loi universelle et régneraient partout a tel point que la question d’un sens ne se poserait même pas; or elle se pose a l’écrivain, qui commence toujours par la comme Platon dit quelque part que l’homme débute toujours par l’erreur et le mensonge; mais de sa non-vérité l’écrivain fait le tissus de sa doublure qu’il peut boutonner comme les deux pans d’une veste, sans que l’existence paraisse un vêtement froissé trop ample ou trop étroit, lorsqu’il la referme comme une absolution renvoie au verbe la lumière qui en émane, et qui fait des trous dans la langue; c’est ce sentiment de la complétude paradoxale de la phrase qui reste dans le suspend définitif des voix d’un bon roman. Et l’instant ou tout s’arrête quand le mot manque a relier les contraires, en dandy l’écrivain y choie et en traverse les averses de non-dit, ne tente pas d’échapper à la difficulté, mais meurt un peu plus à chaque mot juste et grandit dans la félicité du verbe conjugué.
J’ai besoin d’être triste aussi, nostalgique,
Loin de la fête,
dans ce qui est tout son contraire
ou presque
c’est selon les canaux qui mènent tous a Rome
copuler et se couper de tout
c’est pas de la contraction dans l’oeuf ca
qu’aucune culture ne sait résoudre
violence conditionne souffrance et inversement
je plus que desire vivre
je veux vivre
mais sans preuve
se cherche eternelklement
l’etre perdu qui doit vivre
pour que tout soit intelligible et transparent
la fête n’est qu’un pans d’une apparence
une expression incomplète d’un lien dialectique en soi
Ne faire que la fête? connexion annexion
peu pour moi merci;
je perds pieds si je ne faits rien de mes dix doigts
ou de d’ma cervelle
l’homme est le texte et ne l’est pas
il est aussi sensation pure pathétique
l’histoire de la sensation
sa réalité dans le temps
tue a petit feu la sensation d’une histoire
et rétablit un présent vide
qui peut se comprendre
comme la forme éternelle de l’âme
de tout comprendre d’un sens de l’être
sur lequel on se trompe toujours
pour être exorciser d’une faute
qu’il y aurait a se penser infiniment bon
et y ensevelir le vide de la forme éternelle
perdre son âme
autre sens possible de l’être
sens possible de l’être non-autre
tragique condition négatrice
mangée de mots
parle pathetique
au plus intime de lui-meme
il est une realité qu’il ne peut pas reflechirt
une scene de crime muette interieurement
une belle saloperie
une horreur
ou le coupable est le bourreau de lui-meme
resolue a n’appartenir
a rien d’autre
close.
FRAGMENTS DE SOUS TITRES SANS IMAGES
Il a rien d’épatant. Il est simple comme un continent vu de l’espace. C’est tout une articulation complexe de la médiocrité. Il est là, ici, pas loin non plus, mais aussi à l’autre bout. A la fenêtre il passe, dans
du cockpit, les hôtesses ont fermées le rideau. Une brume tropicale s’échappe et s’étale sur les fenêtres de l’appareil.
Le goût commun pour le virtuose, l’admiration qu’inspire le soliste évanouit souvent toute la grâce du geste quand il atteint l’automatisme. Ensemble leur peau n’est plus une limite.
Voir a s’en crever les yeux
^ ^
à ceux dont les histoires s’enrayent /
ça parle ça vibre ça rit /
mais est-ce que ça tient la distance? /
aux poses sans pareilles /
obligé corps demi silence /
ça part ça bruit ça vit /
à ceux dont le sort est écrit /
ça perd, ça titre, ça prie /
Mots de mes tords, guéris /
En selle, en si, à cri /
brieuc : mais, c’est un peu étroit la notion de mystique
bissecta : bah, achète du lubrifiant
Et pourtant il ne sert à rien ;
Même à l’arbre qui chuchote son pollen…
L’enjeu de la progéniture.
Un marquage, de l’urine, une frontière, de l’or ?
Dès lors confondu à l’ultime trahison d’avoir émis un son.
A la critique souillée par sa propre passion.
A rien qui ne soit entre ses mains.
A rien, toujours.
Il brouille son devoir à l’instar des poussières stellaires
ou des maîtresses excessivement romantiques.
Des étoiles filantes dictées d’une gloire dérisoire.
Un rêve ou un rêve.
Pas de preuve.
Les seigneurs illusoires.
Croire est bien plus facile.
1. Pas plus d’oubli que de nécessité, le risque supérieur aux multivers d’émanation-retour ou les déjà-vus totalisateurs.
2. Sont ces aires, tels le ciel et la terre, distances parallèles éternelles, qui ne peuvent s’unir qu’à la convention de l’horizon. Création assassine, traque des régressions, attraction les genoux au sol, invaincus, les chevaliers sans bataille au carré des cornes.
3. Toi, moi et les petites visions dans le brouillard du désespoir champion de la liberté. Le sort en tire autant, des flèches, tournant sur soi-même, parmi l’invisible parfait supra-conscient : indice à l’iceberg de la logique. Après la seconde voix, l’aigle élit la tête songeant aux énormes meules, car c’est l’engeance incestueuse d’un hermaphrodite.
4. Empreintes digitales pour le berceau de l’animalité, socle où le pouce fait encore le malin. Escorté par ses morts, le poème fixe l’heure du temple durant le chant canin. Dès lors, le Maître de la montagne rime avec la lune tout en crachant sur la fidélité des classifications. Lorsque le dernier âge crucifie l’humain amnésique, l’œuf persiste à s’ouvrir vers le bas.
5. Effleurages de la cuisse au front. Seins que gouvernent l’acide stellaire. Saints qui l’insultent tous. Ceintures d’obscénités cinglantes quand ce quinquennat spécule sur sa caducité persistante. Au sein d’une quelconque nuptialité médiane, l’essence emboîte des possibles.
6. Récréations salvatrices sur ces « si » sonores. S’irritent, s’immolent, se scient, les évocations devenues concrétions d’elles-mêmes fondues en Elle. C’est ici que se détacher est important. A l’impossible loyal, tous sont lâchés. Et même, encore, si s’aime la révolte d’un destin mystique, sa propre contradiction l’auréole d’aurores royales. Règles agréables au rubis sous cou pour les jumelles de l’infini.
7. Qu’invoque cette trace ? Sa suite est certaine. A la merci du déni des sourires entendus. Là où les âmes délaisseront le toit des maisons. La force retournant à sa faiblesse. Puis le faible calcul sur les doigts forts d’une ignorance collective déploie les ailes d’un coma omniscient. Un cycle ne connaît pas son prochain…
tel est le lézard, autant de queues se perdent dans les mains de l’homme,
autant d’hommes se gagnent dans les pensées suivantes.
Le jour où l’on finit par accepter l’inexactitude et la distorsion – ce n’est pas du psychédélisme, ni de la folie, retenez bien cette entrée qui vous invite tous- un battement d’aile est permis dans ces fondations.
lu hier sur un écran du nord
Fou comme facebook est devenu comme une vraie conséquence, comme un endroit réel où tout le monde est, par exemple: comme dans le métro, un endroit où tout le monde se tait, enfin, à peu près. Étrange comme l’idée de départ de mark zuckerberg, en l’occurrence, de poster des photos d’amis réels ivres en train de vomir à la soirée d’hier soir au campus, est devenue: « ne pas poster ce qui n’est pas du campus », c’est à dire: ne plus rien poster; c’est à dire, la prudence règne. Au fond, un nid à rockers.
c’est à dire, la grandeur du secret, sous couvert d’exposition
une autre partie de notre pudeur
et sous les frisettes, les dentelles, les mousselines et les silhouettes
un peu du futur, sans notre accord .
Ce qui me fait dire.. chers amis, que nous ne sommes qu’aux prémices du réseau social
…..
et que l’ire des politiques de plus de 60 ans à propos de l’anonymat des internautes, ou de leur pseudonymes, est tout à fait significative d’un changement radical encore peu discuté, qui va bien au delà de la révolution industrielle et de sa petite sœur, la révolution numérique. Bande de cons, il va bien falloir -encore- écouter les poètes, encore et toujours.
Bienvenu parmi nos camps de civilisation où le travail libère sur les tortures privatives d’une grosse grosse grosse roue de la misère qui nous fait tous frères aux visages d’opale cernés durant l’individuation génocidaire de masse lorsque amasser ne rime qu’avec pétasser un canon scié au cœur.
Made in Chains.
Pompe avec nous, sœur-frère, pour avoir le permis d’être parent et ainsi être assuré à vie que ta descendance si studieuse sera l’esclave prêt à serrer, à céder, à sucer le comiquement cosmique correct pour avoir le droit d’être taxi des taxes sans derme, sans mot, sans l’idem d’une tradition céruléenne guerrière célébrant l’existence.
Un canon scié au cœur car tu le sais : notre cœur est un bleu, serré, serré, serré, injecté de sérum au nœud de la cravate croulante.
Made in Chains.
Je t’en prie, met-toi à l’aise, enracine-toi à mort surtout sans tente dans l’attente d’un quelconque attentat publicitaire, spectaculaire, spéculaire, tel un champignon d’or gris fort féerique, kawai connard yokai, qui t’insère sans cesse au sein des serres des camps de civilisation, seule et unique place (quoique) où tu posséderas ton permis d’être parent.
Made in Chains.
Et tu posséderas aussi un canon scié au cœur, car tu le sais notre cœur est un bleu serré, serré, serré, injecté de sérum au nœud de la cravate croulante.
Made in Chains.
Ta race, ta putain de race, ta mère, ta putain de mère, l’infanticide salvatrice, désespérément violée dans l’âme et avec des gigabits, que dis-je ! Des tétra-bits de bleus au cœur, aux poings dans la gueule qu’elle te lâche à l’instar des putains de salopes à pénis qu’on espère pères, mais c’est oublier qu’elles n’ont pas le permis d’être parent préférant le nœud d’une cravate croulante.
Made in Chains.
Pas besoin de fist-fucker le bébé, il est déjà trop serré, ses gènes sont ceux du filet à mailles larges comme il se doit, commercial, comme il se doit, il te serrera parce que grand-mère a de grandes glandes dedans durant l’ermitage des quelques bulles d’héritage que cendre la monnaie idéelle dansant dans les magazines Made in Chains.
Allez pompe avec ton canon scié au cœur (c’est quasi du 12 ans d’âge) car tu le sais (puisque en plus ça fait la troisième fois que je le répète sans Aka, peut-être avec un peu de soude, hein^^) serré, serré, serré, injecté de sérum au nœud de la cravate croulante Made in Chains.
Allez pompe- Injection- Allez bombe- Allez pompe- Injection- Véhicule cardiaque, le cœur qui est un bleu- Fonce- Pompe- Bombe- Pompe- Fonce !
Hélas, qui n’a pas déjà perdu 666 poings sur son permis de vivre ?
Made in Chains…
Ce sexe contient des applications pouvant induire des mouillages intempestifs sans arrimages prolongés si la posologie des coups de boutoir n’est pas respectée, il est donc conseillé de lécher au préalable les vibrations de la béance en partance bucolique afin d’éradiquer la possibilité d’une flagellation écarlate sur ces fesses ainsi présentées à la vue et au nez du grand Pan qui pointe ses cornes coquines, phallus en main, afin de féconder de folie cette flore bouclée et ô combien odorante qu’aucun abricot coulant ne pourrait satisfaire si des glands impudents ne prennent leurs parties jusqu’à la garde des chaînes de chiennes déjà évanouies plus loin que la pâmoison digitalisée en pleine lune au pas de quartier d’un bondage sans rémission puisque mon Seigneur et Maître calcule quelques éjaculations chevalines ou taurines parmi le labyrinthe phasé qu’encule quelques créatures cloîtrées au rythme de règles subitement téléchargées pour l’annale gerbe tempétueuse souhaitant se faire sucer sauvagement sous ses sphères réservées en la fièvre telle que la fureur de reluire encore et toujours les Saints Axes intempestifs assurant ce qui gicle en tous sens, galbant de liqueurs nacrées ces courbes énamourées, hautement insatiables, pourtant portant les traces bientôt de la sorte acquises des futurs sévices décidément fortement désirés en ces abysses où les mots sont à présent obsolètes car le chant orgasmique dicte dans l’intention de fuir ses vérités obscènes vers ces sociétés mensongères prêtes à caser la liberté dans un trou sans non.
Telle est la leçon.
.
.
.
.
.
– Hiver :
Je plonge en l’enfance gagnée aux dames, je t’ai prié. Je me suis langui.
Meurtri Je t’ai conquis dieu cheval génisse lézard mulot.
Dieu suit les flèches
en haut des toits
peu m’en fallait pour dénigrer, rompre un mouvement de cou,
lever la tête,
je ne le faisais plus.
je ne le fais jamais :
Moi, mon inconnu, c’est la prière.
– Printemps :
J’ai touché de l’ongle un automne savant.
J’ai saboté l’hiver en ville, comme un poumon,
de pleurs nerveux, de corps, dévisse.
craché mes poumons. J’ai craché la haine.
Hiver de merde mon dieu, et toi tu savais, juché sur un rocher, toujours le même,
ô poète suranné, et pourtant bon, que la colère pose,
le néant déboule.
Angle caché. Mon dieu tu savais.
Printemps arabe, réalité, porté par des instruments stables,
métronomes voyant la course dans les hommes, les yeux pleins d’or, contre le feu.
Claudiquant. Cravache! J’ai comblé mes lacunes.
– Eté :
Lisse. Plein de femelles mon dieu.
J’ai baisé comme on en fait plus. Vengé tous les autres.
– Automne, Tu es là.
– Automne, Tu es là.
– Automne,
Tu es là.
.
Essence de l’air enfance de charme, curieux rhizome, à chaque pouls, défense de mère, vaisseau fantôme.
Nous nous sommes comptés,
à l’air marin, ordure des mules, jamais content, désordre de quatre murs,
tout petit de rien acide. pédant, acariâtre, volontaire, auto-mutilé, comme on en fait des découvertes.
Moi, dieu des désastres, moi, mon inconnu c’est la prière.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
est christianophe ecetera
tous les mecs qui s’appellent christian
phobie d’une parole très juste
est islamophobe ecetera
tous les mecs qui l’appellent La Isla
Boniita
est zenophobe ecetera
tous les mecs qui s’la pèlent dans les montagnes d’Asie Centrale
est judeophobe ecetera
tous les mecs qui s’imposent la Law de Jude
ce cinema